Entre la compagnie italienne ENI et GAZPROM, c’était déjà les papouilles.
Le risque de l’hiver risque de dessiner une autre configuration de l’ Europe, avec une lune de miel et une histoire d’amour entre les deux protagonistes, digne de roméo et juliette, scarlett et rhett.
La problématique est simple. Ou l’Ukraine rejoint le giron russe, ou c’est l’ Italie (et volontairement). Sans doute, à terme, les deux.
La dérive du système néolibéral, l’absence total d’investissement se fait sentir dans sa gestion gazière : une consommation en hausse, mais une infrastructure inchangée.
Voilà le problème italien.
En 2005/2006, la flamboyante économie italienne avait redécouvert le rationnement. On y est de nouveau. Tout dépendra du temps et de l’ Ukraine.
Aussi, papa Bruxelles fait pression (normal pour des buveux de bières) pour que l’ Italie ne céde pas aux sirènes de Moscou, et sans doute aussi pour que l’ Ukraine arrête de leur briser les B…ras, en étant bêtement pro-occidental et candidat à l’union européenne.
Hein, d’abord, les Zukrainiens, ils ont un bon, grand et beau pays d’abord ! ça ne leur suffit pas ?
