L’ URSS était une puissance inquiétante, dotée d’une armée forte, et d’une économie faible, et d’une diplomatie déplorable.
La Russie, ce n’est pas une armée faible (si elle a diminuée en taille, elle est loin d’être négligeable), c’est une armée modernisée dans son armement et dans sa technologie, c’est aussi une économie différente, et désormais une diplomatie habile.
Les économistes soviétiques ne comptaient pas les services dans le calcul du Pib, ils disaient que ça n’existe pas.
Les économistes russes, ont gardés cette approche, qui est loin d’être fausse.
La seule chose qui avait une importance pour eux, c’était la production physique… et la production physique.
L’ Occident et l’ Orient ont évolués de façon diamétralement opposé ces 20 dernières années.
Les puissances occidentales se sont mises à truquer leurs chiffres économiques de plus en plus.
Et à recourir à une propagande de plus en plus éhontée.
Bruxelles et l’ Union européenne ont adoptés la langue de bois soviétique : un langage convenu, qu’un porte parole annone sans y croire un instant, et sans essayer de convaincre.
Le soviet bruxellois, considérant que le peuple n’a pas répondu à ses attentes, a décidé de dissoudre le peuple.
Désormais, la crise occidentale est visible, et la crise soviétique passée.
La Russie a pour l’avenir, des atouts maitres : pétrole, gaz, ressources minières et agroalimentaire, qui a la différence de l’ Amérique, ne servira pas à fabriquer de l’éthanol.
Photo : le drapeau de l’ union européenne.
