Catégorie : Vivaces

  • Les anémones, toutes simples mais trés colorées

    Les anémones, toutes simples mais trés colorées

    Anmone_bleue Elles ont le joli surnom de "fleurs du vent" qui leur vient de la traduction de leur nom grec "anemos"(vent). Leurs graines légères et plumeuses s’envolent haut et parcourent de grandes distances, cet élément naturel est indispensable à la dissémination de ces renonculacées.
    Les anémones ont des coloris très vifs et gais, ce sont des vivaces qui une fois installées dans un lieu qui leur convient, ne demandent qu’à refleurir.

    Introduites au XVI ème siècle dans les pays du nord, elles ont plu par leur simplicité et leur facilité de culture, contrairement à d’autres plantes, elles ne se démodent pas.

    Leur taille varie selon les variétés, les anémones "Blanda"ne font pas plus de 15 cm alors que les anémones "Coronaria" arrivent à une trentaine de centimètres ( la célèbre anémone de Caen est de celles-là). Plus hautes, les anémones du japon font entre 60 cm et 1m20, elles ont de grandes fleurs blanches ou roses. Choisissez vos variétés en fonction de leur destination, gardez les plus élevées pour les massifs et installez les autres dans les bordures ou les rocailles.

    La plantation des racines tubéreuses que l’on appelle "pattes" ou "griffes" se fait à l’automne de préférence, la floraison a alors lieu au printemps. Pour un bon démarrage il est recommandé de faire tremper les "pattes" pendant une nuit dans de l’eau, le lendemain installez-les sans attendre dans un sol exempt d’humidité. Ces plantes aiment les terres sableuses mais riches en humus, elles sont trés rustiques, ne craignent pas le fort gel, restent en place pendant de nombreuses années et en profitent pour proliférer, elles peuvent même devenir envahissantes.

    Quelle exposition pour les anémones ? Le soleil bien sûr mais elles poussent et fleurissent bien à mi-ombre, associez-les à d’autres bulbeuses de printemps (crocus, narcisses, tulipes) ou à d’autres vivaces comme les primevères, les violettes, les giroflées, les pensées, vous aurez ainsi une belle floraison étalée dans le temps.

    Attention, comme toutes les renonculacées les anémones sont toxiques.

  • Le gardenia, entre beauté et senteur

    Le gardenia, entre beauté et senteur

    Gardenia3jpg Chez les fleuristes vous pouvez voir des gardenias en fleurs en ce moment mais le vôtre va sûrement attendre encore un peu pour vous offrir ses belles fleurs d’un blanc trés pur car cette plante fleurit plutôt au printemps et en été.

    Avec son feuillage persistant  bien vert et vernissé, le gardenia est décoratif toute l’année, mais c’est quand il est en fleurs qu’on l’aime le plus bien sûr car il a un parfum inoubliable. C’est une vivace qui fait partie de la famille des rubiacées et qui demande des soins particuliers, ce n’est pas une plante facile à conserver, il faut lui accorder toute votre attention si vous voulez la garder et la voir refleurir.

    Le gardenia aime les terre acides et l’humidité ambiante. Le mieux est de poser le pot sur un lit de graviers baignants dans l’eau, celle-ci en s’évaporant apportera à la plante l’humidité dont elle à besoin. Vous pouvez vaporiser le feuillage avec une eau non calcaire, faites bien attention de ne pas mettre de l’eau sur les fleurs cela les abimerait.

    Du mois de mai au mois d’octobre, le gardenia doit être installé dans une pièce lumineuse à une température de 18 à 20 degrés ou bien dans le jardin à l’abri du soleil, ensuite laissez-le dans un endroit un peu plus frais sans toutefois descendre en dessous de 10 degrés. La motte doit être maintenue humide pendant la période de croissance mais en hiver attendez que le substrat sèche un peu entre deux arrosages.

    Voilà vos boutons de fleurs qui tombent ? Peut-être avez-vous déplacé votre plante ou a t’elle subit un courant d’air ou une brusque variation de température. Elle n’aime pas beaucoup les changements tenez- en compte.

    Surveillez les attaques de cochenilles, araignées rouges ou pucerons , ils affectionnent particulièrement les gardenias.

  • Vinca minor et vinca major, les belles pervenches

    Vinca minor et vinca major, les belles pervenches

    Pervenche_1 On dit que là où pousse la pervenche c’est qu’autrefois le lieu était habité !
    Qu’il s’agisse de la grande ou de la petite pervenche, ces plantes ont un feuillage vert ou panaché, des tiges ligneuses et des fleurs d’un merveilleux bleu plus ou moins foncé. Il existe  une variété à fleur blanche appelée "vinca minor Alba" mais franchement les pervenches bleues sont sans conteste les plus belles.
    Petite distinction entre ces deux apocynacées, la vinca major (grande pervenche) n’est vivace que dans la zone méditerranéenne alors que la vinca minor (petite pervenche) a un feuillage persistant tout l’hiver.

    Si vous avez un coin de jardin que vous voulez recouvrir rapidement d’un tapis végétal, adoptez les pervenches, vous ne serez pas déçus car elles ont une croissance trés rapide et s’étalent en tous sens.
    Cet  excellent couvre-sol a une belle floraison qui dure d’avril à juin mais qui démarre parfois plus tôt quand l’ hiver est doux comme cette année.
    Plante trés rustique, la petite pervenche est une vivace qui  vous demandera tellement peu d’entretien que c’est un plaisir de l’accueillir au jardin. Elle se plait à l’ombre, à mi-ombre dans une terre fraîche mais sans humidité stagnante. Si vous préférez installer chez vous la grande pervenche sachez qu’elle est moins résistante au froid et qu’en dehors du midi elle doit être cultivée en annuelle, par contre vous pouvez la planter au soleil elle aime bien cette exposition.
    Seule défaut de cette plante en ce qui concerne sa culture, elle a tendance à devenir envahissante. Ses tiges rampantes prennent trés facilement racines et forment ainsi de nouveaux pieds, contrôlez son developpement pour ne pas lui laisser trop de liberté mais vous  pouvez en profiter pour prélever ces plants enracinés et les repiquer ailleurs, ils reprendront à coup sûr.
    Ces plantes sont toxiques.

  • Les lauriers cerise pour une haie bien touffue

    Les lauriers cerise pour une haie bien touffue

    Laurier_cerise Ils étaient trés en vogue autrefois et constituaient de par leur feuillage persistant de belles haies d’un vert lumineux. Aujourd’hui on les rencontre moins fréquemment et pourtant ils ont des attraits indéniables.

    Le laurier cerise fait partie du genre "prunus" de la famille des rosacées, c’est un arbuste aux feuilles coriaces, brillantes et lisses. La variété la plus connue a des feuilles uniformément vertes  mais il existe une variété panachée qui est intéressante, c’est le "prunus laurocerasus variegata".

    On l’appelle aussi laurier amande ou laurier palme, il est parfaitement adapté à nos climats.

    Principalement utilisé en haie taillée, ce laurier peut aussi être planté en isolé ou constituer un bosquet (une laurière).  Dans ces deux derniers cas, laissez-le pousser librement en intervenant seulement pour lui garder une jolie forme.

    Si vos lauriers constituent une haie il faut tailler afin de limiter la croissance rapide des arbustes. Pour cette opération essayez de ne pas taillez systématiquement toujours à la même hauteur cela entraine un brunissement du feuillage.

    La taille des lauriers plantés en haie s’effectue après la floraison qui a lieu en avril -mai. Ce sont des fleurs  blanches regroupées en épis, elles donnent des baies rouge foncé qui virent au noir à maturité.

    Vous serez enchanté de leur  rusticité, de leur facilité de culture, plantez-les à l’automne, ils auront le  temps de bien s’enraciner et arrosez-les régulièrement les deux premières années, aprés ils se débrouilleront tout seuls.

    Attention aux baies, elles sont toxiques.

  • Le fatsia japonica pour une touche d’exotisme

    Le fatsia japonica pour une touche d’exotisme

    Fatsia1 Il était là, contre un buisson, planté à l’abri, protégé par d’autres arbustes et de grands arbres. Il étendait fièrement ses grandes feuilles d’un beau vert foncé au bout de longs pétioles de plus de 30 cm. Ce fatsia était de bonne taille,  et portait ses fruits regroupés. Inutile de vous dire que dans ce parc il ne passait pas inaperçu !

    C’est un arbuste touffu, au port dressé, au feuillage persistant qui a une floraison blanc crème et qui porte ensuite des baies vertes puis noires. Un arbuste que l’on remarque, tant il est décoratif et peu banal. Considéré comme une plante d’intérieur, il est la plupart du temps cultivé en pot mais si vous habitez une région aux hivers peu rudes, plantez-le au jardin dans un endroit abrité, il y sera trés bien.

    Le fatsia ou faux aralia qui nous vient d’Extrème-Orient se satisfait de peu. Pour être en forme il lui faut tout d’abord, un sol riche en humus et bien drainé, ensuite il lui faut beaucoup de lumière sinon son feuillage pâlit, enfin et je dirais même surtout, il lui faut des températures plutôt fraiches.

    Sachant cela, ne vous avisez pas de le laisser dans une pièce chauffée de votre maison, il n’appréciera pas ce traitement. S’il a trop chaud, vous verrez ses feuilles mollir et s’affaisser, triste spectacle !

    En hiver il se contente de 5 à 10 degrés, il supporte même les petites gelées c’est dire qu’il n’est pas frileux mais pas d’ éxagération, si vous êtes dans une zone aux hivers rigoureux contentez vous de le laisser dans la véranda ou dans une pièce bien fraîche.

    En été brumisez le feuillage et arrosez régulièrement en apportant de l’engrais mais en hiver laissez-le se reposer et soyez modéré avec les arrosages.

    La multiplication du fatsia se fait par semis en mars-avril dans du terreau fin et à température de 15 à 20 degrés.  Vous pouvez aussi effectuer des boutures de tiges en été ou prélever des rejets.

    Que faire si votre fatsia se dégarnit de la base ? C’est un phénomène courant chez les sujets agés, taillez au dessus d’une feuille au printemps, de nouvelles pousses verront le jour.

    Je crois que je vous ai tout dit de cette belle plante verte !

  • Les jolies paquerettes, annoncent-elles les beaux jours ?

    Les jolies paquerettes, annoncent-elles les beaux jours ?

    Paquerettes Promenez-vous dans la nature et vous verrez qu’elle se réveille peu à peu, d’ailleurs dans les prairies, les pâquerettes sont là pour nous dire que les beaux jours ne sont pas loin. Ces petites fleurs sont des astéracées de petite taille, elles mesurent à peine une dizaine de centimètres mais font de superbes tapis dans l’herbe.

    Certes, si vous chouchoutez votre gazon et que vous l’aimez uniformément vert, vous n’allez pas apprécier de voir ces petites fleurs le parsemer mais avouez qu"elles ont du charme et puis, une prairie fleurie c’est bien agréable.

    Les pâquerettes sauvages ont permis la création de variétés horticoles colorées (rose, rouge) et aux fleurs plus complexes comme celles en pompons.

    Ces "bellis perennis" horticoles vont se satisfaire d’une terre ordinaire mais ont besoin d’humidité, il ne faut pas oublier de les arroser pendant la floraison qui dure de février à l’été.

    Rocailles, massifs, jardinières, bordure ou pelouse fleurie, tous ces endoits leur conviennent bien à condition qu’elles aient du soleil. Il est interessant de les associer avec d’autres plantes notamment les bulbeuses à floraison printanière comme les tulipes, les iris, les crocus, les narcisses… mais vous pouvez aussi les installer en compagnie de graminées, de valérianes, de sauges qui ont un aspect un peu sauvage et avec lesquelles elles cohabiteront trés bien.

    Ce sont des bisanuelles, il faut les sèmer en été et les repiquer à l’automne, elles fleuriront l’année suivante. Une fois bien installées elles se ressèment naturellement toutes seules et comme ce sont des vivaces elles refleuriront tous les ans.

    Vous voyez, ce sont des fleurs toutes simples, pas compliquées du tout et trés rustiques. Dotées de grandes vertus médicinales elles sont utiles et de plus elles fleurissent dés janvier pour vous donner un avant goût du printemps.

  • Une fougère dans la maison

    Une fougère dans la maison

    Fougere Toujours vertes, peu exigeantes, les fougères nous viennent du fond des ages. Ces plantes simples mais au feuillage léger et arqué agrémentent tout coin peu éclairé.

    Vous connaissez les fougères des bois et celles que l’on plante dans les plates-bandes pour mettre en valeur les plantes d’ombre. Vous êtes également nombreux à avoir dans vos maisons cette vivace qui se plait là où les autres plantes ne veulent pas vivre.

    Les fougères d’appartement demandent avant tout une bonne humidité ambiante, pulvérisez sur le feuillage une eau de préférence non calcaire, l’eau de pluie convient trés bien pour cette opération.

    Ne laissez jamais d’eau dans la soucoupe, les racines n’aiment pas tremper et la plante souffrirait, contentez-vous d’arroser quand la surface du terreau riche en humus est un peu sèche.

    Son emplacement ? C’est une plante d’ombre qui n’a besoin que d’une luminosité moyenne, alors ne l’installez surtout pas prés d’une fenêtre exposée plein sud !

  • Ces kalanchoés qui ne demandent qu’à fleurir

    Ces kalanchoés qui ne demandent qu’à fleurir

    Kalankoe_jaune Une de mes amies ne les aime pas, elle les trouve inintéressants avec leurs grandes feuilles vernissées et leurs bouquets de fleurs qui s’épanouissent du haut de leur tige. Moi, je les trouve adorables et de plus ils sont tellement faciles à vivre et tellement colorés que ce serait dommage de ne pas les avoir chez soi.

    Les kalanchoés aiment les situations trés lumineuses, installez-les derrière une fenêtre bien exposée et moyennant quelques soins limités ils vont vous offrir une belle floraison pendant plusieurs mois.

    Blanc, rouge, jaune, orangé, rose, saumon, ces plantes se déclinent en divers coloris et vous pouvez les mélanger pour faire de belles potées.

    Les Kalanchoés doivent passer la mauvaise saison à l’intérieur mais évitez-leur une pièce surchauffée, un endroit un peu frais leur convient bien (16 à 18 degrés).

    Pendant cette période n’arrosez pas trop, les kalanchoés sont des crassulacées, ce sont des plantes grasses et donc elles n’ont pas besoin de beaucoup d’eau, une fois par semaine c’est suffisant. Ces plantes meurent souvent d’un excès d’eau qu’on leur apporte, si vous constatez que les feuilles de la base commencent à présenter des signes de pourrissement, diminuer fortement  les arrosages. A l’inverse ne soyez pas trop oublieux, si votre protégé à les feuilles qui flétrissent, vite c’est qu’il a soif apportez-lui de l’eau !

    Faut-il lui donner de l’engrais ? Oui, mais un peu et pas trop souvent, une fois tous les 15 jours ou toutes les 3 semaines c’est suffisant.

    Au mois de mai, faites-lui prendre le grand air sur votre balcon ou dans votre jardin, il n’en sera que plus beau. Si vous voulez faire des boutures ce ne sera pas bien compliqué, prélevez des bouts de tiges et plantez-les dans un mélange bien drainant légèrement humide, les racines se forment assez rapidement.

    Plantez-en plusieurs pieds dans une belle coupe, vous verrez que le résultat sera superbe.

  • Une curiosité, l’impatiens niamniamensis

    Une curiosité, l’impatiens niamniamensis

    Impatiens_niamniamensis Une plante capable de fleurir toute l’année ? Mais, allez-vous me demander, quelle est cette perle rare ? C’est une impatiens originaire du Zaire qui a un nom difficile à retenir ("niamniamensis"). On la surnomme plus volontiers "niam-niam" ou "impatiens bec de perroquet" à cause de la forme originale de ses fleurs rouges et jaunes.

    Elle n’est pas trés facile à obtenir dans le commerce, j’ai trouvé la mienne dans une exposition florale il y a quelques années et elle est toujours présente dans la maison. Elle a des feuilles bien vertes, des tiges dressées et forme une belle touffe.

    Une nouvelle variété au feuillage panaché a été créee, elle a été présentée en avant première au domaine  de Courson en 2005 à l’occasion des journées des plantes.

    Si vous arrivez à en trouvez une, sachez qu’elle sera facile à vivre et ne vous demandera pas beaucoup de soins.

    Installez-la à la lumière, dans votre intérieur en hiver car elle craint le gel et dehors à la fin du printemps, mais ne la laissez pas en plein soleil, c’est la mi-ombre qui lui convient le mieux. Faites bien attention lorsque vous la placez à l’extérieur de lui choisir un endroit à l’abri du vent car elle n’aime pas être bousculée, ses feuilles se déchirent et ses tiges se brisent comme du verre, c’est une des caractéristique de cette famillle de balsaminacées.

    Cette vivace se cultive en pot ou en bac, donnez- lui un terreau bien drainé et maintenez-le humide, mais surtout veillez à ce qu’il n’y ait pas d’eau stagnante dans la soucoupe, elle en souffrirait.

    Vous pouvez tailler un peu ses tiges pour lui garder un port trappu, profitez-en pour faire des boutures qui s’enracinent trés facilement même dans l’eau. Si vous voulez vous lancer dans les semis de cette belle africaine, c’est possible, procédez en avril.

    Seul ennui avec cette plante, elle attire les aleurodes, les araignées rouges et les pucerons , soyez donc trés vigilants.

  • Le cycas, une plante primitive

    Le cycas, une plante primitive

    Cycas Et non, ce n’est pas un palmier ! C’est vrai, il lui ressemble, mais il ne fait pas partie de cette vaste famille, il appartient à celle des cycadacées. En fait c’est tout simplement une fougère originaire des zones tropicales et sub tropicales d’Asie et d’afrique. Elle est restée pratiquement telle qu’elle était au temps de la préhistoire ce qui la classe parmi les plantes dites primitives.

    Le cycas a des feuilles disposées en rosette autour du tronc, elles sortent bien dressées puis se courbent harmonieusement. C’est  une belle plante ornementale qui trouve sa place facilement car sa croissance est plutôt lente.

    Plante frileuse, le cycas ou sagoutier a besoin être abrité en hiver car il craint les gel prolongés. Il doit être installé dans un endroit trés lumineux, au soleil de préférence. Lorsque les gelées ne seront plus à craindre, laissez-le dehors, vous pouvez être sûr qu’il va aprécier la vie au grand air.

    Arrosez-le régulièrement en été mais sans excès, soyez trés parcimonieux avec les arrosages en hiver sinon vous risquez de voir apparaitre des taches brunes sur les feuilles, ceci est typique d’un excès d’eau quand la température est fraîche.

    Sujet aux attaques de cochenilles, il vaut mieux prévenir que guerir en vaporisant ou en douchant votre cycas pour éviter l’apparition de ces insectes suceurs, de plus, cela lui permettra de garder un feuillage d’un vert bien brillant.

    Les feuilles de la base jaunissent et  sèchent ? Suprimez-les proprement, les coupes bien nettes restent apparentes sur le tronc qui s’élève ainsi peu à peu.

    Si vous avez un cycas, vous l’avez constaté, ce n’est pas un champion de la croissance, loin de là, il est même d’un lenteur surprenante, mais quelle belle plante!

    Attention les cycas sont classés parmi les plantes toxiques.