Auteur/autrice : patrick reymond

  • Afghanistan-Pakistan-Inde-Grande bretagne-USA

    Afghanistan-Pakistan-Inde-Grande bretagne-USA

    Images_2 Cette partie du monde vire à l’imbroglio.
    Des attentats en Inde sans commanditaires, des britanniques impliqués, puis innocentés.
    l’OTAN qui perd la guerre sur le terrain en Afghanistan, tout en prétendant le contraire.
    Les Talibans sont à 20 kilomètres de Kaboul, et les occidentaux contrôlent la valeur d’un timbre poste à Kandahar.
    Hamid Karzaï, lui abattrait volontiers les avions américains.
    Les services secrets pakistanais (ISI), un état dans l’état, manipulent les talibans, manipulent les groupes terroristes en Inde et manipulent les groupes terroristes au Pakistan même.

    Alors, qui peut avoir commis, commanditer ou manipuler les attentats en Inde ?
    Beaucoup de monde, à vrai dire.
    Mettre le Pakistan en difficulté ? C’est aussi une possibilité, pour le rendre plus malléable et coopératif.
    Le "grand jeu" en cours, succédant au "grand jeu" entre russes et britanniques du XIX°siécle, n’a absolument rien à lui envier en coups tordus, chausse-trappes, calculs complexes/compliqués/farfelus, manipulations en tous genres.
    A cela, on peut rajouter des éléments concernant l’Inde.
    Aurait elle été "punie" d’acheter de l’or et de l’argent PAR TONNES -chaque jour-, ou d’avoir acheté pour un montant TRES coquet, des armes russes ?
    Aurait elle été "punie" du renforcement de l’OCS ?

    La toile de fond est la même. Lutte pour les matières premières et pour les voies de communications.

    Lundi 1°décembre 2008

  • Baisse de la production Opep.

    Baisse de la production Opep.

    Opep L’Opep envisage de sérieusement baisser sa production pour conserver des prix hauts (75 $ pour les saoudiens).
    Cette tentative d’ajustement devrait, comme toutes les fois, s’avérer vaine.
    Pourquoi ? Parce que, les quantités consommées chutent et chutent fortement, sans commune mesure avec la baisse de production envisagée à chaque fois (ce n’est pas la première) et que d’autre part, la crise affrontée, n’est pas une crise pétrolière.

    C’est une crise de paupérisation, de la demande globale, et d’éclatement de la bulle de crédit.
    Contraints et forcés, les consommateurs n’ont pas d’autre alternative que d’économiser et se rabattre sur leur salaire.
    Une chaine de magasin britannique, Woolworths, est menacé de liquidation, et ce n’est pas la seule. Mais le plus grave, c’est que cette défaillance arrive AVANT noël.
    D’une manière générale, les enseignes sont de très grands générateurs de cash, ne serait ce qu’en jouant avec le différé entre l’encaissement et les achats, d’une part, et d’autre part, leur marge, en la matière, est importante, alors que leurs frais sont souvent fixes, et à date fixes.
    Il faut donc une crise TRES sévère pour les mettre sur le flan, hors, bien sûr, commerce spécialisé, comme par exemple le meuble, qui souffre, lui de crises cycliques.
    Les baisses annoncées, 1.5 % ou 3.4 %, frisent au contraire, le ridicule.
    Jamais une telle baisse n’aurait eu un tel impact sur les enseignes.
    On doit s’attendre à des artifices comptables, comme d’habitude.
    La crise qui atteint une société ayant  déifié la consommation est visible dans la mort d’un employé de Wal-Mart, piétiné par la foule, au moment des soldes du "Black Friday".

    La bestialité des comportements, le refus des clients de sortir après le drame, démontre un signe de stress absolu.
    Contre cela, les mesures techniques de l’Opep ne peuvent rien.
    Les gouvernants ont fait la leçon aux citoyens pendant des années, expliquant gravement que "l’Oéconomie", c’était ceci et cela.
    Pour le moment, ce sont les citoyens qui expliquent aux gouvernants ce que c’est l’économie.
    Et le retour sur terre est rude, y compris pour l’Opep.

    Lundi 1°septembre 2008

  • Bâtiment : l’an 0 ? Ou l’an II ?

    Bâtiment : l’an 0 ? Ou l’an II ?

    Images Il n’y a souvent rien de tel que l’approche d’une catastrophe pour que les énergies convergent et fassent échouer les problèmes prévisibles.
    Le bâtiment est à la croisée des chemins.
    On attend un début d’année 2009 encore soutenu, mais avec le siphonnage des carnets de commande, c’est la deuxième partie de l’année qui va poser problème, encore que les commandes d’ici juin 2009 devraient combler en partie le trou, mais, pour 2010 et 2011, cela risque d’être le grand vide.
    La raison d’espérer, pour le bâtiment, c’est le grenelle de l’environnement.

    Comme je l’ai déjà dit, maints fois, le bâtiment, c’est 50 % de la consommation énergétique en France, et cette consommation peut être réduit aisément de moitié, d’une manière plus complexe à pratiquement rien, et en tout cas, à une fraction de la part actuelle.
    Ce n’est même pas compliqué. C’est le plus souvent de l’isolation. Globalement, 31 millions de logements, c’est un marché de 600 milliards pour la Capeb, arguant une dépense de 30 000 euros par logements.
    On peut faire remarquer que la simple règle de calcul, c’est plus de 900 milliards, et probablement le chiffre réel sera de 1500 milliards.
    Voilà. Quand on parle aux sentiments, on voit la conversion expresse et le chemin de Damas de la profession.
    Il suffit de mettre quelques centaines de milliards sur la table.
    Sans compter l’impact sur le reste.
    On risque aussi de beaucoup détruire.

    Nico, des sous !

    Lundi 1 décembre 2008

  • Crise économique de premier Gabarit…

    Crise économique de premier Gabarit…

    Industrie … en Chine. Et dans ce cas là, l’attaque vaut mieux que la défense.
    La situation économique chinoise est infiniment plus dramatique qu’avouée, et la situation économique américaine, infiniment plus dramatique qu’avouée.
    Tout le monde sera en récession, Chine comprise, et pas à 7.5 % de croissance officielle.
    Certes, le Dalaï-lama, n’est pas le personnage qu’il parait. C’est un stipendié. Mais ce n’est pas nouveau, cela fait 50 ans que cela dure.
    La diatribe de pékin vis à vis de la France, vise à plusieurs choses. Un round diplomatique pour faire oublier la politique intérieure, des "sanctions" vont suivre, opportunes pour annuler des contrats que, de toute façon, on voulait annuler.

    Partout, c’est la même histoire, la crise économique entraine le désinvestissement. Tout ce qui a été investi, devra être désinvesti (Keynes) ! Mais, devant l’effet de la crise financière, le désinvestissement tourne à la catastrophe. Les deux millions de véhicules chez les concessionnaires français, ces immeubles vides, ces quartiers entiers saisis aux USA, tout ce qui déclenche, une formidable vague d’économie d’énergie. Les surfaces par habitants avaient doublées depuis 1970. Le Queens se vide.

    La chute, déjà observée dans la consommation US de produit pétrolier, chute observée aussi en Europe est liée à ce désinvestissement brutal.
    Bientôt, là où il y avait des quartiers et des habitants, il y aura des parcs. C’est particulièrement vrai aux USA, plus insidieux dans nos pays. On préfère laisser pourrir.
    Comme le problème général de la société, c’est le blocage des salaires, on assiste au retour de la crise des années 1930. Quand il y aura déblocage, on assistera à la modernisation profonde de l’économie. Y compris avec la donne, "économie d’énergie".
    Ce sera sans doute, d’ailleurs, le moteur de la prochaine révolution industrielle.

    Samedi 29 novembre 2008.

  • Point du solaire thermique.

    Point du solaire thermique.

    Helios Le solaire thermique piétine chez les particuliers et progresse fortement chez les professionnels. Les surfaces en fonctionnement chez les particuliers gagnent 6 % et dans l’usage collectif de 80 %.
    Reste à savoir pourquoi.
    Le point d’orgue de la campagne de modernisation, ce sont les PAC (pompes à chaleur), aérothermes, surtout.
    Le reste des énergies renouvelables est marginale.
    Le particulier fonctionne sur un "mode tout/rien" et le rejet du fossile est massif.
    Or, pour le solaire thermique, il faut un appoint.

    Bien entendu, les PAC ne règlent pas les VRAIS problèmes. La solution la plus adéquate, c’est l’isolation. L’énergie la moins chère, c’est celle que l’on ne consomme pas. Moderniser les installations est incontournable et les "bons résultats" obtenus avec les nouvelles installations auraient été obtenus AUSSI avec des chaudières fioul ou gaz neuves, avec un rendement élevé.
    Trop souvent, fonctionnent encore des nanards épouvantables à moins de 50 % de rendement.
    Ensuite, pour les problèmes GLOBAUX d’énergie, les PAC aérothermes ne règlent rien, au contraire.
    Si elles économisent, LA PLUPART DU TEMPS , les 2/3 de l’énergie (ou plus), en période de pointe (les plus froides), elles basculeront aussi sur leur résistance électrique.

    On peut donc imaginer, une consommation électrique de plus en plus hiératique. La consommation pouvant baisser globalement fortement, mais en période de froid, explosant les consommations de pointe.
    La démarche du particulier obéi rarement à une vision et une analyse globale.

    Vendredi 28 novembre 2008

  • Une affaire d’état.

    Une affaire d’état.

    Images Dans le bitume canadien, les jets d’éponges se multiplient.
    La baisse des cours et la lourdeurs des investissements à envisager renvoient crument à la réalité, seul un état à l’envergure pour les faire : "il est devenu évident que le secteur privé et le laisser-faire ne suffiront pas à garantir la mise en valeur des sables bitumineux sur une grande échelle. Les coûts, les risques ainsi que les défis technologiques et environnementaux sont tout simplement trop grands. "
    D’après d’anciens secrétaires d’état (Schlesinger, Deutch), on ne peut compter sur le marché ni pour les prévisions, ni pour la sécurité nationale, ni pour l’environnement.

    L’enjeu est lourd, le problème du pétrole canadien va devenir un enjeu de politique national, mais le Canada lui même est un poids trop léger pour assurer l’exploitation de ce pétrole.
    Reste que les problèmes Yankee sont eux-mêmes, graves et que le pétrole risque de devenir le cadet de leurs soucis.
    D’abord, effet de crise économique oblige, la consommation dégringole à toute vitesse et seule la foi du charbonnier peut penser sans avoir peur de se tromper qu’elle remontera.
    Trop d’inconnus pèsent. D’abord, la reconstruction des USA sera longue, le changement technique influera, et les risques de dislocation du pays sont désormais évoqués, clairement.

    On a parlé d’Obama comme d’un Gorbatchev, un dirigeant issu du sérail, mais qui démolit le système ancien. Toujours est il qu’il se comporte comme lui. Non dans le fait qu’il dit ce qu’il fera, qu’il enclenchera pérestroïka et glasnost.
    Non, il se comporte comme Gorbatchev en s’entourant d’hommes et de femmes du pouvoir central, plus connu pour être des dirigeants maitrisant les cercles et les rouages de pouvoirs, pouvant être à poigne, et constitués en Soviet
    C’est une situation proprement révolutionnaire, une concentration des pouvoirs absolue et sans précédent, dans le centre de pouvoir. La périphérie n’existe plus, le monde n’existe plus.
    Le bitume canadien, dans ce contexte là, risque d’avoir le futur du gisement de Kashagan. Il aura toujours un bel avenir

    Jeudi 27 novembre 2008

  • Deutsche Bahn : chute d’activité du fret de 40 %

    Deutsche Bahn : chute d’activité du fret de 40 %

    Db La chute d’activité du transporteur ferroviaire allemand atteint 40 % pour le fret.
    Contrairement à la France, où l’activité fret est devenue quasi marginale, la partie fret est une partie forte des chemins de fer allemand.
    Il faut dire que le pays est plus petit et ramassé, surtout sa part productive, que son réseau autoroutier est souvent engorgé et obsolète et que la culture du rail allemande est fondamentalement différente.
    Reste à constater, que 40 %, c’est beaucoup, comme les 12.7 % de baisse de consommation de produits pétroliers aux USA.
    Cela n’indique en rien, une récessionnette de 1 % (ou de 0.5, comme avouée), mais bien plus importante.

    Pour les USA, la chute de la consommation devrait atteindre 5 % au 4°trimestre. Le chiffre de la consommation était magique, il permettait de cacher la faiblesse de la croissance réelle, maintenant ce chiffre s’affaisse aussi. On va voir le roi nu, et une récession à l’islandaise, c’est à dire à moins 10 %. Et certainement pour plusieurs années de suite.
    Les déséquilibres doivent être corrigés. Les balances commerciales -toutes- doivent revenir à l’équilibre.
    En Chine, on rêve encore en pensant à une croissance de 7.5 %.
    On y a trop longtemps, là aussi, sacrifié les salaires.
    On mesure l’étendue de la fraude quand on constate les effondrements sectoriels constatés et la stagnation, ou le très léger recul global avoué.

    En Europe -Union européenne défunte-, Barroso a manqué le coche.
    Il pouvait demander une vraie relance. Il n’a fait qu’additionner les mesures nationales.
    Il a prouvé qu’il n’était rien, que l’Europe n’était rien.
    En attendant, il va y avoir du sport. Avec un tel déluge de mauvaises nouvelles, nos gouvernants devront se bouger à une allure oubliée depuis longtemps.

    Jeudi 27 novembre 2008

  • Le retour du massacreur…

    Le retour du massacreur…

    Janus Paul Volcker va revenir aux affaires. L’homme, qui, comme ancien président de la FED a, dans un accès de rage monétariste, massacré l’industrie américaine, et finalement, le capitalisme aux USA, est de retour.
    Par le simple jeu de la manipulation monétaire, sans égard aux performances réelles de l’économie américaine, il a multiplié par 3 la devise américaine entre 1978 et 1986, en montant les taux d’intérêts au ciel.
    Les maux des USA étaient curables, en 1978.
    L’industrie souffrait de l’effondrement de l’investissement en 1968, la dernière usine ouverte datait de 1969, sa gamme était vieillissante et sa qualité, devenue moyenne.
    Grâce à sa politique de taux d’intérêts, et conjugué à la stupidité de R. Reagan, le commerce extérieur s’est effondré, passant de – 20 milliards de $ à – 150 sous son administration.

    Les dégâts de ce triste sire ont été si importants sur l’industrie, la société et l’économie américaine, que les USA vont renoncer au monétarisme, pour ne plus y revenir. Greenspan, après cette période, apparaitra comme un homme mesuré et responsable.
    Des ravages de P. Volcker, on peut retenir les délocalisations (sous l’effet de la monnaie forte), le blocage des salaires et la bulle du crédit date de Greenspan sera la conséquence directe de cette période.

    De cette période, date un formidable archaïsme technique, juste tempéré par les importations de produits plus modernes, les firmes automobiles, particulièrement, se distinguant par leur non-innovation.
    A cette époque, les entreprises américaines avaient besoin de se moderniser techniquement, de renouveler leur cadre de pensée.
    A cette époque, la consommation énergétique, déjà aberrante a été sacralisée.
    Grâce à Volcker, les USA ont ratés ce rendez-vous de la fin du 20°siècle, pour un morceau de papier, dont ils ont usés et abusés.
    Il est aussi, directement responsable de la crise de la dette du tiers monde et des politiques régressives qui y ont été menés.
    Il aura droit à la figure de Janus. Il a mené la puissance américaine à être un empire et il a considérablement contribué à la détruire.
    C’est pour cela qu’il a sa place au pouvoir, pour finir le travail ?

    Mercredi 26 novembre 2008

  • Le pingre, le rat, le radin, le fesse-mathieu, etc…

    Le pingre, le rat, le radin, le fesse-mathieu, etc…

    Baril_petrole J. M Barroso aura bien mérité toutes ces épithètes.
    Alors que le gouvernement chinois relance (4 000 milliards de Yuan), les autorités locales chinoises rajoutent 10 000 milliards pour moderniser le pays, le super-dupont de la commission européenne annonce un plan de relance de… 200 milliards.
    Il faudrait que ce monsieur s’achète un dictionnaire.
    A l’échelle de l’union européenne, 200 milliards, c’est de la menu monnaie.
    Les chinois investissent pour sauver la situation, 2050 milliards de $, plus de 60 % du pib (3280 milliards de US $), l’UE envisage … 1.5 %…(base pib 2007 16748 Milliards US $).

    On peut penser que "l’effort" européen, est, à la mesure des défis énergétiques à relever, complètement idiot.
    C’est trop et c’est trop peu. Par rapport au carcan de Maastricht, c’est démesuré, et pour les besoins, c’est ridicule.
    Rien que le besoin de modernisation pour adaptation des bâtiments couterait 10 000 milliards.

    Bien entendu, le contenu du plan laisse aussi à désirer. Si comme les britanniques, on entend baisser la TVA, c’est inutile, si on entend relancer le secteur automobile, c’est inutile aussi. Bien sûr, ce qui est visible, ce sont les 2 millions de véhicules en stocks en France et il y a gros à parier que c’est ce secteur qu’on voudra soutenir. La bonne question, c’est : "Et l’investissement dans tout ça ?"

    Mercredi 26 novembre 2008.

  • Ron Paul : « laissez-les tomber »…

    Ron Paul : « laissez-les tomber »…

    Chevrolet Ron Paul, libertarien et ancien candidat à la présidence des Etats-Unis, vient de donner son avis. Il faut laisser tomber les trois grands de l’automobile, et d’une manière générale, ne pas soutenir les firmes en difficultés.
    On peut noter qu’il a au moins raison sur un plan, il s’alarme des prélèvements obligatoires, et le taux de ceux-ci dépassera 100 % cette année.
    Grâce à une propagande habile ("Nous sommes les meilleurs, le peuple élu"), dans tous les domaines, les USA ont 50 ans de retard, spécialement dans l’automobile.

    Mais, Ron Paul reste, quand même, un homme de son époque et de son lieu.
    Il n’envisage, semble t’il, guère les conséquences de cet acte.
    Des villes entières rayées de la carte.
    Une crise politique inouï, voire, une guerre civile, une dislocation.
    D’autres les regardent, tel Igor Paranine, Politologue russe. Pour lui, les USA vont à l’éclatement sur un modèle soviétique, en 6 régions (Pacifique, Texas, Sud, Côte atlantique, 5 états peuplés par les indiens, et nord qui basculerait côté canadien).
    Les puissances dominantes deviendraient Russie et Chine.
    Bien entendu, ce scénario a des faiblesses. La fin du rôle US de régulateurs, pénalisera aussi ses fournisseurs. Voire, les tuera aussi. On peut penser que la Chine coure de très grands risques.

    A qui vendront ils pétrole et produits industrialisés ? Avec un effondrement de ce type, les 800 milliards de $ de déficits extérieurs seront ramenés à zéro illico, comme le déficit Britannique, espagnol aussi, etc…
    La fin des déséquilibres est profondément déséquilibrante. On s’habitue à tout, même au déséquilibre.

    Mercredi 26 novembre 2008