Il y a une question que l’on se pose fréquemment, le solaire, est-ce au niveau individuel, rentable ? La réponse est oui, absolument dans un cas de figure pur : si la connexion au réseau n’est jamais rentabilisé. Là, edf, notre compagnie nationale et préféré joue le jeu depuis longtemps. Il a toujours été plus avantageux, au moins pour elle d’équiper en capteurs solaires les lieux isolés. Un kilométre de ligne électrique peut en effet aisément atteindre les 300 000 francs au kilométre…
Sous nos latitude, le rayonnement atteint 2 à 3 kwh par m2 et par jour, le rendement, compris entre 13 et 17 %
permet donc d’atteindre les 100 kwh récupérés par M2 et par an. sur une période de 30 ans. A ce rendement là, seul l’intervention des pouvoirs publics par le biais de tarifs de rachats et de subventions en forme de crédit d’impôt permet d’atteindre la rentabilité.
Mais, là aussi, il y a un gouffre entre les produits existants sur le marché, (13 à 17 % de rendement), ceux qui vont être lancé (30%) et les nouveaux prototypes (40%).
Seul le bon marché des énergies fossiles a retardé l’essor du photovoltaïque. Mais, même à des rendements trés bas comme 13 ou 17 %, il suffirait de 1.5 % de la surface de l’Ue pour couvrir la totalité des besoins du monde. Plus l’efficacité sera grande et la surface à couvrir moins importante, plus sa généralisation sera vraisemblable, hors subvention. les japonais esperent rendrent le photovoltaïque rentable dès 2010.
C’est aussi une régle dans le monde industriel : les industries jeunes ont besoins pour pousser de la protection des états.
