Catégorie : Réchauffement Climatique

  • L’hubris climatique menace-t-il nos dirigeants?

    La Grèce puis la Rome antiques punissaient celui qui, les mollets trop gonflés, se croyait, de par ses qualités exceptionnelles, au-dessus du Groupe. Bien de violents décès de dictateurs, en herbes ou avérés, sont imputables à la répression populaire (ou non) de ce sentiment aristocratique qui menaçait les Dieux et donc le juste équilibre de l’ensemble politique.

    La propagande occidentale du moment nous apprend qu’il suffirait que l’Homme réduise ses rejets de CO2 pour qu’il maîtrise le Climat du monde.   N’y-a-t-il pas là trace d’un symptôme de folie délirante, imputable aux idéologies du moment?  Un hubris climatique de certains de nos dirigeants occidentaux qui terrorise bien des industriels qui peu à peu rejoignent la croisade du moment et réclament « spontanément » de nouvelles taxes sur les rejets de carbone et espèrent développer leur business dans les compteurs électriques, les produits d’isolement thermique ou le gaz naturel. Comportement de collaboration, bien connu.

    L’échafaud médiatique est en action. Malheur à celui qui se met en travers et exprime ses doutes sur l’amplitude de la possible relation bi-univoque entre rejets carboniques et accroissement des températures du globe. Certain présentateur de météo de notre pays a déjà payé cher son outrecuidance.

    Cependant, certains blogs anglo-saxons défendent encore la liberté d’expression sur ces sujets climatiques bien qu’ils soient régulièrement menacés de punitions pénales ou de répressions applicables aux groupes mafieux. L’inquisition est en marche, Maccarthysme climatique du moment.

    Pour vous désintoxiquer, je vous recommande « chaudement » la lecture:

    -du blog de Bob Tisdale et de celle de son pavé  » On global warming and the illusion of control », bien sûr dans ce titre c’est l’illusion du contrôle ou de la maîtrise climatique qui est importante

    – du blog de Judith Curry, scientifique issue de la mouvance climatique et outrée par tous les excès et autres bobards de certains de ses collègues

    – du blog de Jo Nova et de David Evans qui, par une nouvelle modélisation, estiment  pour 2100 un réchauffement en un siècle de quelques dixièmes de degrés celsius, au-lieu des 3,5°C annoncés par les Croisés qui nous dirigent (FIG.).

     

    Personne ne récuse que le Climat sur terre ait changé depuis 1914, d’environ un degré Celsius, mais nombreux s’insurgent contre la possibilité d’un emballement, issu des simulations et qu’aucune récente mesure réelle de température ne met en évidence. Je ne vois pas pourquoi ces points-de-vue minoritaires, respectables, argumentés, et conformes aux mesures du moment devraient être méprisés et combattus par quelque loi ou règlement.

    Par contre l’hubris climatique du moment, proclamant la possible maîtrise de l’Homme sur le Climat relève, à mon avis, de la plus haute fantaisie. Autant prêcher de vendre son âme au Diable, ce serait la même chose.

    Le 10 Novembre 2015

  • Lisez la présentation de Patrick Moore

    Il faut absolument lire cette présentation du docteur Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace, mouvement qui s’est opposé au départ, et avec succès, aux essais nucléaires dans le monde puis à la chasse à la baleine.

    J’en ai retenu quelques idées maitresses:

    – La relation qui établit une influence dominante des émissions humaines sur le climat n’est, à ce jour,  qu’une hypothèse plutôt qu’une théorie scientifique unanimement acceptée.

    – Il est par contre une certitude: le CO2 est la brique de base de la construction de la vie sur Terre. Sans la présence de CO2 dans l’atmosphère,  à  concentration suffisante, la Terre serait une planète morte.

    – Au sein de l’organisation Greenpeace la partie « peace » a perdu peu à peu de son importance et l’Homme est alors devenu l’ennemi de la Nature, alors, selon Moore, qu’il en est une part.

    -Moore cite une querelle interne à son organisation,  sur le Chlore que certains voulaient bannir (quelle drôle d’idée farfelue) alors que pour ce dernier, le Chlore est un puissant désinfectant utile à l’humanité.

    -Il condamne le cas de l’opposition scandaleuse de Greenpeace au goldenrice, riz génétiquement modifié, capable de synthétiser de la Vitamine A, et dont la mise en culture aurait évité bien des carences et donc des décès.

    – La NASA raconte des fables sur Mars ou sur le réchauffement climatique pour obtenir des subventions publiques. L’argent est Roi.

    -De  même le GIEC (IPCC) est tenu, dans ses synthèses,  à noircir le tableau pour assurer sa survie.  Il est virtuellement mandaté pour  explorer les marges de l’apocalypse.

    -L’histoire géologique des 50 000 dernières années montre que la croissance de la teneur en CO2 dans l’atmosphère suit,( par dégazage des océans), la montée des températures.

    -Les conclusions des travaux de simulation reposent sur une hypothèse de rétroaction positive de la vapeur d’eau qui amplifierait l’effet du CO2, alors que certains scientifiques imaginent un feedback négatif de la vapeur d’eau (en raison essentiellement de l’albédo des nuages et du rayonnement de la molécule d’eau dans l’espace).

    -Les émissions cumulées anthropiques de CO2 (estimées à ce jour à 200 milliards de tonnes par Moore) ont évité à  la planète une pénurie en carbone. Il y a là un rôle éminent de l’Homme dans la survie de la nature.

    LIRE la présentation de Patrick Moore cela devrait éviter à nos « savants » hexagonaux de prétendre que toutes oppositions aux synthèses du GIEC  ont maintenant disparu, prémices pour certains, d’une soi-disant mort du capitalisme (encore!). On attend avec impatience  une théorie économique de l’écologisme qui nous expliquera que les subventions et la sobriété sont la clé de la rentabilité et nous permettront d’éviter le chaos annoncé.  » Des lendemains qui chantent », en quelque sorte.

     

  • Plaidoyer pour le gaz carbonique

    Après toutes les médisances proférées contre le CO2, chat noir des gaz atmosphériques du Moyen-Age climatique en vogue du moment, certains tentent de réhabiliter ce pauvre dioxyde de carbone qui nourrit de son mieux  la végétation et le phytoplancton. Il semblerait qu’il faille lui créditer, pour une part, la progression de la vigoureuse croissance actuelle de la végétation et des cultures sur terre. Allié du paysan qui investit et qui innove, ce ne serait pas, finalement, le monstre climatique que certains voudraient décrire.

    Pata-science de la simulation qui convainc les plus mystiques et dont les prévisions semblent être aussi fiables et crédibles que celles d’un Nostradamus.

    LIRE, pour ne pas rester benêt, le remarquable plaidoyer de Indur Goklany

    LIRE aussi le résumé sur l’excellent site de  Jo Nova

  • GEOMAR – Relation entre climat et activité solaire

    GEOMAR – Relation entre climat et activité solaire

    De nombreux scientifiques, en désaccord avec la conviction majoritaire du moment qui promeut le rôle majeur   des émissions de CO2 sur le climat, défendent que l’activité solaire jouerait elle aussi, un rôle important sur les fluctuations climatiques observées.

    Le GEOMAR, Helmoltz Centre For Ocean Research de Kiel, vient de conforter ce courant de pensée en établissant une relation entre activité solaire et l’index de la North Atlantic Oscillation (NAO) défini par le ratio des pressions aux Açores sur celles mesurées en Islande. C’est un des paramètres majeurs qui orientent le climat dans l’ hémisphère nord.  Nous connaissons bien en France le rôle majeur que joue l’anticyclone des Açores sur le climat de notre pays.

    Il apparait de plus en plus que l’activité solaire va devoir être fondamentalement intégrée dans les travaux de simulation à long terme du climat mondial, ceci pourrait modifier certaines prévisions  en vogue d’évolution parabolique des températures et introduire une composante oscillatoire. Rappelons que cette composante a déjà été mise en évidence, de manière empirique, par le remarquable physicien Scafetta qui ne fait pas partie du gratin des climatologues  et dont les travaux sont de ce fait ignorés par la plupart des membres du club.

    LIRE le communiqué du GEOMAR

     

  • Le degré Celsius par siècle semble être la bonne unité pour parler du réchauffement observé

    Le degré Celsius par siècle semble être la bonne unité pour parler du réchauffement observé

    A partir des données existantes d’anomalies de températures globales mesurées par diverses équipes et diverses méthodes , Sheldon Walker a eu la bonne idée de représenter au cours du temps les variations observées dans une unité compréhensible par une majorité de citoyens qu’est le degré Celsius par siècle (FIG.).

    On peut alors constater que la vitesse de réchauffement de la planète varie au cours du temps. Il semblerait que sur les dernières décennies un réchauffement moyen d’un degré Celsius par siècle soit un approximation acceptable.

    Le rôle tampon des océans, les teneurs croissantes en CO2 de l’atmosphère, les émissions  anthropiques décroissantes de SO2, le volcanisme, l’activité solaire et l’impact de son rayonnement, l’urbanisation croissante, la couverture nuageuse constituent de multiples variables interagissant de façon directe ou indirecte sur les mesures de ces phénomènes.

    Il est évident que la croissance continue de la teneur en CO2 dans l’azur n’est pas l’unique paramètre à retenir pour rendre compte de ces phénomènes variables dans le temps.

    CONSULTER le papier de Sheldon Walker sur le sujet

    Le 29 Août 2015

    Remarque: on retrouve clairement ce degré par siècle, depuis 1910,  dans les publications du très orthodoxe NOAA américain. Si vous détectez dans ce graphique une amorce de variation à hauteur des 4°C par siècle annoncés, faites-moi signe!

  • Le climat mondial évolue-t-il comme chacun le souhaite?

    Le climat mondial évolue-t-il comme chacun le souhaite?

    En Europe, le mouvement de « carbophobie » chronique, orchestré par une puissante propagande des Dirigeants politiques et des média, semble avoir atteint une large fraction de la Population.

    – Un phénomène naturel d’une grande complexité comme le climat ne peut pas raisonnablement  être ramené à une seule variable.

    Qu’importe!          Au Diable la complexité!

      Il est maintenant admis de tous, ou presque, surtout parmi les esprits les plus jeunes, les plus sensibles aux idéologies lancinantes et répétitives, que les émissions de CO2 reliées aux activités humaines et elles-seules, prioritairement, agissent sur le Climat global de la Planète.

    Peut-être? Probablement? C’est ce qui se dit.

    Et pourtant les chiffres sont ténus et les débats Outre-Atlantique entre les « warmistes » plutôt proches du Pouvoir en place et les « déniistes » plutôt Républicains battent leur plein, chacun des deux camps choisissant parmi les subtiles observations de températures les données qui avantagent sa croyance.

    Une chose est certaine, les effets du CO2 sur le climat, s’ils sont avérés, ne conduiront pas, de si tôt, aux catastrophes annoncées par les simulations en vogues. J’ai choisi pour illustrer mon propos une représentation synthétique, réalisée par l’excellent  Bob Tisdale,  des observations des subtiles anomalies de températures relevées dans le monde et qui font tant débats, malgré leurs fractions de degrés Celsius.

    Je n’ai pas la compétence nécessaire dans le domaine pour prendre radicalement  parti entre les deux écoles, mais je voudrais vous rappeler combien ont été mineures les variations de CO2 dans l’Atmosphère au cours de la décennie écoulée (FIG.II).

    Entre 2004 et 2014 la masse totale de CO2 dans l’atmosphère terrestre est passée de 2935 milliards de tonnes à 3100 milliards de tonnes, soit un accroissement de 6,5%. Compte tenu de l’effet de saturation, effet d’écran du grand nombre d’atomes en premières lignes,  qui veut que la variation de l’effet de serre, provoquée par une quantité de CO2 donnée introduite dans l’air, décroisse avec la concentration de ce gaz.(FIG.III)

    FIG. III L’absorption IR d’un mélange d’air et de CO2 ne varie pas linéairement avec la teneur en CO2: c’est l’effet de saturation:

    Entre 2004 et 2014 le Ln de la quantité de CO2 présente dans l’atmosphère n’a varié que de 0,7%.

    Que le CO2 participe à l’effet de serre global de la Planète semble avéré, les observations des teneurs en CO2 de l’air durant les temps  géologiques, dans l’air piégé des glaces de l’antarctique montrent que ces variations semblent être corrélées au climat. Mais la teneur en CO2 dans ces époques  préhistoriques, d’il y a quelques centaines de milliers d’années, variait entre  150 et 250 ppmv, valeurs près de deux fois inférieures à celles d’aujourd’hui. L’effet de saturation était alors beaucoup plus faible et donc l’apport du CO2 sur le climat était plus efficient.

    Ces données expérimentales des anomalies globales de températures montrent l’effet ténu des variations de gaz à effets de serre sur le climat. Ces très faibles variations permettent à chacun, en choisissant ses données, par origine ou par dates, d’étayer ses thèses climatiques.

    Ce qui me semble essentiel, c’est de comprendre que ce sont les variations du logarithme (Ln) des concentrations des gaz à effet de serre qui sont pertinentes. Ceci pourrait expliquer la faiblesse des amplitudes des variations d’anomalies de températures observées, semblerait-il bien inférieures à celles prédites par les modèles de simulation. Dans cette hypothèse le climat global de la planète devrait s’avérer être peu sensible aux lentes progressions  à venir de CO2 dans l’atmosphère. A suivre donc!

    Le 18 Juin 2015

     

     

  • Histoire de l’estimation de l’âge de la Terre et réchauffement climatique

    Je vous recommande la lecture du papier de David Deming sur la précision des sciences non totalement maîtrisées, à l’exemple de l’histoire au cours des siècles de  l’estimation de l’âge de la Terre. Si ce n’est pas déjà le cas, cette lecture devrait faire naître en vous quelques doutes sur les certitudes climatiques en vogue.

    Une certitude cependant: le changement radical d’aire énergétique en cours d’élaboration par certains, nous conduirait tous dans la misère. Les idéologies finissent en catastrophes humaines, c’est la leçon du siècle précédent, et elles sont d’autant plus dévastatrices que les hommes convaincus sont intelligents et technologues.

    Abandonner la combustion de lignite et de charbon, moi je veux-bien. Mais que vont alors devenir nos amis Allemands et Chinois dans l’aventure?

    LIRE l’histoire racontée par David Deming

    VOIR la traduction recommandée par Papijo

    Le 7 Juin 2015

  • Un constat: le climat constitue un ensemble naturellement stable

    Il faut lire les papiers de Willis Eschenbach un des plus fins observateurs actuels des mécanismes qui gèrent le climat de notre planète. Vous y découvrirez la pertinence des simples phénomènes de régulation décrits en l’absence des théories carboniques en vogue du moment.

    C’est un vrai moment de plaisir intellectuel.

    Le 4 Juin 2015

  • Croire à une alternative énergétique simple ou l’imposture de la « transition » annoncée

    Croire à une alternative énergétique simple ou l’imposture de la « transition » annoncée

    Il est possible de récupérer de l’énergie de bien des sources. Du vent, du soleil, des vagues, des marées, des courants marins, des rivières au fil de l’eau, de la fonte des neiges, mais aujourd’hui bien peu de ces ressources naturelles conduisent à des solutions financièrement compétitives parce que trop dispersées, parce qu’intermittentes ou aléatoires, parce qu’inexistantes en pays plats ou peu ensoleillés. C’est la raison pour laquelle nous vivons dans une civilisation de combustion de ressources fossiles, abondantes et peu onéreuses et marginalement de la fission de l’atome. Tel est l’état des lieux, très simplement.

    Alors certains adeptes des lendemains qui chantent, voudraient nous convaincre de vivre en accéléré un changement de civilisation énergétique. Pourquoi pas! me direz-vous. C’est une bonne idée!

    Pour vous montrer la viscosité de cette pompeuse « Transition » je voudrais mettre en image les résultats de génération d’électricité sur une décennie d’un pays leader dans le domaine: l’Allemagne. C’est un exemple de volonté farouche d’un pays innovant, encore riche et qui veut à la fois se désengager du nucléaire et si possible de la combustion des ressources fossiles tout en restant exportateur net d’énergie électrique au centre d’une Europe interconnectée. Vastes ambitions.

    Pour cela j’ai relevé les générations annuelles d’énergie électrique publiées par le très écologique Fraunhofer. (FIG.) et j’ai distingué les générations d’électricité « à flamme » (lignite, charbon, gaz naturel, biomasse) de celles à « NON flamme » (nucléaire, éolien, solaire, hydroélectricité).

    Il ressort de ces données, sur plus d’une décennie une génération annuelle  allemande stable autour des 500 TWh. Les centrales à flamme générant autour des 300 TWh  (323 TWh à fin Mai 2015 sur les 12 derniers mois représentant 61% des 529 TWh générées au total). A ces productions des centrales à flamme il faut ajouter les 200 TWh des centrales à NON flammes qui résultent, de façon très stable, des générations nucléaires, éoliennes, solaires et hydroélectriques.

    Il est possible de constater que sur la décennie écoulée, la politique électrique allemande et ses énormes investissements  se résument à un remplacement strict d’une part (40%) de la ressource nucléaire par des générations éoliennes et solaires. Les centrales à flamme assurant les fluctuations annuelles de demande et plus de 60%  des  générations.

    Parmi ces générations, la combustion de la biomasse avec 50 TWh représentait  sur 12 mois à fin Mai 2015 dans les 15% de la génération des centrales à flammes.

    Ces données vous montrent combien il est ardu de s’affranchir des générations traditionnelles d’électricité bien que l’Allemagne de l’électricité jouisse des possibilités d’interconnexion avec ses voisins dont certains sont de grands producteurs d’énergie nucléaire de base et d’autres producteurs de puissance hydroélectrique de pointe.

    Il n’existe pas aujourd’hui en Europe de solution alternative, économiquement acceptable, de génération électrique qui puisse s’affranchir de la ressource nucléaire ou de la combustion de ressources fossiles, même dans un ensemble largement interconnecté. Détail qui semble parfois oublié par certains et dont les conséquences sont un appauvrissement de l’Europe.

    VOIR les données annuelles du Faunhofer.

    Le 2 JUIN 2015

     

     

     

     

  • Des pluies acides au réchauffement

    Des pluies acides au réchauffement

    Tout cela ne semble être une forte question de mode. Il y a quelques décennies de cela que la Forêt Noire allait soi-disant disparaître sous l’impact des pluies acides allemandes. Alors les grands acteurs de la pétrochimie  ont été contraints de réduire les teneurs en soufre de leurs produits raffinés…pour sauver la planète.

    Mais voilà, certains attribuent à cette réduction des émissions anthropiques de SO2 une des causes, sinon la cause, du réchauffement observé.

    Cette hypothèse, toute aussi farfelue que celle du rôle du seul CO2 sur le climat présente cependant un mérite: elle introduit de la complexité dans les équations simplistes du moment qui sont censées expliquer les variations des anomalies moyennes de températures (FIG.) publiées par les diverses institutions officielles (Met Office, NOAA, NASA Goddard) et qui, de toute évidence, ne suivent plus la croissance de la teneur de CO2 dans l’atmosphère.

    LIRE le papier de Henry Buel sur le rôle présumé des émissions anthropiques de SO2 sur le climat.