Les centrales nucléaires que notre président voudraient vendre partout dans le monde risquent de disparaitre plus vite que prévus, faute d’uranium.
Dès 2015 (date la plus optimiste), les stocks sur lesquels nous vivons depuis 20 ans seront épuisés.
Sans doute, seront ils épuisés avant.
Les réserves sont méconnues, surestimées, et le mensonge des officiels français patent.
En 1985, le pays était censé avoir 112 000 tonnes de réserves, 25 000 furent extraites, et quand les mines fermèrent, il ne restait plus que 11 700 tonnes de réserves.
En tout état de cause, celle-ci était grandement surestimées par le lobby électro-nucléaire.
Chaque jour, les (mauvaises) nouvelles s’ajoutent. Areva est en train de se faire virer du Niger, ardemment courtisé (et achetés) par les chinois, la mine de cigar lake (Canada est toujours inondée pour longtemps, et celle de Western range (Australie) ne produit toujours qu’à la moitié de ses capacités, pour des raisons d’inondations aussi.
Pour l’AIE, la pénurie arrivera en 2015 avec les réserves prouvées (qu’on doit prendre avec beaucoup… de réserves), en 2025 avec les probables (on peut toujours rêver), ou en 2035 avec les réserves possibles (réservées aux fumeurs de moquette).
