Nouvel avis, du même bloggueur, pas dénué de bon sens :
"Le premier investissement à réaliser lors de la construction ou à l’occasion de la rénovation d’une maison ne se situe pas dans les énergies renouvelables, qui, pour renouvelables qu’elles soient, sont encore et toujours de l’énergie consommée. L’investissement primordial réside dans la recherche d’une consommation d’énergie aussi faible que le permettent les techniques actuellement disponibles sur le marché. La moins onéreuse, la plus efficace et la plus rentable sur le long terme ? Sans même chercher à atteindre le critère de consommation d’une maison passive, une isolation digne de ce nom : au moins 20cm d’isolant sur les murs par l’extérieur, 30cm en toiture, des menuiseries doubles ou triples vitrages à l’argon, des protections solaires dignes de ce nom, et si la maison est bien orientée et possède des grandes baies vitrées au sud, il y a fort à parier que le bilan thermique fera, dans la majorité des cas, ressortir comme totalement superfétatoire une installation de chauffage lourde type pompe à chaleur ou chaudière à bois et qu’un simple poële suffira à apporter les calories nécessaires. Le puits canadien connecté à une VMC double flux à récupération de chaleur parachèvera le dispositif."
Mais optimiste quand même. Un puit provençal suffisant ? Oui, si l’on se contente de peu. Comme nos ancêtres.
Je l’ai souvent indiqué, la meilleure énergie est celle que l’on ne dépense pas.
Nos ancêtres avaient pour se chauffer guère de bois (même chez les riches), mais des communications avec l’étable, de l’ingéniosité et des chauds habits…
Mais la solution proposée, est quand même celle de chauds pays…
