Dans un certain nombre de pays, le carburant est subventionné.
La banque Mondiale pousse à l’abandon de ces subventions.
Cela peut semblé étrange vu d’ici, ou seuls certaines professions, mendiantes, profitent de ce genre de mannes.
Ce peut être compréhensible pour les contrées où le pétrole a détruit tout autre activité.
Il faut bien qu’il y ait une certaine compensation.
Mais certains sont aussi des pays importateurs nets.
Mais la réduction des subventions est aussi synonyme de crise sociale.
Avec la crise alimentaire, une augmentation des prix de l’essence serait … explosive, socialement parlant.
Si, effectivement, leur abandon est plus ou moins inéluctable, il est clair que ce n’est pas le moment.
Il serait censé et bien préférable d’attendre une détente des budgets alimentaires.
Cette augmentation supplémentaire ajouterait encore au climat social détérioré.
L’énergie a rejoint la nourriture dans les dépenses forcées.
Il est préférable que les gouvernements ne l’oublient pas.
Il n’existe que deux sortent de gouvernants. Ceux qui obéissent aux banquiers, et ceux qui les exécutent.
