L’esprit d’aveuglement est très répandu, surtout dans les beaux esprits.
"On a plus de pétrole", "on en trouvera encore", "on aura les moyens de trouver". Pour résumer "Yakafokon".
Voila le point de vue de JM Chevalier de l’université dauphine qui dirige le CGEMP (centre géostratégique de l’énergie est des matières premières).
Première franchise (petite) : on ne sait comment va évoluer les cours.
Deuxième langue de bois : c’est la faute aux troubles politiques (sous entendu, il faut pacifier), mais, petite évolution, il faut économiser et diversifier…
Bien sûr le fait que devant les couts d’exploitations, les revenus des compagnies pétrolières souffrent, malgré des cours coquets, est complètement évacué.
En effet, le tout n’est pas d’avoir un réservoir. Si grand fut il. Il faut avoir un robinet et un tuyau. Et les bureaucrates qui nous dirigent ne comprennent visiblement pas, comme le faisaient ingénieurs et techniciens que c’est compliqué et de plus en plus.
Enfin, là, c’est plutôt le point de vue du courtisan bien en cour…
