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  • Jardin : une malette très pratique

    Jardin : une malette très pratique

    45424543742Nous ne vous parlons pas assez souvent des outils, pourtant ils sont essentiels et sans eux, pas de résultat !

    Nature et découverte vous proposent un coffret ingénieux et complet, à suspendre. C’est appréciable de pouvoir atteindre l’objet convoité sans se baisser, alors que l’on a passé des heures accroupi à soigner ses fleurs préférées.

    Vous retrouvez ce que vous cherchez instantanément, et le fait de les ranger dans une belle boite vous oblige à nettoyer les outils. Fini la boue séchée, dure comme la pierre.

    Vous trouverez ce coffret chez "Nature et découverte".

  • Un fruit exotique: la mangue

    Un fruit exotique: la mangue

    La_mangue Rares autrefois sur les étals, les mangues sont aujourd’hui très faciles à trouver dans le commerce du fait d’une production plus importante.
    Les manguiers sont des arbres hauts de plus de 15m, ils peuvent vivre au moins 100 ans et donc donner de bonnes récoltes. Ils sont originaires d’ Inde où ils sont cultivés depuis plus de 5000 ans.

    Depuis, cet arbre  à feuillage persistant  s’est installé dans d’autres pays bénéficiant d’un climat  qui lui convient par ex: la chine, le Mexique, la Thailande, le Brésil, et l’inde qui sont  de  gros producteurs de mangues.

    C’est un fruit que j’aime beaucoup car il est très parfumé, sa chair orangée est onctueuse et fondante. Il se déguste cru mais se prête aussi  à de nombreuses préparations culinaires.   On peut consommer les mangues cuites sautées à la poêle, grillées en brochettes de viande, crues avec de la salade, ou confectionner  d’excellents dessert comme les mousses, les crèmes, les tartes…
    Ajoutons à cela qu’elles sont riche en vitamines A et C et on constate que ce fruit a bien des qualités.

    Présenter ce fruit cru en dessert est tout un art de la découpe, pas question de le mettre tel quel sur une assiette, il doit être coupé en croisillons, c’est d’ailleurs une très jolie présentation.

    Entraînez-vous !

    Profitez-en pour tenter un semis de noyau afin d’obtenir un petit manguier d’appartement, en suivant les conseils de Christine vous n’aurez aucun mal à obtenir un bon résultat.

  • Les plantes oubliées sont une graine de star…

    Les plantes oubliées sont une graine de star…

    4687687677…chez nature et découverte. Si vous avez fait un "tour d’horizon" et si vous voulez épater vos invités, en leur montrant des plantes oubliées depuis longtemps, voici un ensemble de petits sachets bien insolite. Rappelez-vous le conservatoire végétal et sa ferme aux légumes d’antan.

    Grâce à "Nature et découvertes" vous allez pouvoir ressusciter ces légumes aux saveurs nouvelles mais à la fois familières et rendre votre paysage et vos menus moins monotones.

    "Tomate ‘Marmande’, carotte ‘De Saint-Valéry’, radis ‘National’, chicorée ‘Fine de Louviers’, courgette ‘De Nice à fruits ronds’, potiron ‘Potimarron’, haricots ‘Fin de Bagnols’ : pour retrouver les couleurs et les formes surprenantes des légumes oubliés lors de repas conviviaux empreints de saveurs et d’authenticité.

    Contient 7 sachets de graines et 1 livret mode de culture et de recettes."

    Coffret de sept graines oubliées

  • Des impatiens Wallériana pour une riche floraison

    Des impatiens Wallériana pour une riche floraison

    Impatiens_blanches Voilà une plante qui porte bien son nom, car impatiente d’expulser ces graines elle l’est vraiment ! Ses gousses  éclatent à maturité projetant les graines au moindre toucher.

    Il y a trois espèces commerciales bien connues: l’impatiens de nouvelle Guinée, l’impatiens balsamina et l’impatiens Wallériana qui nous interesse aujourd’hui. Toutes ces espèces sont très florifères pendant de longs mois (de mai à octobre), ce sont des vivaces souvent cultivées en annuelles, elles appartiennent à la famille des balsaminacées.

    Ces impatiens forment des touffes ramifiées de 30 à 50 cm de haut, elles conviennent très bien à la culture en pots, jardinières mais se plaisent  aussi en massif si la terre est fraîche et humifère.
    Installez-les à mi-ombre ou l’ombre c’est là qu’elles seront le mieux,  n’oubliez pas qu’elles aiment les arrosages copieux, et qu’un peu d’engrais apporté régulièrement les aide à bien fleurir.
    Portées par des tiges charnues fragiles car cassantes, les fleurs très nombreuses sont de coloris variés unis ou panachés mais ne demandez pas d’impatiens bleues ou jaunes elles n’existent pas!
    Vous pourrez les semer dans des caissettes en mars-avril à bonne température (20 degrés), vous les repiquerez en godets que vous laissserez à l’abri et vous les mettrez en place au mois de mai quand les petites gelées ne seront plus à craindre. Il faut savoir que ces semis sont capricieux et qu’il est peut-être préférable d’acheter les plantes en petits godets car elles sont très bon marché.
    Attention de ne pas planter trop tôt, les impatiens du fait de leurs tiges gorgées d’eau ne supportent pas le froid.

  • En automne, faites germer les légumes

    En automne, faites germer les légumes

    45454546646Il y a les légumes que l’on cultive à l’extérieur, mais aussi, et on y pense moins souvent, il y a ceux que l’on peut cultiver ailleurs que dans son jardin.

    Vous pouvez faire germer des graines de :

    alfalfa, betterave rouge, chou brokoletti, chou rouge, cresson, fenugrec, lentille, poireau, roquette, ou encore tournesol en quelques jours, dans la cuisine. Vous allez pouvoir les déguster crus dans les salades et pourquoi pas comme accompagnement dans les sandwichs ou tout simplement cuits en légumes d’accompagnement.

    Vous allez vous régaler et épater vos enfants qui en général aiment bien croquer ces petits légumes ludiques.

    Coté pratique, un seul conseil, placer vos graines dans un plat plastique, propre (très important pour éviter la moisissure), et vous n’avez plus qu’à attendre. Vous verrez que les petits (et les grands) vont suivre tout le processus attentivement. La patience va récompenser les… papilles.

    Image (c’est fait maison)

    Légumes

    La famille des alliacées, quel bouquet de… saveurs !

    Le roi du potager en novembre : le poireau

    L’échalotte, la reine de nos sauces

    En automne, faites germer les légumes

  • Pensons au printemps.

    Pensons au printemps.

    Tulipes_jaunes Novembre, c’est le mois de l’année que j’aime le moins, les jours sont courts, la température chute et la saison à venir est l’hiver avec ses rigueurs. Penser au printemps et préparer les floraisons qu’il me donnera, voilà qui me réjouit!

    C’est le bon moment pour planter les bulbes qui fleuriront dès les premiers beaux jours, ils ont besoin du froid de l’hiver pour se réveiller et pousser, alors il est temps de se mettre à l’ouvrage!

    Le choix est immense, en couleurs, tailles, variétés. Vous pouvez les installer dans les potées, jardinières, massifs mais aussi dans les rocailles, je vous assure que les bulbeuses ne demandent qu’à fleurir.
    Quels bulbes retenir? Les tulipes bien sûr, mais aussi les jacinthes, les narcisses, les anémones, les muscaris, les renoncules, les ixias, les crocus, les perce-neige si précoces et tant d’autres…
    Plantez-les en évitant de les aligner régulièrement, en potée rapprochez-les les uns des autres pour un effet de masse.
    Dans le jardin vous pouvez si vous voulez vous simplifier le travail, disposer les bulbes dans des paniers spéciaux et mettre le tout en terre, à l’automne vous n’aurez plus qu’à les déterrer pour les entreposer à l’abri.
    La question importante est celle de la profondeur à laquelle il faut installer le bulbe. On compte que le trou doit faire 2,5 fois la hauteur du bulbe au maximun, vous pouvez ainsi mélanger  les variétés en les plantant à des profondeurs différentes,  cela vous permettra d’avoir une floraison variée et étalée dans le temps.
    L’installation des bulbes est terminée?  Imaginez un peu dans quelques mois  comme vous allez  fiers de vos plantations automnales!

  • Adresses utiles pour les amoureux de la nature

    Adresses utiles pour les amoureux de la nature

    4545434343543Le 11 novembre est une journée de commémoration en France. Voici quelques adresses utiles pour les amoureux de la nature et de notre pays :

    – France nature environnement-Fédération française des sociétés de protection de la nature : 57, rue Cuvier, 75231 Paris cedex 05. Tél. : (33-1) 43 36 79 95

    Fédération des parcs naturels régionaux de France : 4, rue de Stockholm, 75008 Paris. Tél. : (33-1) 44 90 86 20

    Anat : (Initiation et éducation à la nature) : Moulin de la chapelle, route de Marckolsheim, 67600 Sélestat. Tél. : (33) 88 92 80 26

    Accrocs-Branchés : BP 4 – 07103 Annonay cedex. Tél. : (33) 75 67 52 20

    Sud Escapades : Les Vailhés, 34700 Lodève. Tél. : (33) 67 44 22 78

  • Le mûrier à papier ou mûrier de Chine

    Le mûrier à papier ou mûrier de Chine

    Murier Savez-vous que les fibres de cet arbre ont, avec celles du bambou, du chanvre et du lin, constitué la matière première à la fabrication du papier il y a plus de 2300 ans en Chine, pays à l’origine de cette invention?
    Ce mûrier est encore utilisé en Polynésie où on transforme son écorce en fibre textile appelée "tapa"(tissu d’écorce) et en Asie on en fait du papier de luxe adapté à la calligraphie.
    C’est un bel arbre qui ne dépasse pas 15m, il appartient à la famille des moracées comme le figuier. Son nom scientifique est broussonetia papyrifera, difficile à retenir!

    Le mûrier de chine a un port étalé, il est très présent dans le sud de la France et il fait une bonne ombre. Il aime la chaleur et la lumière, ne craint pas le calcaire mais ne résiste pas à des températures inférieures à -5 degrés, ce qui explique sa localisation dans les zones à hiver plutôt doux.
    Il a la particularité de présenter un dimorphisme foliaire, les jeunes arbres ont des feuilles très découpées alors que les adultes ont des feuilles pleines, c’est un original! Son feuillage est caduque, son écorce brune est un peu velue sur les jeunes sujets, ne vous fiez pas à ses branches, le bois de cet arbre est très cassant et peu résistant.
    Il ne demande aucun soin particulier, évitez même de le tailler car les rameaux contiennent du latex qui s’écoule quand on les coupe.
    Cet arbre émet de nombreux rejets qui poussent très rapidement, il vaut mieux  maitriser la situation pour ne pas être envahi .

  • L’échalote, la reine de nos sauces

    L’échalote, la reine de nos sauces

    546545454546En parcourant le blog jardin, je me suis rendue compte que la vedette de nos sauce, la demoiselle échalote n’a jamais fait la une de notre site ! Voilà que cette injustice est réparée.

    Allium ascalonicum en latin, l’échalote est une plante potagère vivace par son bulbe, mais elle cultivée comme une annuelle. Elle appartient à la famille des alliacées.

    Notre star, qui a les pieds sur terre puisqu’elle entre dans la catégorie des légumes racines, doit être plantées en novembre si ses caïeux sont gris, mais ses autres variétés entre mi-février et les premiers jours de mars.

    L’échalote se sent bien dans le voisinage de la carotte, de la betterave, de la laitue des haricots. Par contre évitez de lui imposer la présence des légumineuses (haricots, pois, fèves…).

    Pour qu’elle soit à l’aise, n’oublier pas de la planter à 2-3 cm de sa voisine, et de lui éviter de se désoler dans un excès d’eau : elle n’aime pas l’humidité. Ses autres ennemis sont les mêmes que ceux du moins subtil oignon.

    La famille des alliacées, quel bouquet de… saveurs !

    Le roi du potager en novembre : le poireau

    L’échalotte, la reine de nos sauces

  • Des belles de nuit bien séduisantes

    Des belles de nuit bien séduisantes

    Belles_de_nuit_jaunes1   Bien obligée d’être belle la nuit cette mirabilis jalapa sinon comment ferait-elle pour être pollinisée? Le papillon chargé de cette mission est un papillon de nuit donc voilà notre belle qui se pare le soir venu, elle ouvre tout grand ses pétales restés fermés pendant la journée, expose ses couleurs vives et exhale un délicat parfum pour mieux attirer l’insecte.

    Et nous profitons donc avec plaisir de cette floraison nocturne et de cette senteur qui ne nous sont pas destinés.

    Elle nous vient du Pérou et est souvent cultivée comme annuelle mais c’est une vivace. Si l’hiver n’est pas trop froid, elle repart de sa racine qui ressemble à une grosse carotte noire. Dans  les régions les plus froides il vaut mieux  arracher les racines tubéreuses et faire comme pour les dahlias.
    Cette plante se ressème facilement toute seule mais vous pouvez à l’automne récupérer quelques graines et les semer au début du printemps, vous aurez des fleurs dès la fin du mois de juin et elles résisteront jusqu’aux gelées. 
    Plante peu exigeante sur la nature du sol, il lui faut du soleil mais elle accepte la mi-ombre. Vous pouvez l’installer dans les massifs, elle forme de jolis buissons couverts de fleurs qui même fermées le jour, laissent entrevoir leur couleur et comme celles-ci sont très nombreuses le massif sera bien coloré.
    Ah, j’allais oublier de vous le dire, elle appartient à la famille des nyctaginacées!