Catégorie : Plantes

  • Le bananier, une seule fleur par tige, pas plus !

    Le bananier, une seule fleur par tige, pas plus !

    Bananier Parfois l’étonnement vous attend au coin d’une rue et c’est ce qu’il m’est arrivé l’autre jour dans un centre ville ! En levant la tête j’ai eu la bonne surprise de voir une fleur de bananier penchée sur le mur, on aurait dit qu’elle regardait passer les gens.

    L’ appareil photo toujours présent me permet de vous montrer ce spécimen et vous pouvez voir qu’il y a même quelques petites bananes. Certes cette plante était fort bien abritée entre des murs élevés et resserrés ce qui la  protégeait du froid, mais il devait s’agir d’une variété de bananiers ornementaux sub-tropicaux qui supportent assez bien le gel.

    Les bananiers sont des plantes herbacées dont la taille peut varier selon l’espèce de soixante centimètres à plusieurs mètres de haut. Ceux qui résistent le mieux au froid sont les plus grands et c’est seulement ceux-là qui peuvent être plantés à l’extérieur, les autres sont des plantes vertes d’appartement.
    Les bananiers laissés en pleine terre comme les "musas basjoo" doivent être installés dans un sol riche, bien drainé, en leur évitant le soleil brûlant et le vent.  Dés l’arrivée du froid, protégez-les au niveau de la souche. Lorsque l’hiver est rude les feuilles disparaissent et il ne reste plus qu’un moignon pointant du sol, ce n’est qu’en avril que la plante va redémarrer et sa croissance est très rapide. De cette souche partiront une ou plusieurs tiges qui porteront fruits et fleur terminale si la chaleur est suffisante, puis quand température descendra trop, la tige mourra.

    Planté en pot et laissé à l’intérieur votre bananier a besoin lui aussi de se reposer alors ne l’arrosez pas trop, cela pourrait faire pourrir le rhizome,  et surtout ne laissez pas d’eau dans la soucoupe ! Pensez à bien nettoyer ses grandes feuilles et lorsque celles de la base deviennent marron, coupez-les net au ras du stipe (pseudo tronc qui est en fait l’empilement des feuilles). Ne l’exposez pas aux rayons directs du soleil derrière une vitre il aurait des taches brunes signe de brûlures, et surveillez les attaques de cochenilles farineuses.

    Les bananiers sont des gourmands, n’oubliez pas de leur donner de l’engrais.

  • Le mahonia, une floraison hivernale

    Le mahonia, une floraison hivernale

    Mahonia_en_fleurs_3     Un peu de couleur dans les jardins en ce mois de décembre ? Quelques plantes égaient ce mois aux jours si courts où le froid commence à devenir vif.

    Le mahonia fait partie de ces arbustes qui nous enchantent en ce moment. Tout est attrayant chez cette plante, son feuillage vert soutenu semblable à celui du houx et surtout ces fleurs en forme de longs épis jaune citron qui de plus ont un agréable parfum.
    Cet arbuste originaire d’Asie et d’Amérique du nord appartient à la famille des berbéridacées qui comprend de nombreuses espèces dont la caractéristique est d’avoir des feuilles piquantes.

    Plantez votre mahonia en octobre ou en mars-avril dans un sol neutre mais dépourvu d’humidité excessive.
    Cet arbuste n’est pas bien exigeant quant à l’exposition. Soleil non brûlant, ombre, mi-ombre peu lui importe même s’il a une petite préférence pour la mi-ombre, par contre il ne supporte pas les température inférieures à -10, il vaut mieux le savoir.
    Les mahonias peuvent constituer de beaux massifs toujours attractifs du fait de leur feuillage persistant mais vous pouvez aussi les installer en isolé, c’est une situation qui les met bien en valeur.
    Pas de taille proprement dite pour cet arbuste si ce n’est sur les jeunes sujets dont il faut pincer les feuilles terminales après la floraison pour qu’ils s’étoffent bien.

    Si vous voulez le bouturer, faites-le au mois d’août mais vous pouvez très bien enlever les drageons émis, ils reprennent facilement.

    Pensez à enlever les fleurs fanées, il faut bien lui apporter quelques soins tout de même !

  • Le genévrier cade, arbrisseau aux maintes vertus

    Le genévrier cade, arbrisseau aux maintes vertus

    Baies_de_genvrier_cade Vous l’avez peut-être rencontré un jour en vous promenant dans les terrains secs du pourtour méditerranéen. Cet arbuste ne passe pas inaperçu avec son feuillage persistant formé d’aiguilles gainées de blanc et ses petites baies d’un ton brun-rouge.

    C’est un arbrisseau qu’ici on appelle tout simplement "cade" et qui affectionne les lieux arides, les sols rocailleux, les terres calcaires. Bref, un sujet de taille raisonnable qui pousse tout seul sans rien demander (ni taille, ni arrosage) et qui peut atteindre l’age avancé de 200 ans.

    Le cade est un arbuste aromatique dioïque, les fleurs mâles et femelles ne sont pas sur le même pied. L’arbuste fleurit en mai et les fruits(galbules) n’arrivent à maturité qu’au bout de 2 ans. Elles  font le régal des oiseaux et sont aussi comestibles pour nous, on les utilise pour les préparations culinaires.
    Bois et feuillages sont connus depuis  l’antiquité pour leur vertus désinfectantes et cicatrisantes, on les a pendant des siècles fait brûler pour prévenir les épidémies de choléra et de peste.
    L’huile obtenue par distillation entre dans la préparation de certains produits notamment des shampoings anti-pelliculaires très efficaces. Une des dernières distillerie se trouve encore dans le village de Claret (Hérault)
    Vous pouvez adopter chez vous cet arbuste si peu exigeant, plantez-le à l’automne ou au début du printemps. Vous pouvez aussi le semer ou faire des boutures en fin d’été .

    J’allais oublier de vous indiquer une autre de ses qualités et non des moindres: il éloigne les insectes et fait fuir les rongeurs!

  • L’herbe de la Pampa, une plante très prolifique

    L’herbe de la Pampa, une plante très prolifique

    Herbe_de_la_pampa_1 Imposante et envahissante sont les adjectifs qu’on lui attribue souvent mais il faut aussi lui reconnaître une valeur ornementale non négligeable.
    Plantée en isolé,  dans un endroit dégagé du jardin ou au bord d’une pièce d’eau, l’effet est réussi car cette grande graminée de la famille des poacées, émet des fleurs en forme de plumets qui s’élèvent à 2 voire 3 m de haut.

    Cette plante vivace a été introduite en Europe via l’Amérique du sud pour servir d’élément décoratif dans les parcs et jardins. Son nom scientifique est cortaderia selloana, vous la connaissez peut-être sous son nom de gynerium

    Donnez-lui du soleil, elle s’adaptera au sol et au climat car elle n’est guère exigeante, elle supporte la sècheresse, les embruns, le vent, pousse même dans les chemins, les friches et les talus, alors si vous l’installez chez vous, elle va profiter des bonnes conditions de culture que vous lui apportez pour se développer avec entrain.
    Sa croissance est très rapide et on obtient rapidement une belle touffe très dense avec de longues feuilles vert-bleuté qui dépassent les 2 m de long. De ce feuillage persistant, jaillissent de hautes tiges qui portent l’inflorescence, partie florale de la plante, plumets légers de couleur blanc-crème ou rose. 
    L’entretien de cette vivace est très limité, contentez-vous de rabattre la plante à la fin de l’hiver et de pailler le pied si vous êtes dans une région très froide.

    Ces plantes ont une capacité à se ressemer qui est remarquable, la pollinisation se fait par le vent qui transporte les graines, lesquelles se retrouvent à plusieurs km de la plante mère.
    Cela explique pourquoi les herbes de la pampa sont classées parmi les plantes envahissantes.

  • Le pin aquatique, utile et décoratif.

    Le pin aquatique, utile et décoratif.

    Pin_aquatique_2   Pas de bassin sans végétation ! Un bassin est un lieu vivant mais fragile où faune et flore se côtoient, il faut donc quelque soit sa taille y installer des plantes aquatiques. Elles rendent le bassin plus attrayant, et jouent un rôle considérable puisqu’elles oxygènent l’eau.

    Le pin aquatique dont le nom scientifique est "hippuris vulgaris" est intéressant, il a une allure originale qui lui a valu son nom car il ressemble à un pin miniature, il est très résistant, vit très longtemps et s’accommode de tout.

    Surtout, c’est une excellente plante oxygénatrice.

    L’hippuris vulgaris est une plante rhizomateuse traçante, de ses racines immergées partent de nouveaux pieds qui forment une mini forêt. Si vous l’installez dans un bassin peu profond, il va se dresser hors de l’eau et arrivera à avoir une petite floraison insignifiante, sinon la plante reste complètement  immergée.

    Plantation en pot ou directement dans l’eau ? C’est selon ce que vous préférez, mais la deuxième solution convient mieux aux bassins déjà installés et qui donc, ont un fond de terre et de vase. Un bon conseil si vous n’optez pas pour les pots contentez-vous de lester la plante avec un caillou, elle se débrouillera toute seule.
    Il lui faut du soleil, mais le pin aquatique résiste parfaitement aux hivers rudes même s’il n’est pas totalement immergé.

    Essayez de contrôler son envie d’expansion, grâce à ses racines traçantes cette plante devient vite envahissante.

  • Le dahlia « impérialis », un géant au jardin

    Le dahlia « impérialis », un géant au jardin

    Dahlia_imprialis_4 Comme tous les dahlias il fait partie de la famille des astéracées et posséde un tubercule, mais voilà, à part cela le dahlia impérialis se distingue bien des autres membres de sa famille !

    Jugez-en par vous même, il pousse de 4 à 5 m en une saison et fleurit en novembre quand ces congénères sont au repos depuis déjà deux bons mois. C’est une plante spectaculaire par ses dimensions, par sa belle floraison dans les tons rose ou blanc mais aussi par la taille de ses tiges qui ressemblent à des cannes de bambous. C’est pour cela qu’on l’appelle souvent "dahlia bambou" ou "dahlia arborescent".

    Cette vivace doit être cultivée en zone de climat doux, les fleurs apparaissent tard dans l’automne et le froid compromet la floraison, les premières gelées sont fatales aux tiges qui meurent, mais la souche si elle est protégée repart au printemps suivant.

    Installez votre dahlia géant dans une terre riche et bien drainée , placez-le au soleil ou à mi-ombre, le mieux est de le planter dans un endroit abrité du vent car avec leur haute taille les tiges risquent de casser.
    Apportez-lui des arrosages copieux et engraissez-le régulièrement.
    On multiplie facilement cette plante en replantant au printemps des morceaux de tubercule, mais soyez un peu patient, la première année il va s’installer et il ne fleurira que l’année suivante. C’est le cas du tronçon qu’une amie m’a donné et qui a été planté au printemps.
    En attendant de pouvoir photographier le mien, j’illustre cette note avec une photo que  François Graux m’a gentiment fait parvenir et je l’en remercie.

  • L’abutilon mégapotamicum, lanterne chinoise

    L’abutilon mégapotamicum, lanterne chinoise

    Abutilon_megapotamicum Rampant, retombant, grimpant? C’est comme vous voulez! L’abutilon mégapotamicum se prête à toutes ces situations car il est souple et s’adapte facilement.
    Membre de la vaste famille des malvacées, il est originaire des zones tropicales et subtropicales d’Amérique du sud.  Son surnom "d’abutilon du Grand Fleuve" ferait référence au Rio Grande.

    C’est une plante à la floraison originale et très abondante, elle a toutes mes faveurs.

    Cet abutilon a un port arbustif et si vous décidez de le traiter en grimpant, il faut le palisser car ses longues tiges flexibles ont tendance à retomber lui donnant un aspect pleureur.
    Son feuillage  persistant ou semi-persistant est composé de feuilles pointues et dentelées, à l’aisselle de celles-ci partent les fleurs soutenues par de longs pédoncules.
    Calice rouge,  pétales jaunes au centre desquels pendent de belles étamines, voilà une fleur qui sort du commun par son aspect juponné.
    Si vous désirez en installer un chez vous, prévoyez un pot suffisamment grand rempli d’un mélange de terreau, de tourbe et de sable. La plante résiste un peu au gel s’il n’est pas trop fort et si le pied est protégé, mais mieux vaut la rentrer dans une pièce fraîche où elle continuera à fleurir!
    L’abutilon mégapotamicum a besoin de lumière, laissé à mi-ombre ou dans un lieu un peu ensoleillé à l’abri du vent  il n’en est que plus beau.
    Taillez-le en fin d’hiver ou au début du printemps pour avoir des repousses solides en rabattant d’un bon tiers, surveillez-le toute l’année car les aleurodes et les cochenilles aiment bien le coloniser.
    Vous allez voir, cet arbuste ne vous donnera que des satisfactions!

  • Jardin : 600 plantes carnivores, chosissisez la vôtre ! (3/3)

    Jardin : 600 plantes carnivores, chosissisez la vôtre ! (3/3)

    565645665546Nous vous avons conté les mésaventures d’une souris, Plante carnivore, "mammiférovore" (1/3), et présenté le site web karnivores, Jardin : les plantes karnivores (2/3). Avec l’accord de cette "pépinière bien particulière" nous nous permettons de reprendre l’histoire bien passionnante de ces plantes qui y est contée.

    "L’histoire de la carnivorité des plantes remonte à bien longtemps. Au XVème siècle, des botanistes avaient déjà répertorié certaines plantes types Drosera et Pinguicula, mais sans supposer quoi que ce soit de leur étrangeté.

    Ce n’est qu’au XVIIIème siècle que le débat va vraiment être lancé : en 1875, Charles Darwin, après certaines expériences et travaux de recherche sur la famille des Drosera, mettra en évidence la faculté de ces plantes à capturer et à assimiler une proie. On parle alors de nutrition carnivore dans le règne végétal !!!

    S’en suit une guerre scientifique, politique, voire religieuse autour de cette théorie et de son inventeur. Bien que la plupart des scientifiques aient reconnu qu’il existait une interaction nutritive entre certaines plantes et les insectes, ce n’est que pendant les années 1970 que des équipes de chercheurs purent prouver par des tests chimiques que certaines plantes digèrent leurs proies.

    La carnivorité n’est pas seulement le fait d’attraper une proie, elle inclut sa digestion, grâce à des enzymes secrétées par la plante elle-même ou grâce à des bactéries présentes dans le liquide digestif, et l’assimilation des nutriments issus de ce processus de digestion.

    Aujourd’hui, on reconnaît officiellement plus de 600 plantes carnivores, appartenant à 17 ou 18 genres, eux-mêmes classés en 10 familles."

    N’hésitez pas à commander une karnivore, vos enfants vont les adorer et ils feront sensation à l’école pendant leurs cours de science. Que de spectacles et de récits en perspective !

    Source et photo (c’est un sarracenia minor) : karnivores

    Plante carnivore, "mammiférovore" (1/3)

    Jardin : les plantes karnivores (2/3)

    Jardin : 600 plantes carnivores, choissisez la vôtre ! (3/3)

  • Jardin : les plantes karnivores (2/2)

    Jardin : les plantes karnivores (2/2)

    546546464664Si vous êtes amateur de plantes carnivores, vous allez certainement apprécier le site de karnivores. C’est aussi une boutique-pépinière. Je suis contente de ma trouvaille, et le contact avec la société a été excellent. J’ai demandé l’autorisation de parler de karnivores.com, et un adorable mail est arrivé aussitôt.

    Karnivores est "une entreprise horticole créée en juillet 2002 spécialisée dans la production des plantes carnivores. Depuis juillet 2003, nous disposons d’une serre située à Colmar, à 25 minutes de Mulhouse, 40 minutes de Bâle (Suisse) et 40 minutes de Strasbourg."

    "Notre but est de proposer, au-delà des plantes seules, tous les conseils, les informations, les réponses possibles aux curieux, aux amateurs, aux passionnés des plantes carnivores.

    La création de cette entreprise a été le fruit d’une constatation personnellement vérifiée à savoir la pauvreté de choix proposé dans les jardineries ainsi qu’une méconnaissance quasi totale des soins à prodiguer à ces chères plantes carnivores.

    Fort de ce constat, nous nous efforçons jour après jour de fournir des plantes de qualité, ainsi que des conseils des plus complets pour vous assurer le succès lors de la culture de votre prochaine plante carnivore."

    Source et photos : karnivores

    Plante carnivore, "mammiférovore" (1/3)

    Jardin : les plantes karnivores (2/3)

    Jardin : 600 plantes carnivores, choissisez la vôtre ! (3/3)

  • Plante carnivore, « mammiférovore » (1/3)

    Plante carnivore, « mammiférovore » (1/3)

    64454656454Alors que Valérie nous avait présentée la jolie carnassière, la dionée, la plante carnivore, je voudrais vous conter l’aventure d’une souris. Elle a fait le tour du monde, l’histoire, pas la souris. Le rongeur a fini sa course dans les sucs et le nectar. Il a été "mangé" par la plante, qui de carnivore sera peut-être rebaptisée mammiférivore.

    Jusqu’à présent, le mot carnivore était un bien grand mot pour désigner la "capacité" d’attraper quelques moucherons ou quelques blattes. Mais il s’avère que la plante mérite son appellation et pour la première fois, on a trouvé un mammifère dévoré par le dangereux végétal.

    "Un jardinier-botaniste a découvert dans les serres du Parc de la Tête d’Or de Lyon une souris piégée par une plante carnivore originaire des Philippines, la Nepenthes truncata, un phénomène observé pour la première fois au monde en serre", a annoncé la ville de Lyon.

    Jeudi matin, "on a été alerté par une odeur nauséabonde dans la serre, et le jardinier a vérifié les urnes, c’est-à-dire les feuilles en forme de poche de la plante, et on a trouvé la souris au fond", a expliqué Frédéric Pautz, responsable des serres du Parc.

    Le rongeur, qui devait être piégé depuis plusieurs jours, avait sans doute été attiré par les insectes morts se trouvant dans l’urne de la plante et il est tombé au fond, a estimé M. Pautz.

    Une fois au fond, "il a dû se débattre et essayé de remonter, mais les parois internes sont lisses, avec des petits poils orientés vers le bas. La souris s’est essoufflée, et comme l’urne est remplie de sucs digestifs, elle est sans doute morte assez rapidement", a-t-il poursuivi.

    "Il y avait beaucoup de fantasmes sur ce que pouvaient manger les plantes carnivores. Dans les manuels, il est écrit qu’elles peuvent digérer des petits mammifères ou des oisillons, mais c’est la première fois qu’on en a la preuve en photos", a-t-il ajouté.

    "Il nous est arrivé de trouver des blattes de 3 ou 4 cm au fond des plantes, c’est ce qu’elles avaient attrapé de plus gros jusqu’ici. Mais là, il s’agit de mammifères, cela veut dire que les capacités de la plante sont plus efficaces encore qu’on le pensait", a conclu le responsable des serres du Parc.

    Si vous voulez en savoir plus sur les plantes carnivores, je vous invite à consulter ce site : infocarnivores.

    Plante carnivore, "mammiférovore" (1/3)

    Jardin : les plantes karnivores (2/3)

    Jardin : 600 plantes carnivores, choissisez la vôtre ! (3/3)