Catégorie : énergie fossile

  • Ventes d’armes et énergies fossiles

    Ventes d’armes et énergies fossiles

    Ak_47Il y a les 4 grands de l’armement.
    Incontestablement les premiers sont les étasuiens, suivis des britanniques, suivi jusqu’à récemment par les français et enfin les russes.
    Les russes reviennent en force dans la course, distançant les français et revenant à la troisiéme place.
    Les principaux clients sont les états producteurs d’énergies fossiles. Chacun se retranchant dans des camps trditionnels.
    Moscou vend des armes à Caracas et à Alger, mais aussi à la Chine. La Chine abreuve d’armes le Soudan pétrolier. Les états occidentaux privilégient les états producteurs de pétrole qui leurs sont favorables.

    En réalité, le peu d’activisme russe des dernières années était lié aux types d’armes fournies : armes individuelles (en grand nombre : ak 47 et rpg), petites armes collectives (mitrailleuses et mortiers), et le reste était inexistant.
    Aujourd’hui, le constat est renversé. Si par exemple certains marchés sont saturés au niveau d’armes individuelles, ces pays montent en gamme. Le cas Vénézuélien est typique. Chavez a éloigné le spectre du sempiternel coup d’état en créant des milices ( 2 000 000 de combattants actuellement), qui par leur seule masse et leur seule existence rendent une intervention étrangére et un coup d’état comme une opération à haut risque, aujourd’hui, c’est le matériel anti-aérien (la technologie russe est capable de paralyser la supériorité aérienne Us), l’aviation revient en force dans les exportations russes (50 % du total), ainsi que le matériel naval. Des projets de chars de combats lourds sortent des cartons, avec la coopération de la biélorussie.
    De plus, le déluge d’armes peut s’avérer dans certains cas, nuisible. Aujourd’hui, 15 juin, il apparait que l’autorité palestinienne et le Fatah sont en déroute dans la bande de Gaza. Armes et argent n’ont pas donné aux combattants, ni moral, ni volonté de combattre. Au contraire. Ils ont faits de ceux qui les ont reçus des gens qui avaient honte d’eux-mêmes…
    Le scénario d’Olduvaï apparait donc bien se mettre en place : les armes affluent vers les pays miniers et producteurs de matières premières, pétrole principalement.

    Source CIA et RIA Novosti.

  • Coal to liquid

    Coal to liquid

    CharbonAvis de naissance : aux Etats unis est né un nouveau lobby, celui du coal to liquid coalition :
    "The Coal-to-Liquids Coalition supports legislation that:Authorizes and appropriates $500 million in deployment funding support in the form of grants or non-recourse loans to cover front-end engineering and design costs for 10 initial domestic CTL plants;
    Provides an appropriation to fund federal loan guarantees (authorized by Title XVII of the Energy Policy Act of 2005) for up to 10 domestic CTL plants through 2015;
    Provides a 20 percent investment tax credit capped at $200 million total per CTL plant placed in service before Dec. 31, 2015;
    Grants the Department of Defense and other federal agencies the ability to enter into long-term, guaranteed fixed price contracts in order to discourage oil exporting countries from manipulating oil prices solely to block U.S. development of CTL fuels.
    Extends the expiration date of the 50 cents per gallon fuel excise tax credit from September 2009 to Dec. 31, 2020 and;
    That allows 100 percent expensing of investments in the year of outlay for any CTL plant online by Dec. 31, 2015."

    Il est à noté que l’hydrogénation de la houille n’a jamais tenu ses promesses ; en effet, si l’Allemagne et le Japon ont pu mener la 2° guerre mondiale avec  cette  technologie,  c’est avec des besoins biens moindres, une plus grande  abondance d’anthracite à l’époque, et que, par rapport aux besoins actuels, le carburant synthétique sera inutile.
    Chose fort bien ressenti en Chine.
    "Les projets de charbon liquéfié consomment beaucoup d’énergie, même si la réussite de l’industrialisation du charbon liquéfié aiderait à réduire la dépendance du pays au pétrole",
    "Le pays doit faire face à une demande énorme en capitaux et à une consommation accrue d’eau et de charbon pour produire le charbon liquéfié, a dit l’officiel en ajoutant que le charbon était une ressource énergétique non renouvelable comme le pétrole." source : Agence de Presse Xinhua.
    La messe semble dite ici, et là se crée un lobby. A l’heure actuelle, seul un petit pays, l’Afrique du sud, riche en charbon, tire une partie d’indépendance énergétique du charbon.

  • Récoltes de céréales 2007 : en expansion MAIS !!!!

    Récoltes de céréales 2007 : en expansion MAIS !!!!

    MaisLes récoltes 2007 de céréales s’annoncent mondialement bonnes, mais avec des situations trés contrastées. L’Inde, la Chine, produsient plus, mais le reste du monde est victime de situation catastrophiques. Catastrophes au Maroc, en Ukraine, en Russie, au Kansas, en Australie. Situations pas vraiment favorables ailleurs. Les bonnes nouvelles se comptent sur une seule main : bonne récolte au Malawi.
    2,095 milliards de tonnes pour les céréales principales (plus 4.8 %) et 1.051 milliards pour les céréales secondaires (plus 7 %).

    Mais, la progression démographique se poursuivant, même à un rythme trés ralenti, l’américanisation des modes de vie ( la viande obligatoire à chaque repas ) et surtout les "bio" carburants (d’autres prennent l’appelation de "nécro"), font flamber les prix des aliments des plus pauvres, et là aussi, comme pour les énergies fossiles, un mécanisme implacable se dessine et se met en place : l’éviction du marché mondial, pays par pays, à commencer par les plus pauvres des plus pauvres. Au risque, ou plutôt, la certitude d’avoir des crises majeures bientôt, et aucun stock pour y faire face.
    Bientôt, aussi, la conjonction des deux crises : énergétiques, avec la rupture des approvisionnements de carburants, fera chuter la production agricole, et créera la crise frumentaire.
    La crise nord coréenne, localisée au départ sera sans doute un trés bon point d’arrivée généralisé : état policier, famine, et pas de voitures dans les rues…

  • Données internationales II

    Données internationales II

    AtomeLa Chine, mise, elle sur l’atome. Déjà pour 2020, 40 centrales (40 millions de de Kw) étaient programmées (au lieu de 10 actuelles et 8 millions de Kw).
    En réalité, ce sont des centaines de centrales qui sont prévues par le NDRC, soit 150 réacteurs, devenus 300 en 2050…
    On voit donc l’ampleur du projet. Malgré sa production importante, la Chine n’est plus autossuffisante en la matière. Si le solde des exports/imports est modeste (- 3 millions de tonnes), c’est le signe que malgré les moyens peu regardants, la production chinoise ne suit plus.

    La consommation de pétrole chinoise en 2020 devrait atteindre, d’aprés les prévisions 550 millions de tonnes (11 millions de baril/jour), en augmenation de 230 millions de tonnes, pour une production pétrolière domestique de 150/185 millions de tonnes, importante, mais sans rapport avec les besoins.
    En réalité, là aussi, le manque de réalisme l’emporte, à moins que les essais chinois dans la recherche nucléaire soient couronnées de succés. Ils sont en la matière, il est vrai extrémement actifs, extrémement imaginatifs, et sans à priori, comme en France.

  • Le mur droit devant

    Le mur droit devant

    Mur52 opérations de transports. Pour un produit de haute tenue technologique comme le ketchup suédois. Voici un scénario de pic pétrolier.
    – pic pétrolier +2 : tous les pays les plus pauvres sont tombés en panne séche dans des endroits souvents inattendus (Moldavie, Bosnie, Jordanie),
    – PP+3 / La pénurie s’étend : Ukraine, Slovaquie, Bulgarie, Pays baltes, Islande.
    Reconstitution de l’empire Soviétique, cessations des exportations russes vers certains pays.
     – PP+4 extension de la pénurie, Tchéquie, Hongrie, roumanie, en Asie aussi : Bangladesh, Pakistan, Singapour, Philippines, Nouvelle-Zélande, chili, pérou,
    – Empire vénézuélien en Amérique du sud et centrale,    

    – PP + 5 : Irlande, portugal, afrique du sud, thaïlande, Israël, out,
    – PP + 6 : Extension de l’empire soviétique : Gréce et finlande, tombe à son tour dans l’escarcelle, mais restent pays de seconde zone
    – PP + 7 : Annexion de Taï wan, exangue, par la Chine, Pologne, Autriche, Suéde, Bénélux et Suisse à terre,
    le transport routier européen a cessé d’exister,
    – PP + 8 : Corée du sud sans pétrole, le pays est avalé par le nord, dislocation de l’Australie en Multiples états,
    – PP + 10: Inde et Italie out,
    – PP + 11 : Chine en panne,
    – PP + 15 : Seuls les grands pays sont encore approvisionnés : USA, GB, FRANCE et ALLEMAGNE, repliés sur eux- mêmes. La population mondiale s’est fortement contractée. L’état de guerre permanente cotoie des dictatures à la soviétique. En effet, l‘état d’impréparation des états au PP est total, les solutions envisagées (nucléaires) sont idiotes.

  • Cours des métaux

    Cours des métaux

    Metaux"Selon Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à l’Université Paris-Dauphine et directeur du rapport Cyclope, il faudra sans doute attendre la prochaine décennie pour que le marché des matières premières retrouve l’équilibre".
    En réalité, le marché des métaux ne retrouvera jamais son équilibre. Quiconque a visité une mine actuelle, une carrière notera que l’équipement est trés étroitement dépendant des énergies fossiles, en général et du pétrole en particulier.

    Moi, la dernière fois que j’ai été à la carrière, ma voiture faisait environ le tiers du pneu du camion de carrière. C’est dire les quantités manipulées grâce aux énergies fossiles. Que la raréfaction du fossile entrainera la contraction inéluctable de la production. Parce que la main d’oeuvre qu’il faudrait pour tirer des quantités équivalentes est colossale. C’est trés simple, il faut compter 1/2 tonne de minerai par employé au pic et à la pioche, et 3 ou 4 tonnes au marteau piqueur. la plupart des mines seront tout bonnement inexploitables. Trop grandes, trop de matiéres à manipuler. Quand aux besoins croissants en pétrole, ils butent simplement sur l’inélasticité de la production. En effet, il est clair qu’elle ne peut plus suivre. De plus, il faut noter que les techniques d’exploitations ont souvent rendus les catastrophes plus ardus. Par exemple, les mines d’uranium, inondées en Australie et au Canada, ces inondations, considérées comme catastrophiques, et qui le sont, sont dues aux tailles des galeries, qui doivent supporter des engins de chantiers colossaux. Une inondation dans ce contexte est trés difficilement maitrisable.
    Toute la chaine sera déstructurée par la pénurie de pétrole…

  • Fin de l’uranium

    Fin de l’uranium

    Fin_uraniumL’heure de la "relance du programme nucléaire" a semble t’il sonné. Mais intoxiqués par leurs propres mensonges, les technostructures, et leurs petits caniches, les hommes politiques, se sentent davantages liés par leurs propres mensonges, que par la réalité.
    En effet, la courbe ci-contre annonce la fin du nucléaire classique. "Et le combat cessa, faute de munitions" On voit un cap difficile à franchir (milieu de la 2°décennie), puis un déclin rapide. Contrairement à ce que dit le graphique, le prix n’aura aucune prise. Le déclin des énergies fossiles, nécessaires à l’exploitation des mines, dévaluera les mines, en renchérissant le coût d’exploitation. La courbe à 130 dollars aujourd’hui n’aura lieu qu’à 500. Si le dollar existe encore…

    Quelle sera la logique économique, quelle devrait elle être ? Laisser mourir de leur belle mort les centrales nucléaires existantes. Une fois arrivée la date, les fermer, en attendant, économiser de plus en plus l’énergie. Prendre son temps, développer, spallation, centrale à déchets, plutonium. Mais non. Nos hommes politiques, la technostructure nous dit simplement "encore un instant, monsieur le bourreau".
    Le Canada, est en train de se reconvertir en émirat. Il lui faudra de l’uranium pour exploiter les schistes bitumineux de l’Alberta. Donc les canadiens vont garder leur uranium pour leurs propres centrales.
    Pendant ce temps là, le délire continue sur l’EPR, et tant en France, et tant en GB, et tant ailleurs… C’est complétement idiot de construire pour des durées qu’on ne pourra honorer.
    En même temps, les relations se dégradent entre Russie et UE. La meilleur manière d’être indépendant pour l’UE est de réduire drastiquement sa consommation. Alors, la compétitivité réelle sera au rendez-vous. Et le poids politique de la Russie, allégé d’autant…

  • Ghawar : déclin confirmé.

    Ghawar : déclin confirmé.

    GhawarLes champs pétroliers d’Arabie Saoudite déclinent. Cette courbe le montre clairement. En bleu le nombre de puits. Jusque là, le nombre de puits dans la péninsule arabique était trés mesuré. Quelques centaines, à comparer à la boulimie de forage US (500 000), qui n’a pas empêché pourtant la production de décliner de moitié depuis 1971. On voit que les 3 courbes représentant la production piquent du nez. C’est trop peu, ou c’est trop. En effet, souvent l’Arabie a

    joué un rôle de régulateur, mais les pics, et les creux étaient beaucoup plus accusés que cela. Et déjà, on voit depuis 2005, un accroissement vertigineux des forages… Pour une simple stabilisation…Ghawar a fourni depuis 1948 pas loin de 5 000 000 de barils/jour. Il est normal que cela finisse un jour.Simple question de bon sens. Les autres petits gisements (40 % de la production) augmentent encore leur production, mais cela restera de toute façon insuffisant. Les saoudiens prouvent d’ailleurs qu’ils pensent à l’aprés pétrole ; ils produisent de plus en plus de gaz… Objet de leur mépris pendant des décennies. Nuisance à brûler dans des torchéres, sans regrets.

    D’ailleurs, le refus obstiné d’augmenter la production de la part de l’opep en général, de l’Arabie saoudite en particulier, devient criant. L’obstination des demandeurs à le demander, devient plus pathologique que réel. Le déni de réalité se fait sentir, le trouble obsessionel compulsif n’est pas loin "Ouin, je veux du pétrole", tel l’enfant à qui on ne résoud pas son caprice…

  • La foi du charbonnier

    La foi du charbonnier

    TransmutationGravure : de la transmutation des métaux.

    Article intéressant sur un grand quotidien national. On y apprend quelques vérités (édulcorés) que l’on peut connaitre depuis fort longtemps, sur quelques sites, ça et là. Une vérité même pas cachée, mais, dans l’oubliette, dés que sortie. A croire que certains se contente de la déclaration officielle, sans même prendre les données disponibles, voir simplement si celle-ci corrobore le discours ou l’infirme…
    En gros, il faut réapprendre à certains que  2 + 2  = 4.
    -"Les réserves prouvées ou probables sont, selon la plupart des sources, d’environ 4,7 millions de tonnes, soit soixante-dix ans de combustible disponible au rythme de consommation actuelle (67 000 tonnes d’uranium naturel en 2006)" . Méli, mélo  entre prouvées et probables. ça ne veut rien dire. Il est prouvé qu’il y a énormément d’U dans la mer. Mais on se sait pas le récupérer. Deuxième problème,  on ne produit pas 67 000 tonnes par an, mais 40 000, et sans doute moins cette année. Le problème du pic de Hubbert, pour toutes les énergies, n’est pas les réserves, mais le débit auquel on peut le sortir, et si économiquement parlant, on peut le sortir, et aussi si énergiquement parlant, on peut le sortir. Un gisement de pétrole en fin de vie en recéle toujours. Mais son pompage coûte plus d’énergie qu’il n’en rapporte. Le gisement est alors "mort".

    Manque de culture économique et industrielle des journalistes. En effet, quand on voyait des statistiques économiques dans les années 60-70, c’était du solide, des tonnes, de quelque chose, maintenant c’est du bla-bla. Plus idéologique qu’économique d’ailleurs.
    – "Les experts y ajoutent environ 15 millions de tonnes possibles, ce qui porte les réserves à plus de deux siècles". On vient d’inventer une nouvelle réserve, le "possible", appelé par les "experts". Le mensonge s’élargit. En effet, comme la manipulation des stocks en terre, déjà considérable ne suffit plus, on invente le "possible", sans que celui qui répéte l’ânerie, ne s’en offusque.
    Mais comme on en est pas à une bétise prés, on en rajoute :
    -" En 2006, 40 % du combustible des centrales ne sortaient pas du sous-sol mais des réserves accumulées par les groupes d’électricité, des stocks militaires et du retraitement." Consolation, pour 2007, ce sera encore plus, on parle de 60 %. On ne voit même pas que ce chiffre contredit tout le reste. On vit sur les stocks. Mais on en a pour 250 ans ? Etonnant ! Pourquoi pas pour mille, ou plus. En effet, si on n’exploite pas le stock, il est encore plus gros.
    -"Avec une demande actuelle en progression de 0,5 % à 1 % par an, la situation est sous contrôle. Mais l’épuisement des stocks excédentaires des électriciens et de la Russie va nécessiter une augmentation de la production primaire". Il faut faire une explication de texte. Même sans augmentation de la demande, le clash est inévitable sans augmentation de la production. Le stock n’est pas éternel. Il y a même 20 ans qu’on y tape dedans…

    On devrait apprendre à certains, le sens critique, le métier de journaliste n’étant pas de colporter avec la foi du charbonnier, les données et les explications qu’on veut bien lui fournir. IL FAUT VERIFIER.

  • Filière plutonium : l’aveu II

    Filière plutonium : l’aveu II

    Neutrons_rapides_2 La France concentre donc ses recherches sur un réacteur à neutron rapide, refroidi au sodium. Un prototype pourrait être opérationnel dés 2020. Dans un cadre européen est étudié un réacteur refroidi à l’hélium.
    Il aura donc fallu plus de 20 ans pour reconnaitre les erreurs et gabegies de superphénix et tout reprendre, non pas à zéro, mais à une échelle vraisemblable.
    En effet, le premier réacteur en France faisait 50 MW, le second 280. 

    Dans la filière classique, on est monté progressivement en gamme. Là, on est passé directement à 1200 MW. De quoi se prendre les pieds dix fois dans le tapis, ce qui fut fait, et on masqua l’échec technique par de la suffisance et de l’arrogance.
    Il faut donc espérer que le Mea-culpa d’Areva sera effectif. Qu’on prendra désormais son temps pour étudier tous les problèmes, et notamment ceux posé par le sodium (utilisé à phénix et superphénix) qui prenait feu. Et que l’on en profitera pas pour promouvoir le gaspillage énergétique, encore une fois.
    En effet, plus l’effort d’économie sera maximal, plus l’effort de construction de centrales sera minimal. En effet, si l’on commence par réduire considérablement la consommation d’énergie, des centrales sinon de 300 MW (celles qu’on sait faire actuellement), du moins de 600, suffiraient (ce qui ne serait pas un  trés gros effort de recherche, et celle pour lequelle on dispose de bases de comparaisons vraisemblables), réduisant l’effort de recherche et le coût.