Selon le très soviétique (un soviet est un endroit où une idée sortant de la ligne officielle n’est pas acceptée et très durement réprimée) FMI, les fonds publics seront nécessaires :
"Les gouvernements doivent être prêts à accroître leurs dépenses pour relancer l’économie et sauver le système financier affecté par la crise du crédit, a expliqué hier John Lipsky, le numéro deux du Fonds monétaire international. ".
Le financement de la relance, affecté au secteur énergétique représenterait un new-deal roosveltien du meilleur tonneau.
Alors, qu’à l’inverse, les interventions des banques centrales sont de la confiture aux cochons :
"mais signale que les mesures prises par les banques centrales montrent leurs limites et qu’il faut se préparer à l’idée d’une intervention si le système financier craquait sous le poids des inquiétudes actuelles. ".
Donner de l’argent aux banquiers est stupide. Si celui qui le fabrique est incapable de l’employer, il ferait mieux de devenir carreleur.
La bonne relance consisterait en des dépenses d’équipements, couplées à des dépenses d’économies d’énergies et de relève de générations pour la production.
En ce qui concerne le "stimulus fiscal", il est aberrant de bêtise :
" Mais il a également salué le stimulus fiscal récemment décidé par le gouvernement américain ". Il ne servira qu’à rendre des trésoreries un peu moins négatives…
Mais bien à l’image du FMI : les prêts servent à payer les intérêts des anciens emprunts.
