Un adepte de la sècheresse : le lantana

Lantana Il faut le voir dans les jardins écrasés de soleil. Quand de nombreuses plantes font la tête et se retrouvent avec leurs fleurs desséchées; quand le soleil au zénith brûle l’ herbe et fait se recroqueviller les feuilles, le lantana lui, est à l’aise et ouvre jour aprés jour ses fleurs en ombelles. Cette plante fait partie avec d’autres méditerranéennes, de ces privilégiées qui aiment la chaleur et se complaisent lorsque les températures sont élevées. Peu gourmandes en eau, elles sont adaptées à la culture dans le midi mais si vous habitez d’autres régions, ne vous privez pas d’une aussi belle plante, il vous suffira de l’abriter en hiver.

Le lantana a la particularité d’avoir des inflorescences regroupant  différentes couleurs. Sur une ombelle, le rouge peut-être associé au jaune ou au rose ou le jaune à l’orange, au blanc…
Cet arbuste forme un buisson qui ne demande pas beaucoup d’entretien si ce n’est une terre bien drainée,  une bonne exposition au soleil et une taille au début du printemps pour l’aider à se ramifier : avec cela le lantana est heureux comme tout!
Un défaut chez cette plante? Laissez-moi chercher… Facile à vivre, résistants à la sécheresse,  peu sujet aux maladies, peu attaqué par les insectes : il n’y a pas grand chose à lui reprocher. Mais, c’est vrai, il est gélif et il vous faudra lui trouver un endroit où il pourra passer la mauvaise saison au frais mais à l’abri du gel. Une pièce non chauffée ou une véranda seront parfaites pour l’ accueillir mais pendant cette période, n’arrosez que trés peu votre lantana , il faut qu’il se repose.

Commentaires

Une réponse à “Un adepte de la sècheresse : le lantana”

  1. Avatar de Xavier

    C’est bizarre parce que chez moi, en pot sur ma terrasse ils ont vite soif, peut-être aurais-je du les mettre directement en terre …

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