Auteur/autrice : patrick reymond

  • Aviation : problèmes diverses…

    Aviation : problèmes diverses…

    Images L’aviation en générale, est dans l’air du temps, comme par exemple le problème du gaz russe avec l’Europe.
    L’air du temps, c’est qu’on veut bien perdre des tonnes d’argents en voulant se couvrir à terme, sur les marchés financiers, mais que l’on a complètement perdu de vue, l’autre manière, bien plus basique de "se couvrir à terme", c’est d’investir, pour stocker.
    Comme ceux qui appliquent encore cette technique ne s’en plaignent pas (visiblement, ils s’en sortent très bien), on peut penser qu’elle n’est pas franchement erronnée.
    Un stock ça coûte, mais un stock, ça rapporte aussi énormément.

    Air France, quand à elle fait dans le "moderne", et pas dans le "graisseux".
    On rachète Alitalia, qui a toutes les chances d’être un nanard de première grandeur (comme tous les rachats d’ailleurs, de compagnies).
    Et on fait avec, en voulant se "couvrir" sur les marchés à terme.
    Quand au pétrole, il s’en consomme 85 millions de barils jours, pour 1 000 négociés…
    En plus, sur les marchés, on peut AUSSI y perdre énormément d’argent.

    En ce qui concerne certains marchés, ils sont purement dans une optique d’abandon.
    On laisse mourir certaines lignes de leur belle mort.
    Après tout, en France, il y a le TGV.

    Samedi 10 janvier 2009

  • Petit jeu européen et grand jeu asiatique.

    Petit jeu européen et grand jeu asiatique.

    Nabucco2 Le petit jeu européen se poursuit, entre UE, Ukraine et Russie sur le gaz, et il a ses répercussions sur l’Asie centrale, et la situation d’Asie se répercute en Europe.
    J’ai abondamment parler d’Afghanistan, et souvent on m’a posé la question : "Quel rapport avec l’énergie ?".
    En réalité, énormes.
    La prise de l’Afghanistan par les talibans, c’était une magouille pakistano-US, l’un désireux de gagner en profondeur stratégique, l’autre désireux d’avoir une voie d’accès gazière et pétrolière en Asie centrale.
    Manque de bol, les talibans se sont montrés moins manipulables que prévus.

    Ils furent donc renversés.
    Mais la donne reste toujours la même, les occidentaux aimeraient beaucoup vider et piller cette asie centrale les USA par le sud, les européens par l’ouest.
    L’un utilise la force, l’autre, est plus diplomate, mais tous deux ont un ardent désir de tourner l’infrastructure actuelle, pour se passer des russes.
    Voeux d’ailleurs totalement idiots, car, on ne peut se passer, en aucun cas, des russes.
    Les américains perdent le contrôle de l’Afghanistan, les européens découvrent que leurs réserves -vides en grandes parties- sont très courtes.
    La REALPOLITIK, c’est accepter l’état de fait.
    Sur ce, se greffe un mini-conflit ukraino-russe, dans un contexte peu amène. Ni l’OTAN, ni l’UE, ni les USA n’ont respectés les engagements pris vis à vis des russes.
    Ils en conçoivent du courroux. A juste titre.

    L’Afghanistan est largement perdu, l’Otan a perdu la partie en Géorgie, les USA sont aux abonnés absents pour cause de transition, de crise économique et de bande de Gaza.
    L’Union Européenne avait besoin d’être recadrée : on respecte ses engagements, on ne néglige pas ses stocks PHYSIQUES (on peut toujours se torcher avec les stocks papiers), on ne néglige pas ses infrastructures et son efficacité énergétique.
    Depuis le temps que l’Ukraine était indépendante, les européens n’ont pas compris qu’elle restait un pays divisé et peu fiable, dirigé par des oligarques corrompus.

    Samedi 10 janvier 2009

  • Haute-Loire : centrale éolienne.

    Haute-Loire : centrale éolienne.

    Carte_cassini Une centrale éolienne vient de rentrer en fonctionnement en Haute-loire, installés sur les communaux, et après délibérations des assemblées (et oui, il faut respecter les formes anciennes de démocraties), elle n’a pas rencontré d’opposition significative, mais au contraire une grande adhésion.
    Mais, en montagne, ce qui pose problème, c’est plus le défaut de réseau que le défaut de site.
    La moindre éolienne, à certains endroits (très propices) peu surcharger totalement le réseau, et, à défaut, bloquer totalement le développement.

    Terre d’énergie, elle est souvent dépeuplée, et les projets bloqués, parfois de très loin, au nom de la préservation d’une sauvagerie qui n’a jamais existé.
    Au titre des projets morts-nés, on peut citer Serre de la Fare, barrage qui aurait du être édifié sur la Loire, en amont du Puy, pour prévention des crues.
    Les premiers projets de retenues d’eaux importantes, remontent au premier empire, ils visaient, à l’époque, à favoriser la navigation, par le lissage des débits.

    Beaucoup de villages, d’ailleurs, doivent une existence ancienne, à l’exploitation systématique de ces ressources énergétiques (hydraulique et éolienne), souvent d’ailleurs, très bien pensé et régie de manière très pointilleuse.
    On avait déjà, donc, à l’époque, le gout de la chicane.

    Vendredi 9 janvier 2008

  • La crise en coup de bélier…

    La crise en coup de bélier…

    Images_2 Les PAC (pompes à chaleur) aérothermes, conduisent la France électrique à la catastrophe.
    Pourquoi ?
    Parce que ce sont, finalement, des chauffages électriques, beaucoup plus performants que les chauffages électriques à effet-joule.
    En effet, les chauffages électriques classiques consomment plus quand il fait froid, mais sont énormément gourmand tout le temps. Il y a donc une stabilité de consommation assez grande, une inélasticité certaine.
    Les PAC, elles, consomment peu d’électricité, avec un COP (coefficient de performance) de plus de 4 (une calorie consommée, 4 produites), en période "normale", c’est à dire, pas trop froide.

    Mais, en période de plongée, qu’avaient prévus les installateurs ?
    Soit un basculement sur une résistance électrique, soit une relève par une chaudière classique.
    La mise en route d’une résistance électrique, le principe du chauffe-eau, était conseillé par les installateurs. Au maximum, une semaine par an. Ce n’est pas grand chose en cout.
    Mais suffisant pour mettre EDF dans la panade.
    Dans une plongée des températures, la consommation de ces engins, multiplie par 4.
    Et comme ces produits étaient très en vogue cette année, on peut imaginer le coup de bélier sur l’architecture du système électrique.
    La gabégie du chauffage électrique, dans son ensemble, apparait, et la gabégie, le caractère anti-économique complet du nucléaire.
    EDF est, en effet, victime de son succès. Et avec peu de chance de pouvoir redresser la barre.

    Bien entendu, les PAC géothermiques se rient bruyamment, des vagues de froid. Mais, plus couteuses, elles sont plus rares.

    vendredi 9 janvier 2009

  • La France et le gaz russe.

    La France et le gaz russe.

    Methane Le retour tonitruant de la politique en matière économique, ne pouvait pas mieux trouver que le gaz russe.
    En France, on se veut serein. Ailleurs, on peut l’être moins, notamment dans les pays d’Europe centrale.
    La faiblesse des réseaux, des réserves, donne le "la" : les usines s’arrêtent.
    Mais quelle est la situation, ici aussi ?
    Pas si bonne. En effet, on se dit diversifié. Mais, en cas de rupture d’approvisionnement russe, qui va fournir le complément, et même, les pays européens ne vont ils pas se servir ? La Norvège, c’est loin. Imagine t’on, une chancelière allemande, voir passer le gaz norvégien, destiné aux français, britanniques, ou autres, pendant que ses citoyens auraient froid ?

    Même chose au sud.
    Va t’on voir passer le gaz algérien, pour alimenter pierre, paul ou jacques ? Douteux.
    De même, on apprend que nos réserves ne sont pleines qu’à 60 ou 70 %. Une réserve, c’est toujours un coût.
    On dit que c’est 80 jours de consommation ?
    Donc les pays membres de l’UE qui en sont privés vont nous demander de fournir, grâce à nos stocks.
    Le fera t’on ?
    Douteux aussi.
    Des industriels ont délocalisés dans beaucoup de pays. Ils avaient supputés les avantages. Ils voient, là aussi, les inconvénients.
    Ils ont simplement "oublié"que certains endroits n’avaient pas accéder au développement pour un tas de raisons : géographie, corruption, faiblesse des infrastructures en tout genre…

    Medvedev a lâché le morceau : pas de livraison sans accord. Il a, somme toute, une attitude modéré. Personne ne livre sans être payé, et certainement pas l’intermédiaire d’un transporteur véreux qui prélève sa dime.

    Jeudi 8 janvier 2009

  • Electricité : ça chauffe aussi…

    Electricité : ça chauffe aussi…

    Images_2 …Et à tous les points de vue.
    Explications. EDF ayant fait des couillonnades des emplettes, et racheter des nanards épuisés au marché des ex-grandes puissances en déconfiture, à savoir le nucléaire britannique et constellation aux USA, a gonflé sa dette outre mesure.
    Comme on soigne l’outrecuidance en faisant trinquer les pauvres (synonymes de consommateurs), on veut augmenter les tarifs.
    Et quand on commence à dire que les prix sont 30 % moins chers qu’il y a vingt ans, on peut imaginer l’idée derrière la tête de Pierre Gadonneix.

    L’investissement nucléaire reste l’alibi aussi en France de l’augmentation, et l’aberration du chauffage électrique explose en période de froid.
    On a battu en effet un record de consommation à 90 200 MW.
    Mais la production et surtout les réseaux électriques ont du mal à suivre. Surtout le réseau, largement délaissé depuis des lustres.
    La menace d’effondrement généralisée de l’ensemble conduira sans doute EDF à délester des zones rurales, où c’est bien connu, on est citoyen, mais bien moins que dans les grandes villes.
    En outre, se révèle ici, certains effets pervers. Avec le succès de nombre de PAC (pompes à chaleur) aérothermes, la demande a été accrue en période de grand froid. En effet, une relève sur résistance électrique est souvent mise en route avec des températures aussi basses que nous avons connu. Là aussi, il est bon de rappeler que dans les pompes à chaleur, les pompes à chaleur aérothermes souffrent de nombreux "petits défauts" dont ne souffrent pas les pompes géothermiques et elles ont du notablement contribué au pic de consommation, en multipliant par trois leur consommation.

    La politique de gribouille de la direction d’EDF se poursuit et s’amplifie. Avec en plus, l’exigence d’une rentabilité démentielle.
    Une nouvelle devise dvrait être adopté par le conseil d’administration d’EDF : "Pour y siéger, il ne faut surtout pas être une lumière"…

    Jeudi 8 décembre 2009

  • Trafic des avions cargos en chute libre.

    Trafic des avions cargos en chute libre.

    Images Air France-Klm traverse sa pire chute d’activité depuis sa création.
    Si le trafic voyageur progresse encore, mais de manière médiocre en décembre, on ne peut cacher sa crise non plus.
    Mais c’est l’activité fret qui plonge aux enfers : -20.4 % en décembre, le septième mois de baisse consécutif.
    C’est la crise internationale, entrainant la rétractation du commerce, qui provoque cette chute entre pays producteurs (Asie) et pays consommateurs (Europe et Amérique).
    Et elle est corsée, en Asie cette chute atteint près de 30 %.

    On peut désormais se poser la question de la rentabilité économique de l’activité aérienne.
    Depuis 2000, globalement, le trafic aérien navigue entre pertes monstrueuses, dépôts de bilans, redressements judiciaires, et atteint péniblement une rentabilité faible les bonnes années.
    En ce qui concerne l’activité fret, qui opère à 60 % de remplissage, il est clair que la réponse est non.
    On ne peut rentabiliser quoi que ce soit, la solution logique économique et globale est de réserver l’activité fret désormais à des transports rares, chers et indispensables.
    Mais l’activité passagers, n’est guère mieux lotie.
    Seul des subventions de la collectivité, à travers l’utilisation perverse des lois sur les faillites, permet à cette activité de se maintenir.
    La solution ultime, logique et employée la plus fréquemment, après ce genre de dévoiements est la nationalisations, de compagnies qui pourront se maintenir en état de monopoles.

    jeudi 8 janvier 2009

  • Eolienne à tout faire…

    Eolienne à tout faire…

    Images_4 Les éoliennes, étaient, à une époque de l’histoire européenne, la base de tout vie industrielle. Il existait des moulins pour tout faire, le meunier traditionnel n’étant qu’une toute petite partie des utilisations possibles.
    S’ils n’avaient passé leur temps qu’à faire cela, ils seraient morts de faim. On sciait, on fabriquait beaucoup de choses avec les moulins.
    reprenant cette tradition, une firme hollandaise lui donne une autre destination : capter l’humidité de l’air, et produire de l’eau.

    Le prototype produit 500 litres d’eau/ jour, mais on pourrait en produire 8 M3, et on parle aussi de dépollution et dessalinisation, et là, on atteindrait 50 à 60 M3.
    Les besoins croissants d’eau, entraine des investissements de plus en plus couteux, notamment ceux liés à la dessalinisation.
    Ces investissements sont couteux au départ, et couteux en énergie en fonctionnement.
    Même si la consommation d’énergie est bien moindre aujourd’hui (filtration par osmose inversée), elle est loin d’être nulle.
    En outre, ce système peut parfaitement s’adapter à des petits besoins, notamment de petites communautés humaines isolées.
    On peut penser à des iles, ou des villages à des endroits arides, dont le raccordement au réseau serait trop couteux ou impossible.

    clin d’oeil de l’histoire : les hollandais étaient les rois des moulins.

    Mercredi 7 janvier 2009

  • Alerte au gaz…

    Alerte au gaz…

    Images_3 La guerre du gaz entre Ukraine et Russie se continue et s’envenime. Il ne passe désormais plus un M3 par l’Ukraine, que ce soit la faute de l’un, ou de l’autre, à la limite, peu importe.
    Regardons la situation.
    On disait la Russie en difficulté financière. Mais la difficulté financière n’existe que si on accepte l’architecture financière. Elle peut être dénoncée. L’histoire n’a jamais manqué de déconfiture en la matière.
    Le système de crédit s’est toujours recrée.

    En revanche, on a soit affaire à une montée en puissance russe (si la Russie a pris le risque de couper le gaz à l’Europe occidentale, soit à un loupé ukrainien (ils pensent qu’ils vont être soutenus).
    Or s’il y a une chose qu’il faut écarter, c’est la possibilité de se passer de la Russie en matière de gaz.
    Avec 30 % de la production, elle est incontournable.
    Il est impossible de trouver 30 % en remplacement.
    Si l’Europe avait un brin de jugeote, elle verrait la seule voie disponible : la réduction de la dépendance, par la réduction de la consommation et l’intégration de la Russie au "concert européen".
    Dans les deux cas, on va s’apercevoir d’un retour, c’est celui de l’économie réelle. Une crise bancaire n’existe que parce que les hommes qui la gère ont leurs limites intellectuelles (dans le cas de Trichet, assez basse d’ailleurs).
    Dans une crise d’approvisionnement, il n’y a que deux possibilités. ON et OFF. Il est possible que les russes aient choisis ce moment de bruit au proche orient, de déclin américain et de repli sur la sphère nord américaine pour entamer une crise dont l’Ukraine est finalement au deuxième plan.

    La question s’adresse à l’Europe dans sa globalité. Vladimir Poutine, alors premier ministre, avant de devenir président, offrit à l’Europe la véritable fin de la guerre froide, par l’établissement d’une véritable sécurité.
    Aujourd’hui, ce n’est qu’une impression, mais elle peut être interprétée comme une patience à bout.
    Elle veut une réponse, OUI ou NON.
    Manquer d’argent est une chose. Se retrouver dans le froid, sans gaz, en est une autre.
    Les pays d’Europe occidentale ont désormais à se résoudre à un choix.
    Ils sont dans la panade, car ils ont horreur de ça.
    Il faut réfléchir, jouer aux échecs, alors qu’ils étaient dans le béni-oui-ouisme US.
    Mais aujourd’hui, BHO (Barack Hussein Obama) a d’autres chats à fouetter.
    Le système américain se replie sur lui, sur sa crise économique, politique et morale, abandonne le proche orient et l’Europe.

    Mercredi 7 janvier 2009

  • Gaza  : deux guerres.

    Gaza : deux guerres.

    Map_gaza Dans l’actualité brulante de ce jour concernant Gaza, il faut noter, au niveau tactique, deux manières de faire la guerre.
    La première, Israélienne, est une guerre à l’occidentale, reposant sur le moteur et le carburant.
    Pour Guderian, l’arme principale du blindé, ce n’était pas son canon, mais sa capacité de se mouvoir.
    Cette manière de faire la guerre se distingue par une puissance de feu effarante, une maitrise aérienne sans partage, et un coût financier démesuré.

    Mais, il ne faut jamais sous estimer son ennemi, ce qui avait été déjà le cas dans la guerre israélo-libanaise.
    Le Hezbollah avait ressorti une très vieille manière de faire la guerre, pas du tout moyenne orientale, mais vietminh et vietcong.
    Ces techniques reprenaient les anciennes manières de combattre vietnamienne : on creuse, et on creuse, et on creuse.
    Les dépôts de munitions, sont fréquents mais peu importants.
    Grâce à une main d’oeuvre abondante (et qui nécessite le soutien de la population), on truffe le sol de réseaux de communications, qui permet de mépriser les bombardements, et une fois les attaques au sol lancées, de tourner l’adversaire, de le harceler et de se replier sitôt qu’on est en difficulté.
    Il peut avancer, mais son avance ne lui de ne tenir que le sol sous ses pieds, le "terrain conquis" redevient hostile immédiatement, qui plus est, en zone urbaine.
    Dans ce contexte, parler de "percée" dans un territoire si petit d’ailleurs, c’est grotesque.
    Les français purent conquérir l’indochine au XIX° siècle, grâce à des rapports sociaux tendus.
    Les mandarins, assez mal vus de la population, ne disposèrent pas de la main d’oeuvre nécessaire pour mettre en place cette infrastructure. Ni d’une assez grande coopération de la population pour la construire.
    Pour ce qui est du moteur, il est clair qu’il devient inutile et la puissance de feu est terrifiante, mais contre les civils uniquement.

    Gaza serait semble t’il donc, truffé de tunnels, servant de dépôt d’armes, de voies d’attaques et de replis.
    Les pertes militaires infligées au Hamas et revendiquées par Israël sont d’ailleurs très légères : 130 tués.
    De plus, comme d’habitude, les pertes adverses sont surestimées, les propres pertes minorées.
    D’ailleurs, les Gazaouis utilisent aussi une autre manière de faire la guerre : leur natalité.
    La première au monde, elle est clairement aussi une "natalité de combat".

    Deux manières de faire la guerre, donc, une high-tech et l’autre très primitive, mais déterminée.
    Mais, contrairement à ce que l’on nous a dit à une époque, la guerre, c’est sale et ça fait beaucoup de victimes.

    Mardi 6 janvier 2009