Léger rebond de la production norvégienne de pétrole.
Sans remettre en cause le déclin irrémédiable de la production, ce mieux va dans le sens d’une exploitation plus prudente et plus raisonnée que la partie britannique de la mer du nord qui a été exploitée très vite.
1.866 millions de barils jour en juin,
0.319 millions de barils jour de Gnl (gaz naturel liquéfié) et de condensats.
La prudence norvégienne dans l’exploitation était due à une croyance forte en la théorie de Hubbert, à la volonté de ne pas voir le pays détruit par le pétrole, et en la difficulté pour un aussi petit pays de maitriser le développement.
Mais le gout de la ressource gratuite a quand même réussi à empoisonner les norvégiens. Ils pensent sérieusement à développer leurs considérables ressources de Thorium…
La problématique de la ressource gratuite, comme le sont les ressources minières et essentiellement énergétique est la destruction totale du reste de l’économie.
En gros, un secteur fait 40 % du Pib, et il ne reste plus rien à coté. Le pib flambe les années de cours élevés, et dégringole les années de cours bas. Le développement n’est donc plus assuré.
On rentre dans le cas de l’ Espagne coloniale…
