Catégorie : Amis du jardin

  • Que de taupinières!

    Que de taupinières!

    Taupinires Il y a des endroits comme ça où elles aiment bien s’installer et vous vous rendrez trés vite compte de leur présence car des tas de terre vont voir le jour, espacés un peu les uns des autres comme si la taupe suivait un itinéraire. Et en fait c’est à peu prés ce qu’il se passe, elle creuse de nombreuses galeries souterraines tout autour de ce qu’on appelle "la chambre" et elle arpente ces passages en quête de nourriture.

    Vers de terre, larves diverses lui servent de repas mais ce n’est pas un animal nuisible, la taupe est même une espèce protégée dans certains pays. 
    Par contre, c’est vrai, côté esthétique tous ces tas de terre, ça laisse à désirer!

    Celles que j’ai prises en photos en février étaient prés d’un potager, elles m’ont surprise par la rapidité de leur arrivée : pas là la veille et bien présentes le lendemain! C’est que les taupes bougent dans leurs galeries souterraines et aiment bien s’installer dans les terres fertiles et notamment dans les pelouses bien vertes.

    La terre ainsi évacuée par les taupes au moyen de leurs pattes, est celle qui provient des galeries qu’elles creusent. Vous pouvez profiter de cette terre bien aérée et en mettre dans vos potées mais si vous ne voulez pas vous lancer dans ce travail, au moins arasez ces petites buttes, cela sera plus facile pour passer la tondeuse.

    Je ne vous recommande pas les pièges plutôt barbares, essayez les plantes qui les font fuir, c’est moins dramatique. Parmi ces végétaux répulsifs  il y a : l’euphorbia lathyris, l’incarvillée, la fritillaire impériale, la jacinthe, le ricin, l’ail… Les taupes ne supportent pas ces odeurs, elles partent vers des lieux plus attrayants!

    Sinon comme ce sont indiscutablement des animaux bénéfiques pour la terre qu’ils contribuent ainsi à aérer, vous pouvez vous contenter d’étaler les taupinières nouvellement formées…

  • Quel type de bassin pour le jardin?

    Quel type de bassin pour le jardin?

    Bassin2 Créer un bassin au jardin, c’est créer un endroit attractif où l’on à plaisir à rester un moment pour y admirer la flore mais aussi la faune qui s’y est installée. Lieu de vie pour de nombreuses espèces animales, vous verrez votre bassin s’animer dés les beaux jours: les oiseaux viennent y boire et s’y baigner, les grenouilles s’y installent sans y être invitées, elles y pondent la première année et la progéniture reste là. En été le ballet incessant des libellules qui dansent au dessus des herbes pour s’y accoupler est un spectacle à lui tout seul, et puis bien sûr il y a les poissons que vous avez sans doute lachés et qui se reproduiront si les conditions de vie s’y prêtent…

    Petit ou grand, le bassin doit correspondre au style du jardin, une petite marre naturelle bordée de végétaux et de pierres brutes est tout à fait dans l’esprit d’un jardin naturel, un bassin hors sol carrelé ou en briques  trouvera sa place dans un patio ou une cour, tout est affaire de goût.
    Le lieu d’implantation choisi, reste à savoir comment le réaliser. Le procédé le plus simple est certainement l’installation d’une coque préfabriquée, elle doit cependant être posée sur un terrain bien préparé et être bien stabilisée, son gros inconvénient réside dans son prix élevé.
    La construction d’un bassin hors sol est de l’ordre des gros travaux, ce type de bassin doit être réalisé en maçonnerie et exige des précautions pour que l’étanchéité soit bonne.
    Enfin, gardons pour la fin le système de la bâche, c’est celui que j’ai adopté pour la création de mon bassin il y a de nombreuses années et je m’en réjouis. Le plan de la marre étant fait et visualisé au sol au moyen d’un tuyau d’arrosage, il faut ensuite creuser en faisant des dénivellations: plus profond au milieu, à fleur de sol sur les bords. La bâche est cachée par des pierres récupérées dans le jardin et la végétation finit par jouer son rôle au fil du temps.
    A suivre…

  • Plante utile : la phacelie à feuilles de tanaisie

    Plante utile : la phacelie à feuilles de tanaisie

    Phaclie Il y a les plantes qui se contentent d’être belles, celles qui allient beauté et senteur, celles qui sont simplement utiles et puis celles qui ont reçu tous les dons. La phacélie est une plante intéressante à plus d’un titre et elle est trés appréciée en agriculture où elle constitue un engrais vert à ne pas négliger.

    Annuelle herbacée originaire de Californie, la phacélie a une croissance rapide et sa culture ne pose pas de problème. En été la plante se couvre de jolies fleurs odorantes d’une belle teinte bleue qui attirent de nombreux insectes, c’est un de ses attraits.

    Les semis peuvent se faire au printemps ou en été, la germination est rapide. La nature du sol importe peu à cette plante qui demande juste un peu d’humidité au démarrage pour pouvoir pousser correctement. Ces phacélies n’aiment pas être repiquées, semez-les à la volée et passez un coup de râteau pour les enfouir légèrement ce sera suffisant.

    Soleil, mi-ombre, voilà deux expositions qui leur vont bien mais il faut leur éviter les endroits ombragés qui ne leur conviennent pas.

    En été les fleurs parfumées attirent les abeilles qui viennent y butiner mais aussi d’autres insectes dont les larves se nourrissent de pucerons, l’utilité de cette plante dans ce domaine n’est pas à démontrer.
    La phacélie est précieuse au jardinier car c’est aussi un excellent engrais vert. Avant la montée en graines, il faut couper les plantes à ras du sol et puis les enfouir pour qu’elles enrichissent la terre.

    Tant de qualités! Pourquoi se priver d’une telle plante?

  • Des haies bien accueillantes

    Des haies bien accueillantes

    Laurier_tin Vous en avez assez de tous ces insectes nuisibles qui colonisent vos plantes et vous voulez trouver une solution naturelle à ce problème? Adoptez les haies fournies mêlant les espèces, choisissez des végétaux de taille différente pour que tous les prédateurs de nuisibles puissent y trouver leur compte.

    Certains arbustes abritent une faune riche qui se nourrit des petites bestioles que vous jugez indésirables au jardin, il s’agit de donner à cette faune utile, la végétation dont elle a besoin pour avoir un abri sûr et où elle trouve aussi de quoi agrémenter ses repas.

    Oiseaux, petits mammifères, insectes comme les chysopes, les araignées, les punaises, ou les coccinelles que l’on peut même acheter sous forme de larves pour les lacher au jardin, feront un véritable nettoyage au  en mangeant notammant bon nombre de pucerons.
    Quel type de végétaux planter pour attirer ces gros mangeurs? Ils sont nombreux à pouvoir jouer ce rôle d’hôte, citons le lierre, la viorne  obier, le laurier-tin, le sureau, le prunus, les berberis, les prunus, les millepertuis arbustifs…

    Ces arbustes décoratifs et touffus qui hébergent les insectes auxiliaires, ceux qui nous aident au jardin,  sont aussi des abris et des garde-manger pour les oiseaux qui viennent y nicher et se nourrissent de vers et d’insectes nuisibles. Plantez-les et vous serez étonnés de voir combien tous ces "amis du jardinier"peuvent nous rendre service.

    En contre partie, évitez les produits chimiques qui auront pour effet d’éliminer les insectes quels qu’ils soient, les bons comme les mauvais.

  • Le merle, un familier des jardins

    Le merle, un familier des jardins

    Merle Ce jour là, je coupais le parc par une allée et d’un coup, je l’ai vu surgir devant moi, sautillant et regardant à droite et à gauche, il n’avait pas l’air bien peureux, sans doute habitué à voir du monde, j’ai pu le prendre en photo sans le déranger et il a continué à chercher sa nourriture dans le sol sans se soucier de moi.

    il était drôle avec son plumage tout noir, son bec jaune et son oeil vif cerclé d’un beau jaune-orangé. De temps en temps il tournait la tête vers le haut, scrutant les alentours puis continuait ses recherches.
    Le merle est un ami du jardin, il ne faut pas le chasser.

    Cet oiseau de la même famille que les grives est un familier qui vit prés des hommes car il trouve dans nos parcs et nos jardins tout ce dont il a besoin pour vivre. Laissez-le tranquille, c’est vrai qu’il chaparde quelques fruits au verger mais en compensation il se rend utile en vous débarrassant de beaucoup d’insectes et de petits animaux nuisibles à nos plantes.
    Il se nourrit de baies, mais surtout de vers, d’araignées, de chenilles, de petits escargots et autres petites bêtes qui s’en prennent à nos plantes. 
    Regardez-le faire, il est amusant, gratte la terre et les feuilles pour trouver sa pitance, se repliant à l’abri d’un fourré dés qu’il se sent menacé.
    A l’arrivée du printemps, c’est lui qui chante si bien nous réveillant de son chant flûté et mélodieux, sa présence est appréciée des amoureux de la nature.

  • Une dévoreuse: la mante religieuse

    Une dévoreuse: la mante religieuse

    Une_mante_religieuse Les mantes religieuses sont nombreuses au jardin en ce moment et j’en retrouve même dans la maison à mon grand regret car je crains un peu ces petites bêtes. Inoffensives certes mais leur allure m’impressionne.
    Abdomen allongé et longues pattes avant, la femelle fait  6 bons centimètres mais le mâle est plus petit.

    C’est la position de ses pattes qui lui a valu son nom de mante religieuse car quand elle guette sa proie, elle les rabat ce qui donne l’impression qu’elle est en prière. Cet insecte au corps volumineux a une toute petite tête très mobile et de gros yeux, pas étonnant que la mante soit une grande chasseuse. Brunes, beige ou vertes elles prennent des tenues de camouflage pour ne pas se faire repérer.

    Chaleur et soleil lui conviennent bien, elle est très présente mais a depuis longtemps élargi son territoire et finalement on la retrouve un peu partout quand les étés sont ensoleillés.

      La mante religieuse mange de nombreux insectes et pour cela est la bienvenue au jardin. Criquets, papillons, araignées, mouches, sauterelles… difficile de lui échapper tellement sa rapidité à l’attaque est importante. Elle lorgne ses proies en tournant sa tête triangulaire, les repère et lance à toute allure ses pattes antérieurs pour emprisonner sa victime qu’elle décapite et dévore. 
    Dotée d’un énorme appétit cet insecte avale de grandes quantités de nourriture tout au long de l’été. L’automne venu, la femelle pond ses oeufs. Les adultes ayant assuré leur descendance meurent en hiver et la  nouvelle génération voit le jour au début de l’été suivant.

    Quelle mauvaise réputation elle a! On l’accuse de tuer et de manger le mâle lors de l’accouplement et malheureusement pour lui c’est le sort qui lui est le plus souvent réservé.

  • Chenille, chrysalide et papillon

    Chenille, chrysalide et papillon

    Acherontia_2 L’automne dernier, j’avais photographié une belle chenille prise alors qu’elle était accrochée à une branche d’olivier. Gardée au chaud, elle s’est enterrée dans le bac où elle avait été installée. La chrysalide formée était de couleur bun-rougeâtre, elle avait une bonne taille et semblait vernie avec son aspect brillant.

    Il a fallu attendre prés de 4 mois pour qu’elle se fende, libérant le papillon "acherontia atropos"  que je viens de prendre en photo.

    Ce papillon de couleur trés foncée porte sur son thorax un dessin en forme de tête de mort d’où le nom qui lui a été donné.

    Ce sphinx est un des plus gros papillon d’Europe, il à la particularité assez extraordinaire pour cette espèce animale, de crier quand l’ennemi est trés proche, quand je l’ai délicatement attrappé avec une brindille il a poussé un petit couinement rappelant celui de la souris, étrange!

    Au printemps la femelle pond sur plusieurs plantes et la chenille se développe de juin à septembre (voire même plus trad dans le midi), elle va se nourrir de feuilles de pomme de terre, de tomate, de fusain, de troène, de jasmin…avant de s’enterrer à l’automne, c’est dire qu’elle n’est guère appréciée des jardiniers! Mais le papillon est utile au jardin, c’est lui que certaines fleurs attendent pour assurer leur pollinisation.

    Posé sur une branche notre sphinx tête de mort s’est envolé, le temps est venu pour lui de vivre sa vie de papillon.

  • Un jardin remarquable, le jardin japonais de toulouse

    Un jardin remarquable, le jardin japonais de toulouse

    Le_pont_rouge_du_jardin_1    Un havre de paix en plein centre ville qui allie le mineral, le végétal et l’eau. Loin du bruit, du stress, laissez-vous guider dans cet endroit magique et reposant, vous ressentirez la sérénité que j’y ai rencontrée.

    Crée en 1981, ce jardin de 7000 m² a été implanté au coeur du parc de Campan Cafarelli, vaste espace de 10 ha où il fait bon flâner et se reposer en toute quiétude. Ce parc est planté d"espèces traditionnelles et s »organise autour de massifs fleuris, de bosquets et de larges allées. Traversez-le sans vous presser car il est agréable, passez la grille et entrez dans cet îlot entouré de verdure qu’est le superbe jardin japonais   …

    Jardin_japonais_toulouse Voilà, nous y sommes, le ton est tout de suite donné, une végétation typique d’extrème-orient, des rochers savamment disposés, des collines reconstituées et des constructions caractéristiques du beau pays du soleil levant.

    Je chemine dans les petits sentiers, admire au passage les paulownias, les sophoras, les plaqueminiers, les mahonias, les cerisiers à fleurs et les prunus regroupés. Ici, bosquets et buissons se côtoient en harmonie et créent une impression intimiste. J’ arrive au coeur du jardin qui s’articule autour d’un magnifique plan d’eau. Au mileu de ce lac se trouve l’ile, symbole de paradis, pour y accéder il faut passer sur le pont rouge, il me conduit au pavillon de thé, batisse de type japonais au toit recouvert d’écailles de bois.

      De la vaste plateforme on  a une superbe vue  sur la colline qui constitue le jardin zen, les énormes rochers sont posés au milieu de la végétation , (buis, skimmias, érables du japon, …). Je reste là un moment à admirer ce paysage, à contempler ces arbres taillés en nuage, ces arbustes taillés en boule, à m’imprégner de tant de beauté.

    C’est l’hiver, mais malgré tout le jardin est beau, je poursuis ma promenade, prends les pas japonais qui serpentent, photographie les touffes de bambous. Les plantes de terre de bruyère ne sont pas encore en fleurs, azalées, rhododendrons sont en boutons, mais au détour d’une allée, prés des cerisiers, les camélias m’offrent le spectacle de leurs magnifiques fleurs rouges.

    Il faudra que je revienne au printemps, le jardin sera différent, je l’ai trouvé beau en hiver, je le trouverai sûrement extraordinaire à la belle saison !

  • Comment ne pas… nourrir les oiseaux au printemps

    Comment ne pas… nourrir les oiseaux au printemps

    PotnepetaA ses dépends ! Alors que nous avons fait le tour des astuces qui permettent de nourrir les oiseaux en hiver, qui sont particulièrement nombreux cette année à cause d’un hiver doux, voici quelques techniques insolites pour éviter que les oiseaux ne se nourrissent de vos plantes et jeunes pousses dans votre dos.

    Les CD accrochés dans les branches, les filets métalliques ou plastiques etc… ne fonctionnent q’un temps. Les oiseaux s’y habituent et ce sont eux qui se régalent à votre place. Généralement, tous les épouvantails, qui ont leurs propres fêtes, et qui sont censés bouger et/ou faire du bruit, finissent par paraître familiers aux intrus ailés. Alors que faire pour avoir un espoir de goûter vos cerises avant les oiseaux et évitez de "partager" vos fraises avec les merles, qui partagent à leur manière, en ne laissant… rien ?

    Il y a deux choses qui font fuir les oiseaux à coût sûr ! L’odeur et la vue des chats.

    Pour ce qui est de la "barrière odoriférante", je vous conseille les harengs ou les sardines accrochés dans les branchages. Au sol, alors que les poissons risquent de se décomposer et de finir dans les estomacs des chats, il est conseillé d’éparpiller des boules de naphtaline au milieu de vos jeunes salades.

    Pour ce qui est des chats, il n’est pas question de les attacher au pied de l’arbre ou dans les rangées de votre potager. Non ! Confectionnez un chat avec vos jeunes enfants, neveux et nièces, petits enfants ou tout simplement petits amis, et n’oubliez pas de mettre des billes ou des bouts de plastique fluorescent à la place des yeux. Les oiseaux n’oseront pas s’approcher de ses matous plus vrais que nature !

    Bon appétit ! et n’oubliez pas de partager avec nous vos propres techniques anti-fringales de nos amis-ennemis à plumes.

    Je me rends compte que le blog jardin ne vous a jamais parlé des épouvantails. Dans les jardins, on ne rencontre pas que les fleurs ! A bientôt donc…

    Nourrir les oiseaux en hiver

    Comment ne pas… nourrir les oiseaux au printemps

  • Nourrir les oiseaux en hiver

    Nourrir les oiseaux en hiver

    Mangeoire_oiseaux L’hiver, les oiseaux migrent vers le sud, les ours hibernet… en principe. Car cette année, les ours sont isomniaques, les oiseaux ont l’air d’avoir élu domicile fixe dans le pays où ils passent la belle saison, et l’immobilier je m’y connaîs, croyez-moi ! En région parisienne il fait 11 à 13 degrés, malgré la pluie et la tempête. Le réchauffement climatique est sur toutes les lèvres et… hélas derrière la fenêtre. Vous avez écrit 4 fois au syndic pour qu’il baisse le chauffage. Et ressorti quelques vêtements plus légers.

    Alors, puisque le temps est si "clément", les volatiles inattendus viennent sur votre terrasse, sur les branches qui se penchent sur votre maison. J’en vois tous les jours. Et puisqu’ils sont si nombreux cette année, ne les oubliez pas. Ils ont moins de nourriture à partager, même s’ils ne meurent pas de froid.

    Les oiseaux savent qu’ils seront nourris par les hommes et pour cette raison ils viennent visiter nos villages et nos villes.

    Vous pouver accrocher des boules de graisse, de la graisse de boeuf non salée, accrochée sur une ficelle solide ou, pour la transpercer plus facilement, sur un fil de fer. Incrustez-y un assortiment de graines.

    Aux Etats-Unis, j’ai souvent vu des filets d’agrumes recyclés pour l’occasion, garnis d’une boule de "peanut butter", beurre de cacaouètes, boule enrichie de graines, qui la solidifie. Ou alors les pommes de pin sont tartinées de cette pâte, dans laquelle on incruste des graines. Il suffit de suspendre ce "treat de luxe", ce met de choix, le plus loin possible des… griffes du chat !

    En vous rendant visite régulièrement, les oiseaux vont également se délecter des prédateurs de votre jardin qui, cette année, sont particulièrement nombreux, profitant eux aussi du temps très doux : insectes, limaces… Vous ne pourrez plus vous passer de leur chant, de leurs ballet aérien, et de leur… aide.

    Il ne vous reste plus qu’à sortir ces mets délicieux et vous équiper d’un ouvrage ornithologique pour identifier les oiseaux qui ne vont pas manquer de venir se régaler.

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