en emporte le vent et de son sabre de bois ?
Un article paru dans "le monde", assez représentatif, voir caricatural du point de vue des gouvernements et relayés par les médias.
Parait il que les "épaulettes" auraient peur de la démocratie.
Oublié la question énergétique avec la Russie, assez bien résumée par le schéma ci dessus.
Dans toutes les relations avec la Russie, l’important est l’excédent énergétique russe, la guignolerie de parler de la démocratie.
L’union européenne est d’ailleurs une structure Post-démocratique qui n’a rien à envier à l’URSS. Mêmes mensonges, même intégrisme économique destructeur.
Face à un pouvoir russe habile, efficace et extrêmement manoeuvrier, l’ensemble Union Européenne apparait aussi destructuré qu’indécis.
D’ailleurs, selon un article paru sur orange, le but ne serait plus l’indépendance énergétique, ni même une moindre dépendance, mais de ne pas trop augmenter la dépendance.
Pour sauver Nabucco, le gazoduc qui relierait l’Europe au Turkménistan, on parle désormais de le relier avec South Stream, le gazoduc russe, ou comment le sauver, en le rendant inutile. Pitoyable.
Face à cela, la doctrine russe est clair : plus de pillage des ressources énergétique comme sous Elstine, et garde du contrôle de cette ressource, ici, mais aussi ailleurs, en Irak, au Nigéria, et dans tous les endroits possibles.
Tout d’abord, au sommet de de Bucarest, qu’est ce qu’a été la position de V. Poutine ?
"Le chef de l’Etat russe a ensuite expliqué à ses partenaires que l’Ukraine, une fois dans l’Otan, cesserait d’exister sous sa forme actuelle ".
Le chef d’état russe a promis la guerre.
La notion russe des frontières est différentes de celle des occidentaux. Les provinces périphériques, notamment l’ukraine (qui veut dire terre des confins) est peu et mal défendable. Cela s’est vu en 1941, 1914, 1811, 1709, 1620, etc…
Mais une fois que l’on touche aux terres réellement russes, la donne change, elles sont défendues farouchement. Tous les envahisseurs ont connu leur "bataille de Smolensk".
