Vladimir Poutine a choisi. C’est son voisin norvégien Statoilhydro qui prendra les 24% restants du consortium Gazprom (51%) et Total (25%). Cette décision exclut de facto l’américain Conoco-Phillips qui était sur les rangs et ceci, bien qu’une partie du gaz, sous forme liquéfiée, soit destinée au marché américain. Certains spécialistes en stratégie géopolitique n’excluent pas que le projet d’implantation de bases antimissile américaines en Europe, ait pu influencer la décision de la Russie. Mais c’est surtout un signe russe de volonté de rapprochement économique avec l’Europe, son principal client, qui importe 42% de son gaz de Russie.
Les pétrolières US exclues du projet Shtokman

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