C’est pas bien souvent à l’heure actuelle, mais pour une fois que quelque chose semble bien vu et prometteur chez nous, il faut donc le dire et le clamer.
ON EST SUPERBIENPLACE SUR LES CARBURANTS ISSUS DES ALGUES. En toute modestie. Bien sûr.
Ordre national du mérite, pas plus, pour la légion, plus tard, parce que vous insistez…
Alors que la plupart des carburants industriels d’origine végétal génèrent des couts élevés en énergie, cout environnementaux, impacts, les algues n’en ont aucun.
Potentiel de développement 30 fois supérieur aux oléagineux,
acides gras représentant 50 % de leur poids, on ne pouvait trouver mieux.
Et il n’y a pas photo : 24 000 litres de carburants à l’hectare contre 6 000 pour le palmier et 1 500 pour le colza.
Avec l’étude de l’ANR (agence nationale de la recherche), une Pme et 7 laboratoires étudient 8 espèces d’algues particulièrement productives.
Absorbant le CO2 et avec des produits annexes à forte valeur ajoutée, sans concurrence avec l’alimentation humaine, les algues semblent être une solution plus judicieuse que de l’éthanol, ou même que les huiles végétales déjà bien plus productives que le dit éthanol.
Des études de stress ont aussi lieu pour voir l’impact sur leur productivité.
Un bon point donc. Mais qui me rappelle une observation faite dans nos campagnes abandonnées. En effet tous les vieux abreuvoirs inutilisés sont remplis d’algues, et si des bonnes âmes ont souvent la volonté de les nettoyer, elles abandonnent vite, faute de résultats durables…
Merveilleuse Nature !
