Catégorie : actualités

  • La tendance baissière du pétrole américain est confortée

    La tendance baissière du pétrole américain est confortée

    Correl1                  Malgré le grave accident intervenu hier sur le plus gros pipeline reliant le Canada aux USA de la Société Endbridge, les cours du WTI sur le NYMEX, après un coup de fièvre compréhensible, sont revenus à leurs niveaux de la veille vers 91$/baril. Ce flegme inhabituel des marchés a plusieurs explications qui convergent vers la relaxation des cours.

  • le pipeline Endbridge constitué de plusieurs lignes, a partiellement repris ses livraisons et les raffineries de la zone concernée ont déclaré ne pas avoir de problème d’approvisionnement en brut;
  • le Department of Energy a immédiatement rappelé que les Réserves Stratégiques US étaient disponibles pour assurer la jointure aux raffineurs, à condition qu’ils en fassent la demande;
  • la Société anglaise, Oil Movements qui par anticipation suit les mouvements des tankers dans la zone du Moyen-Orient et les pays de l’OPEP, prévoit jusqu’au 15 Décembre des livraisons de brut par l’OPEP en hausse de 2%;
  • l’OPEP qui a déjà majoré ses livraisons depuis le premier Novembre, est attendue comme devant relever ses quotas la semaine prochaine;
  • les raffineries US ont consommé la semaine dernière 15,6 millions de barils un plus haut depuis dix semaines, ce qui indique qu’elles sont en ordre de marche pour assurer les productions des produits hivernaux;
  • les stocks de brut à Cushing, Oklahoma qui assurent les livraisons du WTI coté à New-York, se sont timidement relevés depuis deux semaines. Cushin1 Il manque encore 4 à 5 millions de barils en stock pour assurer une réelle détente. Cet indicateur sera donc à suivre attentivement au cours des semaines suivantes, les cours du WTI étant étroitement corrélés aux valeurs de ce stock.
  •                Les prochaines semaines devraient donc voir se détendre les cours qui sont encore plombés de 15$ /baril de prime spéculative. Les liquidités pourraient retourner en Bourse avec la baisse des taux administrés par la FED.

  • Le coût d’une régression organisée. IV

    Le coût d’une régression organisée. IV

    Dinar13 Réduire les consommations est une possibilité déjà ancienne, car les choses évoluent depuis plus de trente ans, mais non pas perçues comme une priorité.
    En effet, l’investissement est toujours plus lourd qu’une dépense mensuelle, et pas vue forcément d’un bon oeil.
    On n’est pas là dans le cadre d’une dépense plaisir, mais d’une dépense dont le bénéfice sera mangé au fur et à mesure, en disparaissant dans le budget quotidien.
    Si un ménages fait des économies, il ne les voit pas.
    C’est aussi simple que cela.
    Seul l’augmentation rapide du coût du poste chauffage change les mentalités, et mettant en relief, dans tous les milieux, un comportement énergétique souvent farfelu, dispendieux et aberrant.
    En clair, beaucoup de ménages font n’importe quoi.
    Cela n’avait aucune importance, l’énergie étant abondante et bon marché.

    La manière la plus efficace de gagner beaucoup d’argent est de temps est d’éduquer et de pousser à l’évolution technologique, d’une manière accélérée.
    Là aussi, on est dans une zone économique connue.
    Des nouveaux produits dispendieux se créent, le prix baisse, et le rendement (l’économie d’énergie), lui, ne fait qu’augmenter…
    Parlons prix ? Un puit canadien coûte environ 4 000 euros (plus VMC), et économise le 1/3 du chauffage le plus lourd économiquement parlant : les premiers degrés.
    Les dépenses d’isolations sont onéreuses, mais faites à très long terme.
    Quand à du solaire thermique, il économise aussi une bonne partie de la note chauffage/ECS (en gros 1/3 des deux réunis), pour environ 5 000 euros.
    Et cette technologie est basique (mais à mon goût, très cher pour ce que c’est).
    Mais, comme je le répète, il vaut mieux ne pas vouloir faire tout, tout de suite, faire le possible, par exemple changer un convecteur pour un radiateur électrique à accumulation, et ce à un coût beaucoup plus acceptable, et ensuite faire ses comptes trois ans plus tard.
    Les personnes sont souvent surprises de l’effet de levier, sans qu’elles l’aient véritablement perçue, car passé par les dépenses courantes…

  • Le coût d’une régression organisée. III

    Le coût d’une régression organisée. III

    Pesets L’évolution énergétique rend inéluctable une politique d’investissements.
    Reste à savoir quel montant pour cet investissement, l’intérêt, et le rapport.
    On peut chiffrer le poste chauffage d’un ménage, à l’heure actuel, variant dans une écart de 1 à 5, soit de 400 à 2000 euros à l’année.
    Le reste étant des cas aberrants, soit des personnes ne se chauffant pas, soit des personnes se chauffant gratuitement, soit des personnes pour lesquelles le coût importe peu.
    Et on peut partir du principe que ce coût va doubler d’ici 2020.
    Ce n’est pas, dans l’état actuel des choses une hypothèse aberrante. On peut prévoir un coût de ce poste dans ce futur proche de 800 à 4000 euros, en valeur actuelle, pour des unités d’habitation normales. 

    Pour les treize années prochaines, on voit donc poindre une fourchette cumulée de 7200 euros à 36 000 euros.
    A la vue de ces chiffres, tout le monde comprend l’intérêt économique et personnel de rester dans le bas de la fourchette.
    Dans le bas de la fourchette, je situerais la géothermie verticale, elle est chère, surtout en raison du forage. 25 000 à 40 000 euros.
    Nettement meilleur marché est la géothermie horizontale. 10 000 à 15 000 euros, elle souffre de plus de casse.
    L’aerothermie elle, est la solution la plus économique à l’heure actuelle. Cela commence à 4 500 euros. Bien sûr elle est moins efficace, demandera sans doute à évoluer, mais fait faire 75 % d’économie sur un chauffage électrique classique.
    Les crédits d’impôts ont ceci de pervers qu’ils viennent augmenter le prix des produits, mais il faut les déduire ici de ces coûts. Allié à une politique de prêts, on voit l’intérêt de remplacer une dépense indéfiniment renouvelable, et en augmentation, en une dépense (le remboursement d’emprunt), en partie amortissable  (énergie résiduelle dépensée +  remboursement emprunt).
    Et surtout, je le répète, un simple changement d’équipements dans les chauffages classiques peut faire drastiquement baisser la consommation, à un coût très acceptable.

  • Explosion d’un pipeline Canadien à la frontière américaine

    Explosion d’un pipeline Canadien à la frontière américaine

    Gris1914_2                L‘explosion d’un pipeline canadien à la frontière avec les Etats-Unis a stoppé une grande partie des importations US de brut venant du Canada. Le pipeline s’est enflammé après l’explosion qui a tué deux opérateurs.

                        Le Canada est le principal fournisseur de pétrole des USA. En quelques heures les cours du WTI  sont passés de 92 à 95$ pour redescendre ensuite vers les 94$.

  • Le coût d’une régression organisée. II

    Le coût d’une régression organisée. II

    Feu_ptroleCes images choquent à l’heure actuelle, comme celle des torchères, mais tellement de ménages ont des comportements absurdes que le résultat est le même.
    Ils prendraient quelques barils de pétrole, les allumeraient dans leur jardin, on crierait au fou, et on les enfermeraient.
    Quelques exemples de comportements absurdes :
    – couper tout chauffage dans une maison inhabité, la maison, le ciment, les pierres craignent les alternances gel/dégel, contrairement à ce que certains croient, beaucoup ne connaissent pas le "hors-gel".
    – avoir une chaudière de 1971 (on la changera quand elle claquera).
    – avoir un chauffage électrique à effet-joule (enfin, quand on est propriétaire, mais curieusement, ce genre de chauffage est plus fréquent dans les locations).
    – Avoir de grandes amplitudes de chauffage (les différences à rattraper coûtent cher).
    Mais ces comportements étaient (économiquement) véniels quand l’énergie était bon marché.
    le rôle de l’état doit être de pousser par divers dispositions, les ménages dans un renouvellement technologique.

    Les ménages désormais le sentent fort bien, et ils font simplement leur compte.
    Ce que coûte actuellement le chauffage, ce que coûtera le nouveau chauffage, et le rapport entre l’économie et l’investissement.
    Pour donner un ordre de grandeur, à l’heure actuelle, un budget considérable pour moderniser un logement, c’est 20 000 euros. On peut bien sûr faire beaucoup mieux, on peut faire aussi en fonction des moyens du bord, et faire une simple modernisation bien moins coûteuse, et rentable aussi : à la place de radiateurs électriques "grille-pain" trop fréquent encore, prendre des appareils à accumulation, ou autres.
    Chaque logement est un cas d’espèce, il n’y a pas de solution universelle, mais de multiples façons de faire de juteuses économies d’énergie, vite remboursées.
    Et par forcément avec du renouvelable. Un bâtiment bien entretenu est primordial.
    D’ailleurs, désormais, avec 20 000 euros (on ne peut faire mieux sur du neuf), le poste chauffage est souvent le plus gros poste d’une construction…

    Photo : intérêt-général.info

  • Le coût d’une régression organisée.

    Le coût d’une régression organisée.

    "Tu peux nous dire combien ça coûterait? Parce que des paroles c’est bien mais les chiffres c’est mieux, surtout quand on parle d’euros …."
    Pour répondre à la question, non dénuée d’intérêt concernant le coût de l’évolution vers une société moins vorace, il est nécessaire de poser un certain nombre de bornes.
    La France consomme 280 millions de TEP, toutes énergies confondues. Bilan global. En ce qui concerne le logement, là où se situe le problème principal, il est nécessaire de cadrer le problème.
    J’ai souvent dit qu’un quart du parc de chauffage était bon,
    un quart à changer,
    un quart à changer d’urgence,
    Gaspi_2 Et je vous laisse deviner ce que je pense, et ce qu’est l’état du dernier quart.
    Passer à du moins vorace, c’est à dire réduire la consommation, n’est pas synonyme forcément d’énergie renouvelable.
    Passer de 3500 à 1500 litres de fioul, c’est un très grand rendement (même si l’on dépend encore du fioul).
    L’investissement ? Amorti sur trois/quatre ans.
    2 tonnes de fioul jusqu’en 2020, c’est 26 tonnes, environ 160 barils de brut.
    Et le bon matériel en question coûte environ 3000 euros, installé.

    Dans ce cas de figure, le gain sur 13 ans est au minimum de 6000 euros, sans doute beaucoup plus.
    Sans changer d’énergie.
    Des aigrefins font croire que le renouvelable est responsable de certains gains.
    C’est faux. C’est le changement de génération de matériel qui doit être mis en relief, des travaux d’entretiens, de rénovation, etc…
    Si l’on prévoit des travaux importants sur les habitations, une enveloppe globale de 600 milliards  d’investissements sur les bâtiments à l’horizon 2020, soit 50 milliards par an (tous ne seront pas des investissements frais, une fraction aurait été de toute façon engagé, comptons la moitié), il faut penser que l’effet de levier sera tel avec les économies d’énergies, qu’on est plus dans un cas de figure de coût, mais d’économies.
    Les plus "pénalisés" étant les plus neufs, pour qui le gain serait le moins important.
    Pour donner un ordre de grandeur, chaque euro investit entre 2008 (dans une technologie fiable) et 2020 sera remboursé en 2020, et aura donné 1/2 euro de rendement.
    Encore ceci n’est vrai qu’avec une stagnation du prix de l’énergie, avec une augmentation, ce sera bien plus.
    On est donc bien dans le cadre d’un investissement  :  une  "dépense"  en capital qui finit  par rapporter, et qui rapporte GROS. 

  • 100 patates ou 20 % ? II

    100 patates ou 20 % ? II

    Choucroute La volonté de l’UE est en fait, une absence de volonté.
    On pousse un peu à la réduction des dépenses énergétiques, mais pas beaucoup.
    Il ne faut pas trop en demander aux milieux d’affaires représenté (très bien) à Bruxelles.
    D’ailleurs, dans l’état actuel d’esprit des ménages, la consommation d’énergie la plus basse possible est la plus souhaitable.
    Le gouvernement européen n’apporte strictement rien, sinon la bénédiction pour distribuer de l’argent. Vaste programme.
    En ce qui concerne l’autre volet de la (ou plutôt l’absence de) pensée européenne (les énergies renouvelables à 20 % du panier énergétique), là aussi, la vacuité est assez phénoménale.

    Faire en effet 20 % de nominal, c’est assez facile.
    Reste à savoir comment.
    Quand on voit des centrales à bois au Royaume-Uni fonctionner… au bois importé, venu du Canada, il y a de quoi rester dubitatif.
    Comme on le voit, le vert sera européen, le polluant étranger ?
    Mais la facture globale ne diminuera guère.
    Comme il n’est guère évident de décompter le bilan réel du nucléaire.
    En même temps, on peut en faire beaucoup plus.
    Mais le danger est de fabriquer de l’énergie qui ne tombe pas à point, comme pour l’éolien.
    L’éolien nécessiterait en effet une mise en interconnexion des réseaux, une organisation en réseau assez phénoménale.
    Sans celle-là, l’utilité reste aléatoire.
    Pour résumer, Bruxelles vient d’inventer une excellente "non-politique" de l’énergie (on pédale dans la choucroute : excellente nourriture fermentée, très énergétique).
    Avec la consolation que c’est pire ailleurs.

  • 100 patates ou 20 % ?

    100 patates ou 20 % ?

    Patate On connaissait le "100 patates, 100 patates, Ouai !", Grâce à l’union européenne, on va connaitre "20 %, 20% Ouai !", le 20 % concernant la consommation énergétique.
    20 % de réduction de consommation.
    20 % de renouvelable.
    10 % de biocarburants.
    En réalité, on ne peut qu’admirer vacuité, art de ménager chèvres et choux, de la part du gouvernement européen.
    On sent la nécessité de réduire, mais comme on ne veut pas télescoper les intérêts financiers des grandes compagnies énergétiques, on reste dans un flou avantageux.

    Tout d’abord, l’objectif de réduction à 2020, est d’une modestie stupéfiante.
    20 %, pour la France, cela fait seulement 56 millions de TEP (consommation actuelle de 280).
    Soit moins que ce que l’on a fait depuis 20 ans en sens inverse (de 200 à 280 millions de tonnes).
    Si l’on compare avec la dérive naturelle (en 2020, on arriverait à 400 millions de TEP), la performance reste aussi modeste.
    Une performance qui commencerait à être sérieuse serait l’inversion de la courbe.
    Retomber de 280 millions de tonnes de TEP à 200.
    Compliqué ? Pas du tout.
    Absolument rien de révolutionnaire.
    Un simple changement de génération d’appareils, les chaudières fioul actuelle consommant moitié moins que bien des appareils encore en service.
    Cela implique de l’investissement, des prêts, et des crédits d’impôts.
    Pas de quoi fouetter un chat.
    Rien de difficile. Une planification, des objectifs, des moyens, en bref…

  • Areva chinoise.

    Areva chinoise.

    Mao Areva a vendu son réacteur nucléaire EPR, ou plutôt deux à la Chine, pour un montant de 8 milliards d’euros, ce contrat, c’est une première, est libellé en euros.
    Il y a peu, Westinghouse avait emporté un contrat concernant quatre centrales, mais ce qui intéresse visiblement les chinois, c’est le saut technologique que représente l’ EPR, et qui les a conduits à faire beaucoup de concessions (notamment sur la devise du contrat).
    Si l’ EPR est un nanard, le montant reste quand même modeste, si c’est plus intéressant qu’une centrale classique, le coût reste aussi modeste, pour une percée technologique.
    Le pouvoir chinois reste donc sur une position forte, soit il ne perd peu ou rien. Soit il gagne beaucoup.

    Au point de vue économique, les 20 milliards de contrats annoncés avec Pékin permettent de faire patienter un peu plus pendant que la Chine est en train de plumer l’industrie européenne, un peu plus chaque jour.
    On fait donc durer le système, en espérant que Pékin, veuille bien avoir l’amabilité de réduire son excédent commercial, en réévaluant sa monnaie.
    Ce qui permettrait aux européens de souffler un peu.
    En résumé, les ventes d’ EPR, les contrats sont des gâteries pour cacher que N. Sarkozy n’a rien obtenu.
    Du moins, rien d’essentiel.
    Pékin gagne du temps.
    Jusqu’où ?

  • Le plan stratégique énergétique européen: un catalogue à la Prévert

    Le plan stratégique énergétique européen: un catalogue à la Prévert

    Indiens10                      La Commission Européenne vient de sortir un papier de seize pages pompeusement appelé: "Un plan stratégique européen pour les technologies énegétiques". Que trouve-t-on dans ce document? Tout d’abord il rappelle les objectifs : réduire les coûts des énergies NON polluantes (les peu polluantes iront se faire voir) et mettre en position de pointe les industries possédant les technologies à faible intensité carbonique. Puis arrive l’état des lieux: nous prenons du retard, nous n’innovons pas, l’Europe doit être la première, on est pressés. Enfin arrive un plan à la Prévert pour 2020 et 2050: beaucoup de choucroute, un peu de paella, un zeste de coq au vin.

                  Commençons par la choucroute:

    1. doubler la capacité de production des grandes éoliennes!!! (mais pourquoi! où est le stratégique?)
    2. un réseau électrique européen unique et intelligent (pour suppléer à l’éolien quand il est défaillant)
    3. lancer un marché grand public des appareils et systèmes de conversion énergétique et d’utilisation finale plus efficaces dans le secteur de la construction, les tranports et l’industrie comme la polygénération et les piles à combustibles (traduction: récupérer la chaleur des systèmes à rendement lamentable comme les PAC?)
    4. stockage de l’énergie:  une avancée décisive attendue pour 2050 (vaste programme!)
    5. véhicules à pile à combustible à hydrogène. (il faut bien gaspiller de la ressource, l’Europe en a trop)

                   Puis la paella : 6. démontrer la maturité commerciale de la génération de l’électricité à grande échelle à partir de l’énergie photovoltaïque ou de l’énergie solaire concentrée

                   Le coq au vin: 7. maintenir la compétitivité des technologies de fission, ainsi que les solutions à long terme de gestion des déchets. Puis démonstration de la Génération IV à l’horizon 2050. 8.Achever la construction de ITER et préparer la démonstration de la faisabilité de la fusion nucléaire.

                Puis des actions plus consensuelles:

    • biocarburants de deuxième génération concurrentiels et au caractère durable de la production (un peu court le cahier des charges: toxicité, miscibilité à l’essence, transportabilité?)
    • démonstration industrielle de procédés de capture et séquestration du CO2 (il faut espérer qu’en 2020 il y aura un ou plusieurs standards industriels sur catalogue)

              Enfin vient le plan d’action: jouer collectif, on compte sur le secteur privé, bien identifier les niveaux: national, communautaire, mondial.

                    Pour 2008 six actions prioritaires se dégagent: éolien, solaire, bioénergie, CCS, réseau électrique, Nucléaire Gen.IV.

                    La commission propose la création d’une "alliance européenne de la recherche dans le domaine de l’énergie".

                   On attend les avis du Conseil et du Parlement. A suivre..