La dégringolade continue. Le pic de l’uranium précédera peut être le pic du pétrole.
En effet, la production d’uranium ne couvrirait plus 60, mais 40 % des besoins des centrales.
Le "problème" se résorberait de lui même : plus de combustible.
Les mines sont soient insuffisantes (Russie), soient d’exploitation apparemment délicate, soit d’exploitation politiquement impossible (Australie).
Le cours de l’uranium flambe, aucune grande découverte n’a été faite, et l’exploitation des mines est très énergivore elle même, notamment en combustible fossile. La totale quoi. lontemps à 10 dollars la livre, l’uranium atteint désormais les 75 $.
L’inondation de la mine de cameco au Canada, pése lourd dans ce bilan. Cette piqure de rappel est importante. La filière nucléaire n’est pas plus sûr qu’une autre. Seule celle des économies d’énergie est toujours bonne.
"Le seul bon pétrole est celui qui reste sous terre"
Ayatollah Komeiny