Catégorie : énergie fossile

  • La « relance » du nucléaire fuit…

    La « relance » du nucléaire fuit…

    AtomeDeux incidents majeurs en Allemagne auront eu raison des velléités de relance du nucléaire.
    Krummel a vu un incendie de générateur, suivi d’un arrêt en catastrophe, lenteur, opacité, et enquête policière pour savoir qui pilotait la centrale…
    La centrale est donc fermée sine-die
    Brunsbüttel aussi a vu une panne. Plus mineure, mais lors de la remise en marche " le réseau de purification des eaux dans le système de refroidissement du réacteur avait été arrêté par erreur à deux reprises".
    Bien entendu, lock out en France, mais pour l’Allemagne, la décision est emballée et postée, le nucléaire ne sera pas relancé.

    On le voit, les incidents s’accumulent dans le nucléaire, pour une simple et bonne raison, les centrales sont vieilles, mal entretenues et vétustes.
    Malgré toutes les opérations de propagande possibles. Les incidents à répétition, augurent d’un incident majeur, sous peu, un tchernobyl ou un three miles island.
    Pour l’Allemagne, c’est l’incident de trop.
    Le nucléaire y apparait dangereux, démodé, et le pays bénéficie d’une industrie forte du renouvelable.  Vattenfall Europe Nuclear Energy,devra bien sur s’expliquer.
    Mais l’explication est très simple.
    Le nucléaire ne peut être rentable, si ce n’est qu’en faisant des "économies" de bout de chandelles, qui feront un "ENORME" incident sous peu.
    Opacité, panique de l’opérateur, ne sont que les aspects les moins reluisants.
    En parallèle quand on voit le développement du renouvelable outre rhin (13.3 % du total l’an dernier, en progression de 1/3) , et l’effet de levier possible avec  une politique résolue d’économies d’énergies, il est clair que le ciseau de baisse de consommation et hausse de renouvelable va faire des morts chez les energéticiens.
    C’est leur seule préoccupation.

  • Demain, on rase gratis….

    Demain, on rase gratis….

    Staline_matinLe camarade Iossif Vissariannovitch st A l In E, a donné toutes les informations pour rassurer les masses automobilistiki sur les récoltes de pétroles.
    Bien que les stocks de nos camarades US soient en baisse de 4 % à la veille de la saison de déplacements stakanoviskaia, le camarade A I E  a été très clair :
    – grâce à l’action vigoureuse et énergique contre les saboteurs des installations petrolivitch, les capacités de raffinage atteindront le chiffre de 95 %, permettant aux camarades de battre nouveau record de productivité kilométroff.
    – les infâmes vipères lubriques des forces séparatistes nigériannes, une fois impitoyablement écrasées, permettront à la production de s’envoler aux cieux,

    – aidé en cela par les nouvelles capacités de camarades émirs, un temps retardés par chutes de neiges et pluies diluviennes au dessus de péninsule arabique. Grâce à des livraisons urgentes de chasse-neiges, la situation est rétablie.
    – de même, les camarades kolkoziens du Brésil et d’ailleurs, grâce à activisme de choc doubleront leur production.
    Grâce à toutes ces bonnes nouvelles, le prix du pétrole ne devrait pas dépasser en 2008 60 à 65 USD.

    Ce que c’est la nostalgie. Sans rire grâce à l’AIE (agence internationale de l’énergie), je me crois de nouveau dans ces grandes années…Jeunesse, jeunesse…Sans rire, on peut plus que raisonnablement commencer à paniquer, ne serait ce qu’à cause des dénégations…

  • Allemagne : abandon du nucléaire. Confirmé.

    Allemagne : abandon du nucléaire. Confirmé.

    NucleaireAngela Merkel vient de confirmer l’abandon du nucléaire allemand. Il faut dire qu’avec des "pannes" carabinées et multiples, le nucléaire allemand donne des signes d’usures, les industriels comme à leurs habitudes mendient.
    Il faut simplement leur rappeler que la base du système capitaliste, c’est l’investissement productif et que c’est une recette qui réussit pas mal à l’Allemagne.
    Par rapport à la tendance actuelle (1 % de gain énergétique, l’an), on fait un effort supplémentaire pour le passer à 3 %.
    Ceci est nécessaire pour tenir l’objectif de réduction de 40 % des émissions de CO2.

    Cet effort, contrairement au dire des industriels est tout à fait vraisemblable, mais le principal problème des énergéticiens est que cela va à l’encontre de leur religion (du tiroir caisse) et que leur intérêt personnel, qui est de vendre le plus possible, avec en prime des augmentations de prix conséquentes.
    Ils verraient bien un "effort de réduction" de 20 %, couplé à un "effort de prix" de 100 %.
    Au niveau quantités, ils veulent bien d’un "effort" mais le plus petit possible.
    Car si l’effort de réduction est ce qui est annoncé, l’offre sera surexcèdentaire, et là, on risque bien de se trouver, horreur, avec une stagnation des prix…
    La configuration horrible craint l’Opep pour le pétrole : que la consommation baisse plus vite que la production.
    Au niveau où ils veulent d’ailleurs, l’effort, sinon l’exploit se situe plutôt au niveau du retardement.
    D’ailleurs les bureaucraties européennes et nationales se distinguent vraiment dans la lenteur avec laquelle va être abandonner la lampe à incandescence.
    Moins vite, tu meurs.

  • Il faut cultiver notre jardin…

    Il faut cultiver notre jardin…

    CandideJ’admire à la fois les vues de Voltaire, et je me dis en même temps que les hommes ne changent vraiment pas à travers les siècles. Le libéralisme économique attaquent les "élites", comme les puces, les poux et les tiques les chiens.
    A la fin de "Candide", Candide justement dis au philosophe Pangloss (qui discours de tout, ou tout en langue), qu’il faut cultiver son jardin. Vue pénétrante, peut être encore plus aujourd’hui qu’hier. Aujourd’hui, pour parler simple, 80 % du prix de notre alimentation, c’est en fait de l’énergie.

    Sous toutes ses formes, couleurs, possibles et imaginables. Gaspillage énergétique surtout. Et de quoi s’aperçoit on ? Que, dans beaucoup d’endroits, seuls les jardins familiaux ont empêchés des dépopulations massives, si c’est vrai au moyen-âge ("les paysans mangeaient des herbes" : lire des légumes, aliment non noble), c’était aussi vrai pendant la période 1940-1948, et cela a été aussi vrai à cuba pendant la période de transition économique, et en Russie, pour le passage au communisme, comme pour le passage au capitalisme, comme c’est vrai aussi dans certains pays africains aujourd’hui.
    Pourquoi ? Pour plusieurs raisons énergétiques.
    D’abord, l’augmentation du prix des denrées, rend l’opération intéressante. J’ai récemment, moi même été estomaqué, dans un magasin agricole, de voir le nombre de sacs de pomme de terre de semence. Au dire du vendeur, c’était un succès, que lui même n’avait jamais vu, et qu’il expliquait par le prix en supermarché.
    Prix lié à deux choses mauvaises récoltes et prix du transport.
    A ses dires, la montagne de pomme de terre disparaitrait très vite.
    J’ai vérifié, deux jours plus tard, c’était vrai…
    Ensuite, les engrais pour le jardin peuvent être très simples et peu couteux : les déchets ménagers.
    Enfin, les légumes "rechargent" les terres en azote (atmosphérique).
    Il suffit de laisser les racines. Et certaines productions peuvent rester en terre. Donc spontanément, l’usage en fait de bonnes terres. Au contraire, l’extensif, fait les mauvaises terres.
    On arrive à de très bons rendements.
    Suffisant pour nourrir une famille sur de petites parcelles à peu de frais. Ne négligeons pas ce fait, c’est ce qui a sauvé le régime cubain.
    Un jardin familial, fait donc tout à fait partie des "techniques d’atténuation" du choc pic-oil. On ne transporte plus, ou beaucoup moins, des choses courantes.

  • Le grand retour de la Russie

    Le grand retour de la Russie

    Carte_russieIl ne faut jamais jouer aux échecs avec les russes, ce sont les rois. A peine les croient on refoulés au fin fond de l’ Asie, qu’ils sont, quelques années plus tard, au plein coeur du continent Européen.
    Déjà, ils ont reconquis le turkestan Soviétique, aujourd’hui, les européens viennent de poser la tête sur le billot, ou simplement de donner le bouton marche/arrêt du continent aux Russes. Le gisement contient 3700 milliards de M3, la consommation mondiale pour une année.
    Gazprom vient de choisir Total pour exploiter le gisement de Chtokman,

    La société propriétaire des infrastructures sera détenue à 25 % par total et 51 % par Gazprom, une autre société pourra prendre le capital complémentaire.
    L’exploitation prévue à l’origine pour une exportation massive sur les USA se réoriente donc notablement. Situé sur les bords de la mer de Barentz, son exploitation sera effective en 2013/2015. Mais d’ici là, ce risque d’être une autre histoire, comme dit la chanson.
    Toujours est il que ce contrat, dont on se félicite en Europe, sur la chanson de l’indépendance énergétique, n’est, ni plus ni moins qu’un suicide, et que l’aboutissement d’un immense empire Russe. Rêvé à plusieurs reprise, par Pierre le Grand, Alexandre II et Staline, l’Opa sur l’Europe est donc en voie de réalisation. Les dirigeants ont choisis. La continuation du gaspillage, et à terme, la satellisation. L’autre option, l’efficacité énergétique demande visiblement trop de ressources intellectuelles et mentales, pour les dirigeants européens. La recherche du "lebensraum" hitlérien, ne conduit qu’à la catastrophe, comme toujours.

  • Brennilis, Brennilis…

    Brennilis, Brennilis…

    Trojan_implosionLa centrale de Brennilis est la première centrale nucléaire à être déconstruite. Explosant le budget, ce démantelement n’est pourtant pas un modèle du genre.
    Politiquement correctement dit cela donne :
    "l’organisation définie et mise en oeuvre sur le site pour la gestion des déchets est perfectible".
    les inspecteurs de l’ASN disent de plus :
    "une incohérence complète (en terme de colis, de tonnage et d’activité des déchets nucléaires, des données de productions, d’évacuations et de bilans d’entreposage"

    Et bien sûr, la légère, trés légère sous évaluation de l’activité des déchets ( de facteur 30 à 200), les mesures de stockages aberrantes (déchets chimiques et nucléaires trop proches).
    Mais heureusement, la sureté n’est pas en cause (on s’en serait douté !), ni les équipes démotivées…
    Personnellement, je ne savais pas que Laurel et hardy travaillait dans le nucléaire, renforcé par charlot…
    Rassurons nous, ce n’est que le début… Du démantelement des centrales nucléaires EDF, qui entrainera "de trés graves déconvenues".
    On peut se demander la finalité de la structure des personnels travaillant au démantelement : 20 edf pour 80 "autres" ? De la "viande à rem ?"… Pourtant, le travail dans le démantelement n’est pas prés de cesser.
    Aprés de telles déconvenues dans la tenue du chantier, on peut se poser réellement se poser la question de savoir s’il n’est pas nécessaire d’attendre une décroissance naturelle de la radioactivité à vie courte. C’est le plus gros (en volume) du "gâteau radioactif".

    Photo : Gnu free Documentation license

  • Le point de bascule…

    Le point de bascule…

    BalanceL’AIE après l’IEA, le reconnait. Le point de bascule est atteint. Entre offre et demande de pétrole, rien ne va plus. La demande dépasse désormais l’offre, malgré un envol à 77 $ du brent.
    "Malgré quatre ans marqués par des prix du pétrole élevés, ce rapport prévoit une hausse des tensions sur le marché au-delà de 2010", a ajouté l’AIE. "Il est possible que le point critique pour l’offre puisse être retardé – mais pas de beaucoup".
    En même temps des révisions à la baisse de la production viennent d’être prévus pour plusieurs pays, ainsi que du potentiel non exploité de l’Opep, pour … 2009, de 2 millions de barils/jour.
    Le raffinage manque quand à lui de main d’oeuvre qualifiée (ingénieurs), d’investissements et de main d’oeuvre tout court.

    En ce qui concerne les efforts de prospection, ils se maintiennent mais n’augmentent pas. La raison en est simple, dans l’optique des pétroliers, il n’y a plus rien à trouver.
    En réalité, ce que ne veut pas reconnaitre l’AIE, c’est que non seulement la croissance de la demande continue, mais aussi que l’offre devient elle même problématique. Les perspectives à moyen terme sont abaissées, mais le court terme est aussi inquiétant aussi. Les gisements deviennent "matures" (selon la terminologie politiquement correcte), c-à-d, déclinent. 1.7 à 1 millions de barils jour pour la mer du nord Britannique, encore moins que les prévisions gouvernementales qui oscillent entre quasi maintien (1.6 MBJ) et franc déclin  (1,1 MBJ). Le syndrome qui nous frappe risque d’être celui "du jour d’après".
    Bien que prévu et prévisible, le début de la fin surprend tout le monde…
    Avec cela, autre nouvelle disjointe qui est lourde d’inquiétude : la Turquie a massé 140 000 hommes à la frontière irakienne, et l’état-major semble bien déterminé à régler la question kurde. Contre l’allié de l’allié.
    Pendant ce temps, la production de bio carburant va bientôt atteindre 1.75 MBJ (ne riez pas : consommation 1920).

  • Stocks d’essence miraculeux !!!!!!!

    Stocks d’essence miraculeux !!!!!!!

    Miracle_des_loupsLes taux d’utilisation des raffineries US baissent légérement, pour pouvoir retrouver des marges correctes, il faudrait passer d’un taux d’utilisation, déjà plus que correcte d’un peu moins de 90 % à un taux (miraculeux déjà) de 95 %, quasi impossible.
    A cela s’ajoute que la saison des transports commence, et les stocks devraient, logiquement diminuer.
    Il n’en est rien. Ils augmentent. Il suffisait d’avoir la foi, comme les américains et d’attendre la multiplication des pains, euh, pardon, des bidons.
    A cela s’ajoute le bord… euh pardon, des événements troubles au Nigéria (chute de la production de 700 000 barils), d’autant plus grave pour les USA, que le brut nigérian est de trés bonne qualité, et est trés facilement raffinable.
    Les stocks sont donc passés à 204,4 millions de barils (augmentant de 1.8 millions de barils), alors que :
    – le taux d’utilisation des raffineries diminue légérement,
    – la consommation augmente….

    Seule explication valable : Saint Georges (Bush) est intervenu, puisant dans les stocks militaires. Ou alors, les nouvelles sont simplement tronquées, visant à calmer la fièvre des marchés…
    76 dollars  le baril de Brent est presque au sommet d’il y a un an, le 8 juillet 2006 (78.65  USD).
    Bien entendu, la version officielle est différente. C’est la faute à une manipulation nigérianne qui vise à faire monter les cours pendant la "driving season", enlévement de techniciens, la conjoncture plus que troublée du delta du Niger tient désormais le monde en haleine. Plus ou moins 700 000 barils par jour, c’est la différence effectivement entre la pénurie et le juste assez.

    PS : je vous indique le truc (tout le monde ne le connait pas), c’est TOUJOURS le désordre au Nigéria, on devrait être au courant, cela fait 40 ans que cela dure…

  • Rono 4, quatrelle, logue-anne…

    Rono 4, quatrelle, logue-anne…

    4lcalandreCarlos Ghosn, a donc largement imposé la logan, contre une partie de l’establishment Renault, qui avait oublié une clé du succés, que ce soit renault des années 60, citroën ou ford…
    Dans le mode de vie actuel, un bon nombre de personnes sont obligés d’avoir une automobile (pas tous, bien sûr), et le vivent comme tel.
    Il n’y a plus, pour beaucoup (pas pour tous évidemment), de "magie" automobile, seulement une pompe à fric coûteuse.
    Mais, on aimerait bien, aussi une pompe à fric qui en pompe (beaucoup) moins, à l’achat, à la pompe, à l’entretien…

    La Logan, a été une (partie de) réponse à la question. Pas trop cher (mais pas trop bon marché), des équipements pour qu’elle ne soit pas trop basique. On voit que l’establishment automobile, lui, n’a pas abandonné ses rêves…
    Les consommateurs sont plus terre à terre, ils voient leur budget. Il faut que cela colle avec. C’est tout.
    La logan break, par exemple semble un bon compromis : pas vilaine, dans la même gamme de prix, sans doute une clef du succés.
    Allons, Messieurs de Renault, encore un effort ! Au lieu des plans sociaux et des hotline pour éviter les suicides, pensez à une partie de votre marché, vous savez ces types qui font le SACRIFICE de s’acheter une voiture, qui aimeraient qu’elle fasse moins de 5L au cent, et qu’elle ne soit vraiment pas cher. Moins de 5000 euros. C’est parfaitement faisable, industriellement parlant, vous cesserez de chuter sur votre marché interne ! Vous comprenez trés bien sur le marché indien qu’il faut un modéle en adéquation avec le pouvoir d’achat, pourquoi ne pas le comprendre en Europe ?

    photo : Gnu free license.

  • Renault : le syndrome GM II

    Renault : le syndrome GM II

    LoganSouvent, les constructeurs recherchent de la marge, conquérir des marchés extérieurs, pour un ailleurs meilleur mythique, en délaissant le marché intérieur. L’antithése des grandes années, où les constructeurs faisaient 85 % de leur marché intérieur…
    Comment faisaient ils, à l’époque ? Citroën avait donné la réponse avec la 2 CV : peu coûteuse, peu gourmande, peu de marge. Renault avait répliqué avec la Renault 4, qui, si elle n’avait guére de tenue de route, avait un bon coffre, était presque un utilitaire, et perdura comme un succés commercial pendant de longues années.

    Puis, à l’image des constructeurs nord-américains qui montrérent la voie, ils cessérent de s’occuper de leur taux de pénétration, pour privilégier la marge. C’est vrai qu’elle est notablement plus importante sur des modéles à 30 000 euros qu’à 5 000. Mais il ne parvient pas jusqu’au cerveau des gros constructeurs que c’est peut être ces voiture qui intéresserait le plus les gens ?
    Je citerai un internaute qui nous parle du Japon :
    "donc ici au japon, des bagnoles carrées, 600 cc, à partir de 4500 € à peu près, basiques et à peu près fiable. Ca consomme pas grand chose et les taxes sont faibles (plaque spéciale)." Basique, fiable, et économe, une voiture pour tout les jours, quoi…
    "C’est dommage qu’ils se gardent ces voitures pour eux et qu’ils nous refilent leurs énormes 4X4 que le parigo viril s’empresse d’acheter." Avec le pare-buffle, c’est bien connu qu’en France, les buffles, ça grouille partout. Peut être, aussi, est ce pour cela que les constructeurs Japonais tirent trés bien leur épingle du jeu. Faire le maximum sur leur marché interne, quitte à sacrifier la marge (néanmoins, elle doit se retrouver dans les volumes), donner des voitures en adéquation avec leur pouvoir d’achat… Que de recettes miracle !!!!