La coexistence dans le monde de famine et de pétage de sous ventrières, déjà existantes, et déjà condamnées s’accentue.
Exit la propagande banque mondiale "la pauvreté reflue". Elle s’accentue, et s’accentue dans la vie et les budgets de tous les jours, les budgets alimentaires.
Tous les pays du monde ont enterrés l’ OMC, car ce sujet est désormais trop sensible.
On privilégie le marché intérieur, pour diminuer les tensions sociales.
En Chine, ou en Russie, on en a, vulgairement parlant, plus rien à faire du libéralisme économique.
En même temps, la poussée de la consommation de viande repose le problème de la concurrence homme/animal, sempiternel problème, mais accru aujourd’hui.
L’envolée du prix de l’énergie fait flamber le prix des intrants.
Certains produits se renchérissent à cause de la poussée des "bio" carburants, ou sont directement utilisés comme carburants.
Une crise que l’on méprise se fait jour.
Une crise classique, alimentaire, et crise d’ancien régime.
Il n’y a plus assez pour tout le monde, et la famine tue les plus pauvres.
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