N. Sarkozy ne peut donc rien refuser à Bouygues, un deuxième EPR sera construit en France.
Le réchauffement climatique en est la justification, le but étant de devenir "exportateur d’électricité".
Le développement économique du nucléaire a montré ses limites.
La France exporte de l’électricité à bas coût, en importe une chère, au moment des pointes, globalement, la balance est déficitaire.
Le Grenelle de l’environnement était censé donner le "la".
C’était les nouvelles technologies et les économies.
On peut très bien, faire fonctionner les centrales nucléaires existantes jusqu’à leur démantèlement, sortir du nucléaire et réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre.
En ce qui concerne d’ailleurs l’incompétence des constructeurs, elle est abyssale, que ce soit en Finlande ou en France.
Les deux chantiers en cours sont, il faut bien le constater, des foirages infâmes.
En même temps, il faut aussi voir les limites de la politique engagée.
2 sont nettement insuffisants, combien en faudrait il donc ?
C’est, le contraire d’une politique, qui demande du souffle, de la durée et qui semble très bien engagée.
Il s’agit d’impulser un rythme de changement technique plus rapide.
