Catégorie : actualités

  • Coercition automobile

    Coercition automobile

    Photos_120Les émissions de Co2 des voitures neuves devaient passer en 2012 à moins de 120 g au kilométre, selon l’accord volontaire passé avec les constructeurs, d’abord européens, ensuite asiatiques japonais et coréens). Comme cet accord n’a strictement aucune chance d’être respecté, on va donc légiférer.
    Ces objectifs correspondait à des véhicules diesels consommant 4.5 litres au cent, et des véhicules essence en consommant 5.
    Le problème est que les voitures les plus puissantes, sont les plus gourmandes, et les plus émettrices de co2. Pour ne pas les citer : Mercedes, Audi, Porsche, BMW, Jaguar et Land Rover. Seuls Fiat, Renault et Peugeot-Citroën sont en mesure de respecter ces normes, avec  une  moyenne de 140 en 2008, contre 172.5 en 2006, pour les autres constructeurs, et les progrés sont infinitésimales (-0.5 %).

    Donc, on fera un étiquetage, des incitations fiscales, des efforts de recherche (publiques ou subventionnés) destiné à ramener ce chiffre à 95 en 2020.
    Là, le clivage est net entre constructeurs : "Une source italienne a confié : "Nous ne voulons pas financer les voitures allemandes, voraces en carburant"."
    quand au président de Toyota, : ""Des questions globales telles que la réduction des émissions de CO2 et la préservation de l’énergie exige davantage qu’une technologie améliorée".", il est plus explicite encore.
    Sont incriminés ces salauds de consommateurs, accusés de vouloir des véhicules de plus en plus puissants et dotés de plus en plus de tout, mais l’objection essentielle, est que l’on se garde bien de lui proposer un "minimum automobile", à l’instar de citroën et de sa deux chevaux, et ce, sous le prétexte "qu’il n’en veut pas". Et quand on le fait, comme c’est le cas pour la Logan Renault, c’est à son corps défendant…
    Là aussi, est utilisé le sempiternel argument, il ne sert à rien que les européens fassent des efforts, alors que les autres… Moralité : on en vient à espérer que le pic oil soit bientôt là, ou déjà passé pour mettre tout le monde d’accord, et accélérer le changement technologique.
    Ce qui est remis en cause, c’est la démocratisation de l’automobile, par la montée des gammes.

  • La Coercition légale

    La Coercition légale

    Code_civilEn effet, une politique d’économie d’énergie peut utiliser et utilisera deux ressorts, la contrainte par le prix et la contrainte légale.
    La contrainte par le prix, nous la connaissons tous ; c’est la tipp, (taxe intérieure sur les produits pétroliers), qui a fait des européens des gens beaucoup plus vertueux sur le plan automobile que leurs cousins d’Amérique.
    Mais cette contrainte a des limites, notamment pour les plus riches, qui n’y sont pas soumis. De plus, à partir d’un certain seuil, elle est politiquement ingérable, peut générer des troubles, voire des insurrections (Cochabamba en Bolivie, il y a quelques années).
    Aussi, le législateur souvent intervient-il par d’autres biais : interdiction du chauffage électrique par effet-joule, dans certains pays européens., mais aussi, obligation de réparation, interdiction de réparation… Et la liste peut s’allonger.
    L’Espagne, quand à elle a choisi d’imposer le solaire thermique à toute nouvelle construction.
    Mais, les années à venir verront elles sans doute les coercitions légales s’allonger de plus en plus.

    Il est clair que sur le continent européen, l’interdiction du chauffage électrique par effet-joule, est appelé à s’étendre. Cette interdiction aura son pendant positif : l’obligation du chauffage électrique thermo-dynamique (pac), comme chauffage électrique.
    Seront spécialement visés aussi, les chaudiéres fioul et les chaudiéres propane. Le Fioul est d’ailleurs en plein déclin. Politiquement, on achéve l’ennemi à terre.
    D’autant que la disparition de certains sont considérés comme inéluctable. Ceci se fera donc sans risques politiques.
    Dans quelques années, ce qui n’est qu’une possibilité, puis est devenu une possibilté subventionnée,  deviendra une obligation :
    – obligation de produire de l’électricité, par photovoltaïque, par éolien,
    – obligation de récupérer ses eaux (on y pense déjà).
    L’instrument de cette coercition existe déjà pour le neuf, c’est le Dtu.
    Pour l’ancien et le déjà bâti, on utilisera une carotte (le crédit d’impôt), allié à un bâton. Ce bâton revêtira différentes formes. En ce qui concerne les entreprises, ce sera simple aussi : les rêgles d’amortissements du matériel seront utilisées, ainsi que ce qui se fait déjà : les visites techniques.
    Pour les véhicules, il faut s’attendre à voir notablement se durcir les rêgles de contrôle technique (c’est déjà prévu), peut-être compensé là aussi par des crédits d’impôts. Cette coercition, de plus, ne devrait pas être trop impopulaire.

  • Suisse : haro sur les 4X4

    Suisse : haro sur les 4X4

    SuisseLes écologistes suisses sont partis en guerre contre les véhicules gros émetteurs de CO2, émettant plus de 250 g co2 au km, et/ou 2.5 mg de particules fines. Les modéles les plus touchés seraient les 4X4, les berlines de luxe, et les "sportives". Soit 47 %, 17 et 23 % du marché de ces véhicules. 100 000 signatures doivent être récoltées pour permettre un référendum sur la question. Que ce vote se fasse, ou pas, un nouveau seuil est franchi. Alors que souvent les écologistes n’avaient en tête, qu’une sorte de

    régulation économique (par le prix), on en revient à une autre forme, la régulation par la coercition légale. Celle-ci est appelée à un grand avenir. En effet, rien n’est plus simple et plus égalitaire d’interdire, purement et simplement, d’autant que ces interdictions toucheraient d’abord les riches. En effet, on s’attaque là, aux symboles extérieurs de richesse de la classe dominante. Pas les abus les plus criants, mais les plus visibles. Le libéralisme économique connait une forme forte de coercition, la coercition par le prix. Il y a celui qui peut payer, et celui qui ne peut pas.
    Cette forme, régulation par la coercition légale, qui était en déclin, est amené, avec la nouvelle donne énergétique, à un grand succés. L’interdiction du chauffage électrique par effet-joule dans certains pays européen est le plus grand. Mais, quoi de plus simple, par exemple, que d’interdire de nouveaux chauffages au fioul, ou au propane ? Le chauffage fioul, par exemple est en plein déclin. On peut trés bien l’accélérer notablement, en interdisant l’installation de nouvelles chaudières, ou l’entretien des anciennes. En outre, la clientèle se réduisant, trouver des livreurs deviendra de plus en plus difficile. Puis, on peut passer à la vitesse supérieure : à telle date, plus de livraisons, ou à telle date, changement impératif. Avec le crédit d’impôt attaché aux énergies renouvelables, on peut culpabiliser de plus les propriétaires.
    L’Espagne, quand à elle a choisi le solaire thermique obligatoire pour toute construction neuve.
    Ne nous y trompons pas. Plus la crise énergétique à venir sera violente, plus cette solution sera utilisée.

  • Pétrole : les réserves

    Pétrole : les réserves

    Resserves_petrolesIl y a trois sortes de gisements de pétrole dans le monde ;
    – ceux qui s’épuisent, comme ceux des Usa, où les technologies les plus modernes n’arrivent pas à enrayer le déclin, malgré des taux de récupération qu’on annonce "record" : 70 % (peu probable), pic-oil physique,
    – ceux dont l’exploitation est ralentie, pour ne pas les achever trop vite (ils déclinent aussi, Cantarell, ghawar et la mer du nord), pic-oil politique, doublant le pic oil physique,
    – ceux dont l’exploitation est ralentie par les troubles politiques. Dans cette catégorie, on compte le Nigéria, le Soudan, et le plus important, l’Irak.

    Dans les trois cas, la facture présenté est celle de la gabegie des ingérences étrangéres, et  pour ne pas le citer des grandes puissances. Le Nigéria a vécu la guerre du Biafra (1967-1970), qui n’a jamais réellement guérie, et qu’on peut considérer comme un "conflit de basse intensité", qui loin de se cantonner au delta du Niger, mais a métastasé au pays tout entier. "Merde au roi d’Angleterre, qui ne nous a pas déclaré la guerre" chantaient les biafrais. Le succés britannique, et accessoirement des américains dans cette victoire fût une victoire à la Pyrrhus : le maëlstrom financier issu de la guerre faillit emporter la livre sterling, (voir années 1967/1970) et emportat le 15 août 1971, la couverture or du $. Quand à l’Irak, le plus richement doté, il n’est nul besoin de raconter les 28 dernières années. Car c’est là, qu’apparemment, se trouveraient les plus riches réserves : 116 milliards de barils plus une capacité supplémentaire de 100 milliards et du gaz, du gaz, du gaz…
    Avant la guerre Iran /Irak, le pays produisait 3.6 millions de barils jours, 3.2 avant la première guerre du golfe, 2.7 avant la dernière guerre. Les interventions militaires ratées dans ces 3 pays, ont accélérés la date du pic oil.

  • Sénat Français : on gamberge aussi II

    Sénat Français : on gamberge aussi II

    Potentiel_energies_renouvelablesLe petit cube rouge représente la consommation d’énergie globale actuelle, face aux potentiels du renouvelable. Pour l’exploiter, le sénat dit :
    "Mettre le développement durable au coeur de l’action de l’État",
    "BALAYER ", DANS LES DOMAINES DIRECTEURS DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, LA LÉGISLATION QUE SONT L’URBANISME ET LES TRANSPORTS,
    mais aussi "l‘urgence de réhabiliter les temps longs".
    En parallèle est mis l’effort qui a été consenti par l’Allemagne au cours des 25 dernières années. 5 milliards par an, pour

    créer une filiére, lancer une révolution industrielle et créer 175 000 emplois, 500 000 plus tard, pour une industrie qui s’annonce pour être bientôt dominante.
    Ce qui a été dit par la banque mondiale, ce qui est dit par le sénat est la négation des 25 dernières années. Le développement est une affaire d’état, la conjoncture est une affaire d’état, quiconque travaille dans le bâtiment, sait que les affaires sont essentiellement dûes à des politiques publiques. de robien, par exemple…
    Oui, il faudra bousculer des mentalités, pour l’éolien, par exemple, pour l’automobile aussi.  Le privé est tout simplement incapable de faire face au défi. Seul les états le peuvent.

  • Kit de récupération des eaux

    Kit de récupération des eaux

    Kit_rcupration_eauIl y a peu, la récupération des eaux était une vue de l’esprit. Puis s’est développé. Enfin, maintenant, on est dans l’ordre actuel, celle du produit industrialisé distribué en grand magasin, à tous les prix. le plus simple est à 300 euros, mais cela va, suivant la quantité jusqu’à 6000 euros.
    La technique est simple, accessible à tout bon bricoleur, mais dans ce cas là, il ne faut pas mésestimer le rôle de la grande distribution. Celui du captage de la rente. En effet, s’il y a bien un secteur où le grand magasin est plus cher que

    le marchand de matériaux, c’est bien celui du bâtiment. En effet, les marchands de matériaux sont trés classiquement moins chers que la grande distribution, même si les prix aux particuliers ne pas ceux faits aux professionnels.
    Une autre composante de ce marché est le fait que les professionnels ont dans ce secteur, beaucoup de mal à suivre la demande (considérable). En ce qui concerne les crédits d’impôts sur la récupération des eaux pluviales, le gouvernement entend bloquer celle-ci aux usages externes, ce qui dénature la loi, mais devrait éviter des hausses de tarifs (conséquentes).

  • Sénat Français : on gamberge aussi

    Sénat Français : on gamberge aussi

    Senat_iSi les problèmes énergétiques ont été quasiment absent, ou traité cavaliérement durant la campagne présidentielle, la veille de ce premier tour, un rapport du sénat prouve que l’ampleur de la crise à venir est clairement mais encore partiellement perçue.
    – tout d’abord le pic-oil, à l’image du sénat américain, le sénat français en accepte l’idée… pour 2030, ce qui avec 143 milliards de tonnes à extraire (2003), pour 130 déjà extraites, donne un espoir forcené dans les nouvelles découvertes, estimées à 140 milliards… Ce qui est totalement éloigné des découvertes effectuées depuis 1980, fort modestes. La simple lecture de ces chiffres donne 2005, plus peut-être 2 ou 3 ans.

    là aussi, l’évidence à du mal à se faire jour. Une assemblée aussi vieille espére forcément que le changement ne la concernera pas…
    – Ensuite, pour une génération qui avait totalement sous estimé les énergies nouvelles, elles sont acceptées comme une évidence. Même plus d’objections techniques, la seule inconnue est la date de maturité des énergies renouvelables, variable selon les secteurs.
    – les seuls freins sont des freins de mentalités, l’éolien particulièrement, qui choque les gens sa la présence, mais aussi de main d’oeuvre, mais aucune n’est à négliger. Le point est seulement mis sur leur faible poids actuel. Est négligé complétement que c’est ce faible développement qui rend certaines énergies irréguliéres, ce qui permet d’instrumentaliser cette irrégularité. L’éolien est irrégulier à l’échelle d’un petit pays, mais stable sur un grand, où l’éolien serait correctement developpé, ce qui n’est pas le cas, même de l’Allemagne actuelle. Par contre, une bonne appréciation des potentiels est fait. 50 % de rendement espéré pour le photovoltaïque, par exemple.
    La mise en place est désormais une simple affaire de volonté politique.
    "Quel que soit l’intérêt pour l’économie mondiale de la croissance du commerce international, il n’est plus possible d’en asseoir les règles de fonctionnement sur le seul système de diminution des barrières tarifaires et contingentaires." Voila pour l’OMC…

  • Congrés des Etats-Unis : l’aveu.

    Congrés des Etats-Unis : l’aveu.

    Courbe_de_hubbert Nous avons tous nos tabous, nos vaches sacrées, nos codes, tout ce qui est "culturel" : ce que tout le monde fait ou pense , sans l’avoir jamais appris : apporter des fleurs à la maitresse de maison quand on est invité à diner, par exemple. Et briser un tabou peut être extrémement traumatisant, cela en est d’autant plus méritoire.
    Le congrés des états-unis, vient de briser un tabou.
    "l’incertitude à propos de l’approvisionnement futur en pétrole rend important de développer une stratégie permettant de faire face au pic et au déclin de la production ", et de dater le pic : 2040.

    On peut trouver ce pic éloigné, et selon le schéma et les calculs initiaux (ceux du schéma), on y est déjà. Seules certaines compagnies pétroliéres (shell, total) donne une date un peu voisine (2030), d’autres parlent de 2010, pour certaines, il est déjà là.
    A l’heure actuelle, les politiciens aux Usa, vivent de déchirantes remises en question :
    – remise en question du libéralisme économique (qu’allions nous faire dans cette galère !),
    – du consensus de Washington,
    – de la désindustrialisation,
    – de l’éternité du pétrole. Voyons les choses clairement : il faut du courage pour se remettre en cause. Même si la date du pic oil est sans doute trés surestimée, l’essentiel était de briser le tabou. C’est fait. Le continent nord américain fait son aggiornamento, et sur beaucoup de plans.
    Prendre conscience du problème, c’est déjà une grande partie de la solution.
    Nous ne pouvons en dire autant. Et je dois dire que le spectacle de la campagne présidentielle est assez navrant aussi, aucune question de fond abordée, tous les candidats "sérieux" essaient de gagner par défaut. sans fins, et sans buts. Confucius disait que seuls les trés grands savants et les trés grands idiots ne changeaient jamais d’avis. Je vous laisse deviner dans quelle catégorie sont nos hommes politiques.

  • nouvelles d’Allemagne

    nouvelles d’Allemagne

    Hanovre_2Foire de Hanovre. L’état des lieux pour l’industrie, car désormais il faut bien parler d’industrie du renouvelable est clair désormais. Les taux de croissance par entreprises atteignent souvent 100 %, pour un chiffre d’affaire global de 32 milliards d’Euro (+17 %).
    Ce taux est freiné par la pénurie de main d’oeuvre et différends goulots d’étranglements :
    – l’environnement juridique et les réticences locales,
    – le manque de terrain,
    – les retards industriels.
    Certaines firmes, tel Enercon ont préférés renoncer à développer les éoliennes Off-shore, peinant déjà à satisfaire la demande d’éoliennes classiques.

    Aussi, les firmes germaniques préférent-elles donc miser sur un développement Européen, profitant de son avance, pour rayonner, par cappillarité, sur tout le continent. En effet, les contingences allemandes en matière d’espace n’existent pas dans certains pays.
    7.7 % d’énergies renouvelables en 2006, en réalité, certainement plus (l’autoconsommation est difficile à évaluer), on s’aperçoit qu’avec le taux de croissance annuel actuel (17%), le taux de 20 % d’énergie renouvelable en 2020, est loin d’être un objectif insurmontable. En matière industrielle, il y a souvent effet d’emballement d’ailleurs.
    20 % est même un objectif trés en deça de ce que l’on pourrait faire.
    Emplyant 175 000 personnes à l’heure actuelle le complexe des énergies renouvelables devrait en employer 500 000 en 2020, et devenir ainsi le premier secteur industriel. Pas mal pour ce qui était considéré, il y a 20 ans comme une utopie. Et, remarque en passant, l’industrie automobile devrait donc décrocher de sa première place… Le développement de ce secteur en Allemagne devient donc aussi tributaire des possibilités de développement  ailleurs, notamment en Europe. Le principal goulot d’étranglement sera la main d’oeuvre.

  • Sommet sud-américain !

    Sommet sud-américain !

    Carteamerique_sudON PARLE QUE TRES POLIMENT DE CE QUI FACHE ! Telle est la moralité du sommet énergétique sud-américain. En effet, les positions de Chavez, reflétant celles de Castro sur l’éthanol (on n’enléve pas le maïs à la population pour alimenter les voitures) a été mis en sourdine. La négociation a eu lieu en coulisse. Il faut dire qu’il n’y a pas deux pays aux intérêts plus dissemblables que le Brésil et le Vénézuela. Le Brésil a soutenu envers et contre tous (et notamment le FMI), sa filière éthanol pendant plus de 20 ans, alors que les réserves de pétrole du Vénézuela, sont sans doute, à l’heure actuelle, les plus grosses du monde (235 milliards de tonnes, rien que pour la ceinture de l’Orénoque), et les populations des deux pays sont aussi trés dissemblables : 26 millions pour l’un, prés de 200 pour l’autre.
    Donc Chavez a laissé Paul Wolfowitz et la banque mondiale

    s’inquiéter de la sécurité alimentaire, et condamner le néolibéralisme… Pas d’annonce, non plus de construction de "gazoduc du sud", mais en revanche un traité garantissant la sécurité énergétique du continent.
    Une naissance : celle de l’Unasur (Union des nations sud-américaine), remplaçant la communauté sud américaine des nations, au point mort, sinon décédée.
    Chavez a rappelé à cette occasion que L’union européenne était née sur la question énergétique, à travers le CECA (mais les sudaméricains devraient se méfier : il n’y a plus de mines de charbon en Europe, et l’acier est indien)…