Carlos Ghosn poursuit sa politique d’accords privilégiés avec les Etats pour promouvoir la commercialisation de ses futurs véhicules électriques. Après Israël, le Danemark, le Portugal, voila l’Etat du Tennessee intéressé par un tel accord. Nissan possède dans cet Etat une filiale et une usine. L’Etat américain va aider à implanter les infrastructures comprenant des stations de recharges le long des routes fréquentées du Tennessee. Le plan prévu par Nissan est de commercialiser les premiers véhicules dès 2011. 
Nissan signe avec l’Etat du Tennessee pour la promotion de ses véhicules électriques
Commentaires
4 réponses à “Nissan signe avec l’Etat du Tennessee pour la promotion de ses véhicules électriques”
petite question :
comment Renault pourra-t-il arrivé à fournir à ces 4 pays massivement et pendant la même période des véhicules électrique dans 3 ans seulement quand aujourd’hui il n’ont pas encore une usine dispo…
maintenant voyez les milliers de batteries que la société aesc devra réussir à produire mensuellement quand aujourd’hui ils n’ont pas d’usine encore au point à si grande échelle.
c’est qu’une batterie pour les futures auto électrique, ce n’est pas une batterie de téléphone portable. c’est autrement plus pointu et massif comme produit.
mais c’est aussi très onéreux aussi
selon des chiffres trouvé sur le web, une batterie pour voiture, c’est 10000 euros !!!
ah oui, aussi comment la société Project Better Place pense t’elle approvisionné ses quelques 500 000 stations de changement de batteries, (seulement pour Israël dans un premier temps). sachant que ces stations n’auront pas seulement deux batteries de stockées dans chacune d’elle, à cela multiplié par le prix de chaque batterie, par le nombre colossale de station à construire en Israël, au Danemark, au Portugal, et maintenant au States….
il y quand même beaucoup de suspicions à avoir quant au réalisme de telles engagements…
serait ce juste des effets d’annonce que Renault et PBP essaient de faire ?
allez salut Raymond….Je suis d’accord c’est très ambitieux et les risques de dérapage ne sont pas nuls, surtout avec une nouvelle batterie de technologie « laminée » qui ne doit pas être évidente à mettre au point. Le prix de la batterie à mon avis n’est pas un problème puisqu’il va s’appuyer sur un système de leasing qui sera financé par les confortables économies d’essence (le gallon électrique aux USA coûte 1$ contre 4$ pour le gallon essence)
Julien les batteries seront dans les voitures, elles ne seront pas en dehors en train de se recharger, trop lourdes (70 à 80 kg), trop complexes électroniquement. Ce seront de vrais systèmes batteries intégrés au véhicule.
Le sérieux de Renault Nissan ne peut pas mettre mis en cause, c’est stratégiquement trop important, même pour la survie du groupe.quand vous dîtes : »Le sérieux de Renault Nissan ne peut pas mettre mis en cause, c’est stratégiquement trop important »
pensez vous que renault nissan est en train de faire un travail (de com ou autre) d’un élagage précurseur et mobilisateur et ce à différents niveaux « trop important » pour commencer à basculer vers des transports « propres » ,et en démontrant aux synergies lobbyiste des politiques énergétiques en place qu’elles doivent commencer à entrevoir autrement…
et qu’en cela il faut rester positif malgré des doutes emissibles ?
ps : Project Better Place et Renault-Nissan (pour Israël) désirent réellement concevoir des stations pour changer les batteries, permettant (comme avec l’essence) un « ravitaillement » rapide en cours de parcours…
à bon entendeur…Oui mais un ravitaillement rapide en français c’est de la « charge rapide », cela n’impose pas de sortir la batterie de la voiture, au contraire, ce serait bien trop long. C’est comme chez MacDo au Drive-in. On se restaure à bord!
Renault-Nissan fait d’abord de la statégie en faisant l’impasse sur la technologie hybride et en jumpant directement au véhicule électrique. Il n’a pas le droit de se planter mais il a bien compris que le lancement serait beaucoup plus efficace avec l’aide morale et surtout financière des Etats.
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