Multibrid en discussion pour vendre 80 éoliennes de 5MW pour un champ offshore en Mer du Nord

Commentaires

5 réponses à “Multibrid en discussion pour vendre 80 éoliennes de 5MW pour un champ offshore en Mer du Nord”

1. 

   avril 1, 2009

   JP

   « Selon les termes du protocole, AREVA réalisera également la mise en service, les tests et les services de maintenance. Les fondations, le transport et l’installation des éoliennes en mer sont exclus du présent accord.  » (communiqué d’Areva)
   Autrement dit, c’est plus un prix « sortie d’usine » que « tout compris ».
   Moyennement avantageux pour le client, donc.
   Le signe que pour les éoliennes offshore la demande s’est relativement maintenue?

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2. 

   avril 22, 2009

   Energie eolienne

   A lire car l’explication est très claire. A très bientôt … bonne lecture et bon vent ;-))
   Dave

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3. 

   juin 27, 2009

   François Carré

   Très belles éoliennes et belles réalisations montrant le peu de surface utile offerte à la pression du vent afin de minimiser les contraintes mécaniques et d’éviter ainsi . . . leur destruction.
   Mais, à peu de pression, correspond peu de couple moteur, et, par conséquent, peu de puissance obtenue et, en final, peu de production . . .
   Puisque, les constructeurs ne nous contrediront pas, la puissance d’une machine dépend du produit : COUPLE MOTEUR multiplié par VITESSE DE ROTATION.
   C’est à dire, que si les machines actuelles possédaient davantage de surface utile, elles pourraient avoir la prétention de capter les vents modérés . . .
   Ce qu’elles ne peuvent faire;
   Si elles sont capables de s’entraîner par vitesses de vent de 5 m/s, c’est déjà une performance en soi compte-tenu de leur faible couple moteur . . .
   Enfin, le symbole est là, mais, nous sauvera t-il des nécessités du concret et constituer un semblant d’alternative face à l’atome ?
   Il est possible de produire 3 à 4 fois plus sur les sites privilégiés actuels, et, près de 5 fois plus sur sites de vents modérés tels ceux des côtes mauritaniennes et sénégalaises.
   Mais, y a t-il vraiment volonté d’arriver à rendre cette filière
   « rentable » ?
   François Carré, ancien attaché de recherche au CNRS et à l’INSERM, président de l’association EOLE plus.

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4. 

   juin 27, 2009

   ray

   Monsieur Carré vos titres que vous étalez au grè de vos interventions, n’ont que bien peu d’intérêt pour le lecteur. Un peu de pudeur, Monsieur l’Attaché, serait la bienvenue, surtout lorsqu’on connaît les multiples succès industriels de l’industrie éolienne en France, auxquels j’en suis convaincu, vous avez activement participé.

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5. 

   juillet 6, 2009

   François Carré

   En réponse à Mr RAY
   Merci de me rappeler à la modestie, et, croyez bien qu’il m’en coûte de me croire obligé, malheureusement, « d’étaler » une sorte de « savoir » à travers des antécédents.
   A part les réalisations des constructeurs éoliens allemands des années 1925, réalisations qui permettaient de tirer du vent bien plus d’énergie (au mètre carré de surface utile) que les machines actuelles ne peuvent le prétendre, on peut signaler les machines ENAG (disparues), et, actuellement, faut-il le dire, quelques machines chinoises de petites dimensions.
   Je n’ai aucunement contribué à établir une copie conforme d’hélices d’avion étudiées pour des vitesses de flux presque 10 fois supérieures, techniques d’ailleurs obsolètes au profit d’hélices multipales (5, 6 pales et plus) de largeur de profil non négligeable.
   Bien cordialement.
   François Carré

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