Auteur/autrice : patrick reymond

  • Eau et électricité.

    Eau et électricité.

    Desertec_fig1 L’eau et l’électricité sont les nouveaux pains et vins du monde. L’eau douce, essentiellement agricole, manque, notamment dans certaines régions fragiles et le recours au dessalement est de plus en plus fréquent.
    Ce recours pourrait revêtir deux formes. Soit la forme d’un recours au nucléaire (une cinquantaine de centrales), soit la mise en oeuvre du projet DESERTEC.
    Mais, ce qui visiblement coince, ce n’est pas le problème technique, c’est le problème politique dans les deux cas.

    Certains sont peu désireux de voir la technologie nucléaire se généraliser avec tous les risques militaires qu’il en découle.
    Mais le projet DESERTEC aussi pose problème, non pas problème technique, une très petite surface du Sahara suffirait aux besoins mondiaux, mais politiquement, il est toujours risqué de dépendre d’un seul fournisseur.
    On veillera donc à préserver un taux d’indépendance (ou plutôt un bouquet) énergétique.
    Le soleil deviendrait donc de l’or.
    Cette évolution serait primordiale pour les pays arabes et du moyen orient, possédant peu de ressources en eau, et leur permettrait aussi, de tendre vers l’autosuffisance alimentaire.

    Samedi 22 novembre 2008.

  • Moby Dick…

    Moby Dick…

    Images_4 Moby Dick, alias le pentagone, est en Irak.
    Visiblement, les moyens militaires, politiques et financiers des USA n’existent plus, et un affrontement entre pouvoir politique et complexe militaro-industriel est en cours.
    Apparemment, certains évoquent un conflit original.
    La cour du roi Pétaud, le Pentagone, parle de 3 années pour évacuer l’Irak.
    " Il nous semble vraisemblable que le Pentagone, et notamment l’amiral Mullen, n’exagèrent pas vraiment en avançant ces exigences chronologiques et pharaoniques pour un retrait d’Irak."
    Arcbouté sur sa propre incompétence, Moby Dick fera tout pour sauvegarder son budget, sa place au soleil,

    son importance, même si l’économie US, les citoyens doivent en crever la bouche ouverte.
    Reste, qu’à ce petit jeu là, l’échec militaire US, patent en Irak, autant qu’en Afghanistan, risque vite de se transformer en déroute et en catastrophe.
    Peut on imaginer sérieusement qu’un pays ayant de tels problèmes intérieurs puisse consacrer encore autant d’argent à jouer à la guerre ? Ou puisse, simplement, soutenir PHYSIQUEMENT le corps expéditionnaire, tout en maintenant 800 bases à l’extérieur ?
    2009 s’annonce comme une année noire économique, elle pourrait bien être aussi une année noire pour l’armée américaine.

    Vendredi 21 novembre 2008

  • Belgique : les pieds dans le plat.

    Belgique : les pieds dans le plat.

    Images_2 Les politiques Wallonnes et bruxelloises sont remises en cause, et spécialement l’investissement et les subventions du photovoltaïque.
    " isoler un mur et placer un panneau photovoltaïque ", un jeune ingénieur l’a fait.
    L’isolation est 6 fois plus productive que le panneau, qui lui-même est 66 fois plus subventionné.
    Mais, pour le moment, c’est plus un placement financier (à 20 % en Wallonie et 30 % à Bruxelles), qu’un moyen d’économiser l’énergie.
    En Wallonie, un correctif est à l’étude, qui obligera à un bilan global (et passer par l’isolation).

    Là aussi, comme je l’ai souvent écrit, il existe, pour sauvegarder l’énergie, des niches où l’effet de levier est extraordinaire, c’est la maison, et ce sont des dépenses quasi passives, isolation, ventilation double-flux, puit provençal.
    Une fois réalisé, les dépenses d’entretien sont minimes, et les coûts énergétiques, minimes aussi.
    Dans le contexte actuel, si photovoltaïque et solaire ne sont pas compétitifs, ils pourraient l’être avec une autre articulation.
    Mécaniquement, la part des énergies renouvelables augmentera avec un déclin de consommation.
    Bien sûr, il faut le rappeler aussi, le photovoltaïque n’est pas le solaire thermique, qui lui est très compétitif et très au point.
    On assiste, d’ailleurs, sur ce plan là, à des montées en puissance, des "monstres" de 40 M2 de capteurs thermiques.

    Vendredi 21 novembre 2008.

  • Que restera t’il de la puissance ?

    Que restera t’il de la puissance ?

    Images Le rapport du NIC 2008 acte plusieurs réalités à l’usage de citoyens US, de la présidence, du monde.
    Il vient de reconnaitre que les USA ne seront plus une puissance dominante.
    Il vient de reconnaitre qu’un des attributs de la puissance, le roi pétrole aura perdu de sa superbe en 2025.
    Mais les erreurs sont encore multiples. L’Europe puissance est clairement en train d’émerger.
    C’est sur un très vieil axe, l’axe des nations franco-russe qu’elle vient de se bâtir.
    Les vieux ennemis de cet axe, l’Allemagne, a été battu, et la Grande Bretagne est en déconfiture économique et financière totale.
    En ce qui concerne l’état d’europe centrale passé sous contrôle mafieux, il existe déjà, c’est le Kosovo.

    En même temps, on rappelle des réalités : l’inexistence de Al Qaïda.
    Les prévisions de consommations étaient une projections, qu’on peut qualifier de "jeu du tout c..". On prend une évolution passée, les mêmes conditions qu’aujourd’hui, et on prolonge…
    Toutes les projections antérieures VEULENT ignorer les déséquilibres qui étaient passés sous silence, ou même magnifiés : la dépendance au pétrole étranger, l’effondrement du commerce extérieur, qualifiés hier de signes de "dynamisme".

    Au niveau économique, le grand vainqueur, c’est le capitalisme d’état. Vous savez, celui qui avait gagné la guerre froide. Pas la pitrerie libérale qui a suivie la fin de l’URSS.
    Photo : Un papier hygiénique d’avenir.

    Vendredi 21 novembre 2008.

  • La pression monte…

    La pression monte…

    Dime Désormais, on agite la menace d’un impôt annuel, sur les véhicules les plus polluants.
    Les véhicules concernés, produisant plus de 250 grammes de CO2 par an, se verraient taxé à 160 euros par an, en plus du malus à l’achat.
    Ce genre de véhicule est souvent aussi, le plus cher à l’achat. Grosse voiture, grosse cylindrée, grosse consommation, et ne concernerait que 1 % du marché.
    Bien entendu, une telle manoeuvre, c’est évident est appelé à s’amplifier. Elle peut s’amplifier de deux manières. D’abord, qui est concerné ? Est-ce que cela touche les véhicules neufs, ou les véhicules d’occasion sont ils touchés aussi ?

    On peut très bien prévoir la taxe à chaque changement de propriétaire.
    Et bien entendu, ce plafond, élevé est amené bien sûr, à se rapprocher très vite du sol. Avec l’idée, cousue de fil blanc, de pousser au renouvellement du parc et on arrivera à l’idée que, finalement, tous les possesseurs d’automobile doivent payer la taxe.
    Les hommes politiques sont décidément trop prévisibles.
    Mais cette mesure vient bien tard, sans doute pour achever un segment de marché qui se portait très mal, dans un marché qui se porte mal.
    On vient de l’achever un peu plus vite.

    Mais, pour décourager la possession de grosses cylindrées, il y a une autre solution. Cela s’appelle l’impôt sur le revenu. Je rappellerais les mots du philosophe Alain : "Nous voilà sur la route, place à l’argent. Je double ceux qui sont plus petits et je suis doublé par ceux qui sont plus gros que moi". Une forte progressivité de l’IRPP découragerait aussi, la possession de grosses voitures, et on pourrait faire l’impasse sur ce genre de "petites escroqueries", pour pallier aux effets de ce non-sens qu’est le bouclier fiscal.

    Jeudi 20 Novembre.

  • Le cas OPEL et les USA…

    Le cas OPEL et les USA…

    Images_3 Opel défraie la chronique. La firme appel les états allemands au secours, alors qu’elle est bénéficiaire et que ses finances sont siphonnées par General motors.
    Sans sa filiale allemande, d’ailleurs, GM aurait cessé d’exister (3 milliards de US $ captés).
    Il faut dire que c’est sa seule filiale réellement rentable, et que c’est sa seule filiale qui dispose d’un savoir faire et d’une expérience réelle du "petit véhicule", qui pourrait aider GM dans un premier temps.
    Alors que GM vend tout ce qui est vendable, vendre Opel, ce serait mourir.
    Je ne rappellerais pas ce que dis un autre article du "blog énergie" sur le cas des constructeurs américains.
    Les hommes politiques nord américains jouent avec le feu, en ce qui concerne les "big three".
    La volonté de régression sociale imposée aux constructeurs par le biais d’un "chapitre 11", s’il épargnerait passablement

    les finances des constructeurs, créerait une crise sociale et économique difficilement maitrisable.
    Les grands constructeurs, les hommes politiques, n’ont jamais voulu créer de régimes généraux de santé. En conséquence, c’est aux salariés de s’assurer, et ce sont souvent les syndicats qui négociaient cela, comme les retraites d’ailleurs.
    Quand tout allait bien, GM ne VOULAIT pas être solidaire et PAYER pour les gros risques de santé, notamment.

    Bien sur, les constructeurs américains ont tout fait pour être antipathiques : suffisance démesurée, hypertrophie de l’égo, lobbying indécent, surdité aux demandes des consommateurs, idiotie économique démesurée, à l’échelle du secteur, incompétence…
    Mais le chapitre 11 risque de couter fort cher au contribuable, l’état devant se substituer socialement au constructeur et le cas "Opel", entrainé dans sa chute par la maison mère, risque de devenir le cas "Etats-unis", entrainé dans la chute du secteur automobile.
    Le plus probable est une hypothèse, dans ce cas là de "perestroïka" généralisée…

    Jeudi 20 novembre 2008

  • Municipalisation du marché de l’eau parisien.

    Municipalisation du marché de l’eau parisien.

    Ecussonparis Le marché de l’eau parisien va retourner à la gestion municipale.
    La production était détenue par la ville et la distribution par Veolia et Suez.
    Bien entendu, les performances du secteur privé n’ont pas été éclatante du tout, sauf pour le montant à payer.
    Distribution et production vont donc être réintégrés dans une même société.
    Pour bien préciser les choses, l’idéologie libérale faisait l’impasse sur un aspect de la gestion privée ; les 15 % de rendement demandé par l’actionnaire, qui renchérissait les coûts, le court-terme de la gestion, qui faisait que le volume des investissements n’était souvent pas à la hauteur, toujours au profit de l’actionnaire, enfin l’opacité de la gestion, qui, comme dans tous les cas où les fluides sont concernés,

    (eau, électricité, gaz, pétrole…), on sombre dans un marécage.
    En effet, pour ce genre de produit, il est très difficile de donner un coût exact.
    On investit, en espérant que cet investissement rapporte et qu’en même temps, il dure le plus possible. Mais les infrastructures ont cela de commun qu’on ne sait jamais à l’avance, leur durée, les travaux d’entretiens nécessaires.

    Tout ce qui a été investi doit être désinvesti un jour (Keynes), mais il est difficile de tracer une frontière claire sur des dépenses courantes, des dépenses d’investissements, de savoir si celui-ci est fait correctement et que le suivi des équipements est correctement fait.
    En bref, s’il y a une leçon à tirer de ce passage au privé, c’est que dans le public et dans le privé, les hommes sont les mêmes, ni pires, ni meilleurs, les différences de rendements ne peuvent être que marginales. Les dérives des grandes entreprises privés, prouvées par la crise actuelle, montrent qu’elles peuvent très bien, elles aussi, être des bureaucraties irresponsables.

    Mercredi 19 novembre 2008.

  • Le jeu des constructeurs.

    Le jeu des constructeurs.

    Jeudeloie_2 Les constructeurs automobiles sont pitoyables.
    Mendiants, aux 4 coins du monde, on peut faire le détail d’une journée chargée.
    Pour commencer, les "Big Three" sont dans une situation catastrophique, jouent de cette situation, et le PDG de Chrysler va jusqu’à ne vouloir être payé, qu’un seul dollar.
    Ce voeu, il peut l’exercer parce qu’il en a les moyens, mais il faut le reconnaitre, un dollar, c’est encore trop payé. Comparé aux "talents" déployés, il devrait payer pour travailler.
    Le PDG de Ford est plus classique, les efforts, ce sont pour les employés.
    Les constructeurs US vendent leurs derniers bijoux, les participations chez les constructeurs nippons.

    Mais tous sont d’accord, la mort d’un d’entre eux, signifierait la mort pour tous.
    En conséquence, ils montent tous en ligne pour défendre le plan de soutien, vivement combattu par les républicains (et leur base électorale).
    L’inculture économique crasse, véhiculée par les médias, cache la vérité aux Yankees. La mort de l’industrie automobile, c’est la mort de l’économie US. Elle mettra un siècle à s’en remettre.
    En Allemagne, un acquéreur (solarworld) s’est présenté pour Opel, qui "n’est pas à vendre" selon GM. Enfin, pas pour tout de suite.
    Opel est la seule marque de GM ayant un savoir faire certain pour les petites voitures.
    Mais si la crise s’aggrave, Opel risque d’être nationalisé outre-Rhin (ou Landerisé).
    Le bon sens étant une chose peu répandue, Daniel schwarz, de Commerzbank a estimé : "Ni le gouvernement, ni SolarWorld ne peuvent séparer Opel de GM.  "
    Une cht’ite loi de nationalisation, un coup de goupillon et le tour est joué…
    Le PDG de Renault, lui, persiste et signe. Bien que Nissan ne fasse plus de bénéfice, que celui de Renault diminue ntoablement, et que les deux firmes risquent de se retrouver à sec de trésorerie, il ne veut reonnaitre, ni son conformisme (grandir, c’est bien), ni son erreur fondamental de jugement.
    En effet, dans les conglomérats, la crise fait que les entreprises se plombent les unes les autres.
    C’est désormais aux constructeurs britanniques d’appeler à l’aide, face à l’effondrement du marché intérieur.
    Bien entendu, l’Asie n’est pas épargnée.

    Le tableau général est donc que l’économie mondialisée, de par les canaux qui ont été crée, les interconnexions, généralise la crise. L’ouverture des marchés, des frontières, se révèle donc être la première cause de la crise généralisée de l’économie productive.

    Mercredi 19 novembre 2008.

  • Grenelle de l’environnement, quelle logique ?

    Grenelle de l’environnement, quelle logique ?

    Devant l’annonce par JL Borloo de son plan "énergie renouvelable", on a une impression de gribouille.
    Images_3 Alors que la base de travail était relativement simple.
    Dans un premier temps, il fallait économiser massivement, là où l’effet de levier était maximum et les économies importantes et immédiates, c’est à dire, d’abord dans le bâtiment, ensuite dans l’automobile, enfin dans l’industrie, et pour ce qui est de la production, on pouvait se permettre de prendre du recul.
    Naturellement et mécaniquement, le recul de la consommation aurait fait augmenter les énergies renouvelables.
    Or, de quoi nous parle t’on ? De "mise en concurrence" pour l’hydroélectricité…
    De qui se moque t’on ? La concurrence est donc devenu le saint Graal, alors qu’il n’y a strictement aucun rapport de cause à effet, entre la mise en concurrence et la modernisation des barrages.
    De même, dans le solaire, on peine à trouver un fil conducteur. Simplification des procédures ? Et alors ?

    Panneaux solaire sur les toits des collèges ? Fort bien, mais quelle ligne directrice ?
    Encadrement règlementaire, fiscalité, là aussi, une bouillie assez peu engageante d’aspect…
    mais, tous comptes faits, on a oublié finalement, ce qu’était une planification.
    On s’en tient à un dogme, alors que c’est beaucoup plus basique que cela. D’un côté on définit un objectif, de l’autre, des moyens. Et après des périodes intermédiaires, on ajuste.
    Là, il n’y a aucune finalité, sinon ésotérique (les 20 % de ceci, de cela, les 20 millions de TEP économisées, mais sans dire la consommation globale en 2020), les moyens sont réduits.

    Parti sur de bonnes bases, le plan Borloo est devenu, donc, un empilement de mesures, signe de lobbying, plus que d’intérêt général et signe d’un mal plus général qui veut qu’on s’occupe de détails, tout en refusant de vraiment s’occuper de l’ensemble.
    Il n’y aura donc, là aussi, pas de résultat spectaculaire sans rejet de l’idéologie libérale, qui paralyse tout.

    Mardi 18 novembre 2008

  • Demande de pétrole en contraction.

    Demande de pétrole en contraction.

    Images_2 Pour la première fois depuis 25 ans, la demande de pétrole devrait se contracter.
    C’est, sans doute, la concomitance de deux pics. Le pic de la production, et celui de la consommation.
    Si, en effet, il reste beaucoup de pétrole sous la surface de la terre, le problème est désormais, à quel coût ?
    Le pétrole bon marché "permettait" de le gaspiller. Sa raréfaction, relative (forte dans certains pays du tiers-monde, faible en OCDE) seulement, est néanmoins un signal fort pour les usages non-vitaux.
    Le gaspillage ostentatoire souffre. C’est le plus visible dans une civilisation, même si ce n’est pas le plus important.
    Tout le monde pense aux gigantesques SUW US, aux tours de villes automobiles de la jeunesse, deux signes en voies d’extinction.

    Ce sont ces usages, clinquants, qui trinquent en premier.
    Mais il est clair que d’autres usages, moins visibles, plus liés à des flux économiques, sont bien plus dispendieux.
    La mauvaise construction coûte cher, le chauffage qu’elle nécessite, et la climatisation qu’elle réclame par la suite sont des gouffres bien plus importants, mais passent inaperçus.
    On peut aussi rajouter ces si bons haricots kenyans, que vous avez acheté à votre supermarché.
    Pour soigner l’un des symptômes, c’est facile. On peut continuer à sortir.
    A pieds. On peut réduire tout ce qui n’est pas strictement indispensable.
    Et investir. Dans des véhicules moins gourmands, dans des appareils moins gourmands, dans de la réhabilitation.
    Mais le pic de la consommation, vient sans doute d’un élément bien plus profond, c’est la remise en cause du système économique, du haricot kényan.
    C’est l’épuisement d’un schéma, de la croyance de la résilience éternelle du système, au delà de tous les aléas.

    Attali parle de 10 à 20 % de récession, Roubini, de 5 % (sur deux ans). La consommation des pays développés va dégringoler, mais celle des pays émergents aussi. Jamais la Chine, même avec son plan de soutien, ne pourra pallier la déconfiture économiques US, sans parler d’une japonaise et d’une européenne…
    Là aussi, sur le plan énergétique, le découplage est une idiotie. On a fait en sorte de mondialiser. Maintenant il faut payer la note. Sur le plan énergétique, les consommations vont donc chuter. Souvenez vous de l’URSS.

    Mardi 18 novembre 2008