le porte à faux de la maison blanche s’accentue sur le dossier du réchauffement climatique.
La foi du président G W Bush en le libéralisme et la technologie est de plus en plus affirmé, évolue aussi un peu :
"mettre l’accent sur la manière dont les grandes puissances économiques peuvent, en étroite collaboration avec le secteur privé, accélérer le développement de technologies propres, composante essentielle d’une approche globale des réductions des émissions de gaz à effet de serre’."
Il est évident que les dividendes politiques de ces inflexions sont attendues. Les plus activistes en la matière étant les plus adulés aux USA.
De plus en plus d’états et de grandes compagnies américaines veulent donc s’inscrire dans un processus volontaire de réduction des gaz à effet de serre. L’argument économistique ne fonctionne plus beaucoup :
Deux sénateurs ont présentés un plan visant à réduire de 70 % les émissions d’ici 2050, et sans affecter l’économie…
Se retrouvent sur la même longueur d’onde :
– Joe Liebermann, indépendant tendance démocrate,
– John Warner, républicain,
Qui veulent développer l’utilisation des technologies propres, stabiliser les émissions d’ici 2012 et reduire de 70 % d’ici 2050…
