EDF aurait fait une offre majorée sur BE.
Là aussi, je ne sais pas combien il y a de membres au conseil d’administration, mais il n’y a visiblement pas un seul cerveau en état de marche.
BE ne vaut rien, et EDF a de sérieux soucis sur les bras.
Tant que l’option de l’incident de la centrale du Tricastin n’est pas levé, EDF ne vaut rien et aucune compagnie disposant du nucléaire ne vaut pas le moindre kopeck.
En effet, si l’accident tourne mal, ou même s’il faut évacuer la population proche, l’onde de choc sera dévastatrice.
Tel l’accident de TMI et de Tchernobyl qui ont conduit à l’arrêt des programmes, la reprise de ceux-ci deviendrait problématique, et le cout industriel d’un chantier de décontamination, même si celle-ci était confiné, réduirait la valeur EDF à zéro.
On parle d’évacuation des populations, sans bien sûr, vouloir le mettre en parallèle avec l’incident.
Bien entendu, le cout économique pour la collectivité serait délirant, même celui d’un simple incident sans rejet externe.
Tout d’abord, la totalité des alentours des centrales françaises perdrait toute valeur, ce que les propriétaires ne verraient pas forcément d’un bon oeil.
Le pire est que, devant l’incident, EDF ne sait visiblement pas quoi faire, même maintenant.
En ce qui concerne les prises de participation, il était urgent d’attendre.
Dans quel monde vivent ils ?
Mardi 23 septembre 2008.
