De + 1.8° à + 4.4° Celsius de hausse des températures d’ici la fin du siécle, hausse du niveau des océans, fonte des glaces.
Mais la dilatation des océans fera plus pour la hausse du niveau des océans que la fonte des glaces.
Et le phénomène, par inertie durera plusieurs siècles.
La montée des océans ira de 40 cm à 3.7 mètres (sans tenir compte de la fonte des glaces).
Les économies d’énergie, les énergies propres réduiront le phénomène, sans le contrarier.
Mais le Giec est sans doute trop assis sur des certitudes. En effet, le monde officiel est sûr de beaucoup de choses.
Sûr de ses réserves de pétroles, gaz, charbon et uranium. Et a plusieurs reprises, il est apparu que ces 4 énergies avaient des réserves beaucoup plus basses que prévues, ou beaucoup moins exploitables qu’on ne croit.
Ce qui rend le changement inévitable.
Le pic de l’uranium est vieux de vingt ans, le pic du pétrole est certainement en train de se produire. Il sera suivi de peu du pic de la production de gaz. Le plus lointain est celui du charbon, certainement 2020…
La croissance démographique, de même, n’existera plus en 2020, et le reflux peut très bien prendre une allure de débâcle.
Les épidémies émergent à grande allure, et rien que le sida aura couté la vie a plusieurs centaines de millions d’êtres humains d’ici 2050. Morts proprement dits, mais aussi baisse de la natalité et diffusion de la contraception.
On le voit, le remède en la matière : épuisement des énergies fossiles- réchauffement – émergence des épidémies, risque de radicalement changer la donne.
