Alors que les saoudiens viennent de le dire officiellement, le pic oil est derrière nous, certains organismes "officiels" comme l’ Agence international de l’ énergie parlait encore il y a peu de pousser jusqu’à 130 millions de barils/ jours de consommation.
On voit donc la stupidité des gouvernants et de leurs faux nez, les organismes officiels, qui ne représentent que leur désirs, leurs souhaits et leurs envies.
Le pic oil est là. Bientôt on aura, plus vite que l’on ne croit un pic du gaz. Le pic du gaz est déjà arrivé dans le tiers des pays du monde.
Certains espèrent rusé. L’uranium est leur espoir. Pourtant le pic de l’uranium a eu lieu il y a 20 ans. Quid de leurs facultés intellectuelles ? La production d’uranium n’augmente pas, et là aussi, on prend visiblement des désirs, pour des réalités.
Le pic du charbon ? 2020 au plus, en sachant pertinemment que le charbon qu’on va extraire de plus en plus difficilement est une argutie. Le pic de l’anthracite a eu lieu il y a longtemps.
Alors ? Le pic des ressources minières est largement entamé aussi, le pic des ressources en céréales, et son corollaire, le pic de la population, alors que les organismes officiels nient aussi, là aussi la réalité.
Une année, le recensement dans trois pays, Iran, Afrique du sud, Nigéria, avait faussé la population mondiale de 40 millions d’habitants.
Les organismes officiels internationaux, là aussi avait "réévalué" la population d’autres pays pour compenser la baisse. Ou certains indices.
Par exemple le gouvernement indien soutient que la fécondité par femme est tombé à deux dans le sous continent. Ce qui n’empêche pas les données ONU de le faire ressortir à 3.1…
Pourquoi ? la négation de la vérité est l’incapacité de sortir d’un discours convenu, de changer un univers mental.
Pas plus que les arbres ne montent jusqu’au ciel, la production alimentaire n’est extensible à l’infini, ni la production de pétrole, ni les productions minières, ni même la population.
Mais ici et là, on commence à entendre des voix, qui commencent à poser des questions jamais bien sûr médiatiquement débattues.
Pourtant la question cruciale est la suivante. Sans énergie fossile, ou avec beaucoup moins, peut on nourrir plusieurs milliards de personnes ?