Étiquette : vit des heures difficiles épinards Pour la version soft

  • Plus un Kopeck pour l’Opec…

    Plus un Kopeck pour l’Opec…

    Images_3 L’Opep, (OPEC en Anglais), vit des heures difficiles.
    Non pas à cause du pic pétrolier (ça, ça arrangerait plutôt ses épinards), non pas à cause du prix relativement bas (qui est aussi relativement haut), mais parce que l’industrie de l’âne fonctionne fort bien dans ces pays, et dans tous les pays biens pourvus en ressources naturelles.
    Explications : Vous prenez un potentat local, vous l’arrosez bien et de plus en plus en dollars. Vous laissez mijoter quelques temps et vous créez un petit krach.
    Là, vous vous apercevrez que le potentat local, il a placé ses dollars, qu’il en a perdu pas mal, mais aussi qu’il n’avait pas suffisamment de sous pour y jouer suffisamment.

    Alors, il s’est aussi endetté en $, malgré ses-dollars-rien-qu’à-lui-mais-qui-étaient-pas-suffisants.
    Résultats, la baisse de ses avoirs, et ses dettes exigibles, ça fait faire le grand écart, avec déchirements d’adducteurs garantis, surtout si on a plus de 50 ans passé…
    Comme les dollars, il en avait moult, moult, moult, il a engrangé des dettes, aussi, moult, moult, moult…
    Malgré des cours du pétrole pantagruéliques, le trou noir financier est encore bien plus gros que toute l’économie réelle. Et bien plus gros que toutes les ressources des pétroliers…
    Il n’y a rien de plus bête qu’un riche. Il vit entre deux hantises, celle de perdre son argent et celle de ne pas le voir grossir assez vite.
    En jouant sur la deuxième corde, il est possible de lui faire faire tous les tours de cirque les plus audacieux.
    Rockfeller était devenu riche grâce au pétrole, mais ce fut grâce à ses talents de manipulateur financier et parce qu’il était le plus gros crocodile du marigot.

    Ils avaient confiance en l’Amérique, l’Amérique, elle, avait crée une nouvelle industrie -la seule qui lui reste- : celle de la poire.
    Je vous laisse deviner qui c’est…. Pour la version soft, c’est ici…

    Vendredi 31 octobre 2008