Catégorie : actualités

  • Chine : les ventes de voitures reprennent gaillardement depuis plusieurs mois

    Chine : les ventes de voitures reprennent gaillardement depuis plusieurs mois

    La bonne santé économique de ce pays doit être confrontée à la montée en nombre de la « middle class » et aux dépenses engagées par ces nouveaux riches. Parmi les indicateurs pertinents, figurent sans nul doute, les achats de voitures, ouverture à la mobilité personnelle et à la montée en puissance des loisirs familiaux. Il faut imaginer le communisme chinois  rejoindre pas à pas un mode de vie de ses adhérents, voisin de celui des membres du capitalisme américain, ardents  consommateurs d’énergie fossile et émetteurs non complexés de dioxyde de carbone.

    C’est ainsi que la « China Association of Automobiles Manufacturers » (CAAM) nous informe qu’au mois de Novembre les ventes et les productions de voitures ont atteint un record de 2,5 millions d’unités, confirmant ainsi la croissance de ces ventes enregistrées depuis le mois d’Août. (FIG.)

    A partir des données du mois d’Octobre il apparait que les véhicules électriques ou hybrides rechargeables représentaient entre 1% et 1,5% des ventes.

    Faut-il s’attendre à une révision à la hausse des prévisions de croissance économique de ce grand pays? Peut-être. Mais à coup sûr, les consommations locales de produits pétroliers vont poursuivre leur progression.

    Remarque du 8 Janvier 2016: depuis la publication de ce poulet, le CAAM chinois nous apprend que ce sont les ventes de voitures de tourisme qui tirent cette progression. Par contre les ventes de véhicules commerciaux, dont les camions, sont en retrait Formidable illustration du mouvement de l’économie chinoise qui tend à satisfaire de plus en plus le consommateur individuel chinois aux dépens du commerce des camions communistes traditionnels. Restera à savoir si cette évolution se révèlera compatible avec la « dictature du prolétariat » en vigueur. Les récents hoquets de la Bourse chinoise tendent à montrer que  les mécanismes de l’économie de marché capitaliste ne sont peut être pas encore tout à fait bien assimilés par les dirigeants du Parti.

    Mais le mot d’ordre semble être « Roulez Camarades! » et pour cela il faudra consommer des produits pétroliers. Une croissance annuelle du parc chinois de véhicules, autour des 20 millions d’unités, conduisent à une estimation de croissance du flux de pétrole brut pour les transports routiers autour de 0,7 million de barils/jour. C’est presque la moitié de la croissance estimée du flux mondial de consommation de pétrole qui repose surtout sur les transports.

    ACCEDER aux données du CAAM.

    Le 11 Décembre 2015

    Graphique actualisé le 20 Janvier 2016

     

  • Plaidoyer pour le gaz carbonique

    Après toutes les médisances proférées contre le CO2, chat noir des gaz atmosphériques du Moyen-Age climatique en vogue du moment, certains tentent de réhabiliter ce pauvre dioxyde de carbone qui nourrit de son mieux  la végétation et le phytoplancton. Il semblerait qu’il faille lui créditer, pour une part, la progression de la vigoureuse croissance actuelle de la végétation et des cultures sur terre. Allié du paysan qui investit et qui innove, ce ne serait pas, finalement, le monstre climatique que certains voudraient décrire.

    Pata-science de la simulation qui convainc les plus mystiques et dont les prévisions semblent être aussi fiables et crédibles que celles d’un Nostradamus.

    LIRE, pour ne pas rester benêt, le remarquable plaidoyer de Indur Goklany

    LIRE aussi le résumé sur l’excellent site de  Jo Nova

  • Facture énergétique de la France au mois de Juillet 2015

    Facture énergétique de la France au mois de Juillet 2015

    Poursuivant sa réduction, le déficit énergétique de la France dépasse, sur 12 mois cumulés, les 50 milliards d’euros, à fin Juillet 2015, en baisse de 9,5 milliards par rapport au solde de 2014.

    Le 26 Septembre 2015

  • Les élus californiens s’opposent au texte de réduction des émissons de CO2 pour 2050

    Suivre les comportements du gouverneur de Californie, en pointe dans la législation « verte » et ceux de ses élus très largement démocrates est une manière instructive de déceler les accrocs qui peuvent se révéler dans une politique écologique très avancée, au sein d’un État très riche. Il semblerait que la partie la moins fortunée des élus  soit un peu lasse  de l’impact sur les prix de l’énergie des règles et législations en vigueur dans cet État.

    C’est ainsi, nous révèle le Wall Street Journal, sous le titre choc « California’s Climat Change Revolt » que ces élus ont rejeté un texte qui prévoyait pour 2050 une réduction des émissions de CO2 de 80% par rapport à celles de 1990.

    C’est bête, queue basse, les représentants californiens à la Conférence de Paris ne vont pas pouvoir « la ramener ».

    Lire le papier du WSJ

    Le 13 Septembre 2015

    Remarque: les positions adoptées dans les papiers de ce blog peuvent parfois heurter la sensibilité ou les convictions de certains jeunes lecteurs ouverts aux idées généreuses du moment.

    Il n’est pas ici question ici de s’opposer au principe généreux de tirer notre énergie quotidienne du vent et du soleil. Qui pourrait être contre?

    Il est par contre question de remettre en cause la faisabilité d’un tel projet qui s’affranchirait de toute autre forme de ressource énergétique dont celle de la fission de l’atome. L’exemple allemand, encore tributaire de centrales électronucléaires, le démontre.

    Le caractère intermittent et aléatoire des ressources éoliennes et solaires rend peu probable, à moyen terme, la faisabilité physique et économique  de l’utilisation majoritaire  de ces énergies dans la génération d’électricité.

    L’attribution de tarifs exceptionnels aux ressources renouvelables,  formes à peine déguisées de subventions publiques, constitue une entrave à la libre concurrence et au maintien d’un marché équilibré  de l’énergie. Elle pénalise les plus pauvres qui financent les investissements  en équipements des familles plus aisées ou de groupes financiers opportunistes.

    La « croissance verte » ne se déploiera pas à base de subventions, c’est la décroissance due à l’inefficacité des choix réalisés, parce que subventionnés, qui prendra le dessus. Pensons, par exemple, au solaire allemand dans la nuit hivernale!

    L’injustice de l’idéologie écologique doit être dénoncée. L’exemple californien rapporté ici en est un exemple.

    Notez que les débats quotidiens auxquels nous assistons , invitant en plateau des écologistes convaincus, ne posent jamais la question de la faisabilité du projet!  Elle est toujours supposée démontrée.

    C’est pourtant la base de départ de tout projet raisonnable, sous peine de dommages graves.

     

     

  • Les tensions sur les salaires américains devraient se révéler en 2016

    Les États-Unis créent chaque année 3 millions de postes de travail supplémentaires affirme le BLS, en charge de l’établissement de ces données (FIG.I).

    Certains fins économistes, en particulier en France, s’étonnent que ces créations ne s’accompagnent pas de tensions sur les salaires qui progressent sagement de 2% par an environ.

    Ces derniers oublient simplement qu’entre 2008 et 2009 le nombre de postes de travail aux États-Unis s’est réduit de 8,7 millions d’unités et que la démographie croissante de ce grand pays enregistre environ tous les ans un million de plus d’individus en âge de travailler, en âge de 15 à 64 ans, tous genres confondus.

    En extrapolant la tendance actuelle de création de 3 millions de postes par an pour un million d’arrivants sur le marché du travail, il est évident qu’un jour viendra ou des tensions sur les salaires américains vont se réveiller.

    La question porte sur la date possible de ce phénomène, source possible d’une relance de l’inflation par les salaires.

    Il me semble raisonnable, d’initialiser ce problème  en Janvier 2008, période précédant la crise économique durant laquelle les États-Unis comptaient plus de 138 millions de postes de travail et où les salaires croissaient de 3,1% par an.

    Pour retrouver ces conditions d’emploi en 2016 ou 2017, c’est à dire 8 à 9 ans plus tard, compte tenu de la croissance de main d’œuvre salariée disponible et d’une stabilité des postes de fonctionnaires, il faudrait, à cette date, que le nombre de postes de travail atteigne autour des 145 millions d’unités. Une extrapolation à partir des créations de postes actuelles révèle que ce seuil devrait être atteint autour du mois de Juillet 2016 (FIG.II).

    Il semble raisonnable de pronostiquer que les tensions sur l’emploi par pénurie de main d’œuvre devraient apparaitre aux États-Unis durant l’été 2016.

    Mais libre à chacun de penser que ce raisonnement est erroné et que l’économie américaine, en déclin, ne crée que des emplois bidons, à temps partiel et mal rémunérés.

    Le 14 Août 2015

  • Quelques ordres de grandeurs élémentaires à propos du CO2

    Quelques ordres de grandeurs élémentaires à propos du CO2

    L’écologie moderne, supportée en grande partie par des idéologues dont notre pays à le secret, sinon la primauté  d’hébergement et de culture, se débat dans les ppm de CO2 et de leur impact sur le climat à venir à Ouagadougou ou à Pézenas. Vaste programme! Bien sûr tout cela n’est que foutaise et serait bien négligeable si les Politiques, hommes ou femmes de tous poils n’avaient embrayé sur la rengaine,  jeune et de son temps,  soupçonnée  d’être électoralement payante.

    Alors par souci de meilleure compréhension, je voudrais rappeler quelques ordres de grandeur  et faire quelques remarques sur la teneur en CO2 de notre atmosphère et sur les générations annuelles de ce produit qui serait, dit-on, nocif, bien qu’à la base de la croissance des plantes et des diatomées  de notre planète auxquelles on doit le gaz, le pétrole et le charbon qui sont toujours et encore à la base de notre consommation énergétique.

    Question I : quel est l’ordre de grandeur de la quantité de CO2 présente dans l’air qui nous entoure?

    Partant des 400 ppm en volumes de CO2 mesurés récemment sur le volcan  Mauna-Loa en Polynésie et d’une estimation de 2,13 Gigatonnes de carbone par ppm, soient 7,8 milliards de tonnes de CO2 par ppm, il est possible d’estimer la quantité de CO2 dans l’atmosphère (« le stock ») autour des 3100 milliards de tonnes. Ce n’est qu’un ordre de grandeur qui suppose que la mesure à Mauna Loa représente une valeur moyenne pertinente après dilution des émissions et des absorption de CO2 dans le monde. Mais retenons cette valeur qu’il va falloir comparer aux  40 milliards de tonnes de CO2 émis chaque année par les activités industrielles et agricoles de l’humanité.

    Question II: quels sont les accroissements annuels de CO2 et comment expliquer leurs variations erratiques

    Une part de ces 3100 milliards de tonnes de CO2 va être absorbée chaque année par les plantes et les océans (effet de surface) à laquelle il va falloir rajouter les émissions anthropiques ou naturelles de gaz carbonique pour établir un bilan annuel.

    Remarque importante: ce ne sont pas les émissions annuelles (qui est un flux) qui sont absorbées, c’est une part du stock de CO2 présent dans l’atmosphère. Simple problème de baignoires du certificat d’études qui n’est pas toujours très bien compris par de prestigieux auteurs. C’est la raison pour laquelle le flux des absorptions varie peu d’une année à l’autre, mais il croît régulièrement et s’équilibrera, aux rétroactions près, lentement, un jour lointain, du siècle prochain, avec le flux des émissions anthropiques.

    A partir des mesures réalisées en Polynésie (FIG.I) ces variations annuelles de flux semblent s’accroitre au cours des années mais avec une très forte dispersion d’une année sur l’autre. Citons par exemple une variation en 1998  (année très chaude) de 3 ppm (+23  milliards de tonnes de CO2) suivie l’année suivante d’une variation de moins d’un ppm (+7 milliards de tonnes de CO2).

    La grande variabilité des accroissements des flux annuels de CO2, moyennes de mesures effectuées en Polynésie, laisse à penser que les émissions anthropiques ne sont pas les seules responsables des variations annuelles constatées. En effet les émissions annuelles anthropiques sont prévisibles et en constante croissance, en relation avec la croissance économique du monde.  Si ces dernières étaient seules responsables des variations annuelles de CO2, celles-ci seraient bien plus monotones et en croissance régulière d’une année sur l’autre. Compte tenu du profil d’accroissement de ces variations annuelles, il ne me semble pas irrationnel d’imaginer, comme le fait l’Australien Salby  que dans ces variations (FIG.), une part serait due aux absorptions ou émissions de CO2 non anthropiques. Sans toutefois le rejoindre sur le caractère systématique d’un bilan positif d’émissions non anthropiques mais au contraire en supposant leur caractère aléatoire.

    Entre 1959 et 2014 la teneur moyenne annuelle en CO2 de l’atmosphère mesurée en Polynésie serait passée selon le NOAA  de 316 ppm à 399 ppm soit un accroissement dans l’azur de 645 milliards de tonnes de CO2 en 55 ans. Ceci conduit à un accroissement moyen de 11,7 milliards de tonnes par an (ou 1,5 ppm), ce qui semble compatible avec les rejets anthropiques de CO2 durant la période et l’absorption globale de CO2 par effet de surface. Aujourd’hui cet accroissement annuel moyen serait de l’ordre de 2,2 ppm (FIG.) ce qui correspond à un accroissement  de 17 milliards de tonnes de CO2 dans l’azur pour des rejets annuels  industriels et agricoles supérieurs à 40 milliards de tonnes.

    Nous pouvons en déduire que le monde, s’il voulait maintenir stable la quantité de CO2 dans l’azur,  devrait limiter,aujourd’hui, ses émissions anthropiques aux environs des 23 à 24 milliards de tonnes de CO2, ordre de grandeur des quantités de CO2 qui  disparaissent chaque année par effet de surface. Il n’en prend pas pour l’instant le chemin, en particulier sous les coups des rejets industriels asiatiques.

    Cela veut dire que la teneur en CO2 de l’atmosphère est appelée à poursuivre sa croissance jusqu’à ce que les flux croissants de disparition par effets de surface équilibrent, peu à peu, les flux d’apparition anthropiques.

    Le 22 Avril 2015

    Remarque: on passe du vieux système cgs, des pédants et savants pétagrammes de carbone, aux compréhensibles et vulgaires milliards de tonnes de CO2 en multipliant la valeur annoncée par 44/12 = 11/3 = 3.67

    Remarque: à partir des 608 ppm en masse de CO2, plus lourd que l’air, et de la masse de l’atmosphère (hors vapeur d’eau) estimée à 5 135 200 milliards de tonnes il est possible d’évaluer la masse totale de CO2 dans l’atmosphère à 3121 milliards de tonnes. Cette masse est bien inférieure à celle de l’Argon, son prédécesseur, qui arrive en troisième place avec plus de 66 mille milliards de tonnes.

     

     

  • Les productions de condensats du Dakota du Nord enfin à la baisse en Février

    Les productions de condensats du Dakota du Nord enfin à la baisse en Février

    Pour des productions de gaz inchangées, les productions de condensats de gaz de schistes du Dakota du Nord, principale ressource des États-Unis dans le genre ont légèrement régressé, de 14000 barils par jour, au mois de Février 2015. Ce résultat illustre  l’impact des prix à la baisse qui figent les investissements, mais aussi, de la baisse continue de la teneur moyenne en condensats des gaz extraits dans le gisement de Bakken (FIG.).

    LIRE le communiqué du mois d’Avril publié par les autorités locales compétentes.

    Le 15 Avril 2015

     

  • Questions pour un futur à débattre.

    Les entreprises, les inventeurs, les capitaux qui vont définir notre avenir ont bien peu à faire de la morale de leurs actions qui doivent, par leur universalité et leur prix, avant tout apporter  un solide  pay-back.

    L’aptitude à mettre à disposition du grand-public tel jeu ou objet débile ou telle plateforme d’échange de services ou d’information, touchant le plus grand nombre,  est souvent prioritaire par rapport à toute autre action plus fondamentale et plus structurante pour le bien-être de nos contemporains.

    Je voudrais ici expliciter un certain nombre de questions simples qui devraient nous permettre de comprendre le phénomène de récession, dite séculaire, qui touche les économies les plus avancées du moment et donc qui n’a rien de séculaire ou de provisoire. Je voudrais également dégonfler le concept politique de « croissance verte » dont se gargarisent certains qui nous gouvernent et qui charme bien des économistes médusés par ces nouveaux lendemains qui chantent. Pseudo-croissance subventionnée qui coûte plus cher qu’elle ne rapporte et conduit, par son inefficacité, à la récession annoncée plus haut.

    -Quel avenir économique  pour toute action qui va permettre de réduire de quelques fractions de ppm en volume la teneur en CO2 de l’atmosphère? D’un effet immédiat quasi nul, qui serait, dit-on, importante pour les siècles à venir et qui suppose que ce CO2 qui s’accumule  serait d’origine anthropique, affirmation contredite par certains.  Action négligeable si les importantes émissions asiatiques prédominantes ne sont pas concernées, ce qui est le cas aujourd’hui. Action quasi négligeable si les émissions  sont essentiellement d’origines non-anthropiques, ce qui n’est pas impossible.

    -Quel avenir pour toute action à caractère médical qui va conduire l’espérance de vie  à 65 ans au delà des valeurs actuelles (en moyenne de 18,5 ou 23 ans selon le genre). Faire vieillir nos populations présente un intérêt individuel pour certains de nos contemporains âgés mais  n’a pas forcément un impact positif sur la croissance économique de la nation.

    Progrès qui aux siècles précédents avaient permis de sauver des vies de personnes jeunes ou actives, d’éradiquer bien nombre de maladies contagieuses comme la peste, le choléra, la tuberculose  ou le tétanos par exemple  et qui maintenant, dans nos pays riches, n’ont plus ce rôle primordial d’antan.

    Il me semble important que nos pays aux économies avancées se focalisent d’avantage encore sur le sort de leurs jeunes citoyens.

    La prévention des accidents de la route ou de toutes autres sortes, la formation professionnelle accessible à tous par la mobilisation active des artisans et des industriels, la montée en qualité de l’enseignement, en particulier grâce à internet,  me semblent être des objectifs prioritaires pour une nation avancée comme la nôtre et qui veut former les générations d’avenir.

    Il n’est pas sûr que ces objectifs, hormis une politique nataliste originale, soient à ce jour bien pris en compte dans notre pays.

    Le 15 Avril 2015

     

  • En 2015, la Chine devrait assurer 54% des productions mondiales d’Aluminium

    En 2015, la Chine devrait assurer 54% des productions mondiales d’Aluminium

    La croissance des productions chinoises d’Aluminium de première fusion est, pour moi,  exemplaire du dynamisme économique  de cette nation industrielle et de sa volonté délibérée  d’assurer sa croissance, marginalement sur la base d’une main d’œuvre abondante, et surtout  à partir d’une énergie électrique élaborée à moindre coût, à partir de charbon local ou importé.

    Selon ALCOA, la Chine devrait produire en 2015 près de 31 millions de tonnes d’Aluminium de première fusion (FIG., Total Supply) et pouvoir assurer après ses consommations internes des exportations de ce métal autour des 1,8 millions de tonnes.

    Rappelons qu’en 2014 la Chine atteignait, selon la même source, une capacité de production de 25,5 millions de tonnes qui assurait la totalité de sa demande intérieure.

    Il y a là un exemple de progression importante, illustrant les ambitions économiques de la Chine qui veut devenir un exportateur  d’Aluminium et un fournisseur mondial incontournable de ce métal à partir de ressources d’Alumine locales et importées mais aussi de puissance électrique « low cost ».

    ACCEDER à la publication d’ALCOA 2015  sur ce sujet.

    Le 9 Avril 2015