La Chine et la France ont certains points communs. La qualité de leurs cuisines en est un,l’autre est celui qui veut que leurs Etats possèdent de grands groupes énergétiques nationaux. EDF, un leader mondial de la production d’électricité d’origine électronucléaire, est la plus grosse capitalisation de la Bourse de Paris. Mais dans les indices boursiers c’est en réalité un nain, en raison d’une part très faible de ses actions cotées (10,8% dans le public, 1,9% aux employés et 87,3% à l’état). Il en est de même pour PetroChina, premier pétrolier chinois, qui est la première capitalisation boursière mondiale avec plus de 1100 milliards de dollars. Exxon Mobil est largué avec ses 440 mds$ de capitalisation. Mais voilà 14% des actions du pétrolier chinois sont cotées, le restant appartient à l’Etat. De plus ces 14% sont répartis sur trois places boursières (New-York, Hong-Kong et Shangaï). Tout est fait pour que la rareté fasse prime.
La rareté des actions EDF ou PetroChina en font de pseudos champions boursiers

Commentaires
2 réponses à “La rareté des actions EDF ou PetroChina en font de pseudos champions boursiers”
Je ne suis pas d’accord avec vous .. sur la qualité de la cuisine chinoise (et je ne parle pas des restaurants qu’on trouve en Europe).
J’ai le souvenir de scorpions grillés, un jour à Pékin, absolument délicieux.
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