On nous dit doctement que la crise la plus forte a été évitée. Il n’y aura pas de récession.
A condition, bien entendu, de considérer comme vrais les chiffres officiels.
Ce qu’il se dessine de la grande crise financière et énergétique, c’est d’abord la nationalisation totale du système bancaire, ensuite la remise en question des vaches sacrées et notamment de la bienfaisance du marché.
Cette bienfaisance du marché, cette main invisible, a envoyé le marché immobilier au tapis, et le marché de l’alimentation et de l’énergie au plafond.
Cela a conduit la CFTC (agence américaine de régulation des matières premières) à examiner les
Modalités sur les contrats à terme du pétrole.
Les jours du marché sont donc comptés, et celui-ci ne peut exister sans l’aval, l’autorisation et la complicité des politiques. Mais, sur le prix de l’essence, ils ont été trop loin.
D’après le site S et P, la spéculation est exercée sur une place offshore britannique, à 70 % par les 3 compères que sont Goldman Sachs, Morgan Stanley et JP Morgan Chase.
Dans les bulles, immobilières, alimentaires et énergétiques, on retrouve les 3 frères rapetous.
