La France vient de le reconnaitre, l’accident nucléaire est possible.
Déjà l’amiante avait connu un record de lenteur (1907-2007), entre la date où le gouvernement avait été prévenu de son danger, et la date effective de son interdiction.
Là, consolation, on a mis QUE 40 ans.
On "esquisse" une doctrine.
"Jusqu’à présent, les textes géraient la phase d’urgence d’un accident, jusqu’à la fin des rejets radioactifs, ce qui donne lieu à une dizaine d’exercices par an ".
Autrement dit, il n’existait rien.
Mais après ?
Car il faudrait gérer sur des centaines, voire des milliers d’années.
Des zones contaminées gravement existe sur l’ancienne URSS, mais les russes n’ont pas le même rapport au sol. La propriété privé du sol, l’enracinement, n’y a jamais existé.
"On peut modéliser, supputer ; de toute façon, rien ne se passera comme prévu ".
On voit le mensonge du nucléaire. Passer le premier rempart, l’équipe en charge de la centrale, il n’y aura plus rien.
"On travaille sur des accidents très minorés par rapport à Tchernobyl, rassurants pour les autorités ".
Pauvres autorités.
