L’eau et l’électricité sont les nouveaux pains et vins du monde. L’eau douce, essentiellement agricole, manque, notamment dans certaines régions fragiles et le recours au dessalement est de plus en plus fréquent.
Ce recours pourrait revêtir deux formes. Soit la forme d’un recours au nucléaire (une cinquantaine de centrales), soit la mise en oeuvre du projet DESERTEC.
Mais, ce qui visiblement coince, ce n’est pas le problème technique, c’est le problème politique dans les deux cas.
Certains sont peu désireux de voir la technologie nucléaire se généraliser avec tous les risques militaires qu’il en découle.
Mais le projet DESERTEC aussi pose problème, non pas problème technique, une très petite surface du Sahara suffirait aux besoins mondiaux, mais politiquement, il est toujours risqué de dépendre d’un seul fournisseur.
On veillera donc à préserver un taux d’indépendance (ou plutôt un bouquet) énergétique.
Le soleil deviendrait donc de l’or.
Cette évolution serait primordiale pour les pays arabes et du moyen orient, possédant peu de ressources en eau, et leur permettrait aussi, de tendre vers l’autosuffisance alimentaire.
Samedi 22 novembre 2008.




















