Fusion en vue, mais financière…
On voit arriver là aussi, le néant conceptuel.
Pour être "in", il faut fusionner.
La finalité, le pourquoi et le comment ? Inexistant.
Areva et Alsthom vont se réunir et former un groupe pesant 40 milliards de capitalisation boursière.
Le CEA posséderait 30 % du nouveau groupe, l’état 5 %, et Bouygues 26 %.
Là, non plus, aucun argument technique, comme dans le cas de GDF/SUEZ, la fusion de neurones chez certains doit être donc maximale…
On voit aussi les dégâts sur les cerveaux des responsables.
intérêt nul + finalité nulle = un gros pâté de sable…
C’est comme ça qu’il faut interpréter les choses, messieurs les puissants s’amusent. Ils s’amusent à créer des groupes et des conglomérats privés, avec ce qui fut des groupes publics.
