Pour le patron d’Eon, Wulf Bernotat, la menace la plus grave s’appelle commission européenne. Pas Russie.
Les dirigeants, une certaine classe sociale, perdue dans ses rêves néo-libéraux, rejetés à la fois par les peuples, et de plus en plus par les états, par les entreprises géantes, font de plus en plus figure de malades mentaux atteints de troubles obsessionnels compulsifs, soignés par des statistiques soviétisées à l’extrême, que personne ne croit. Sauf eux.
Tant que l’ouverture des marchés les avantageait, les grands groupes aussi étaient "pour".
Pour cette politique qui écrasait les salaires, leur permettaient d’engranger, à coup de hausses indues des bénéfices coquets. Mais maintenant ?
Le sacrifice, le sang, et les larmes, ce n’est pas pour eux.
Quand à notre chère tête (complétement) vide de Christine Lagaffe de labourde / bourdes, elle a trouvé une explication à la flambée du prix de la nourriture : les pauvres, ça mange de plus en plus en Inde. Il parait qu’ils font désormais plus d’un repas.
Il y a quand même des limites à ce que l’on peut tolérer comme bêtises des gouvernants.
Et voir la limite de ce que l’on peut en attendre.
Visiblement rien de la ministre… Alors relever des défis énergétiques…
