E-ON injecte les premiers m3 d’hydrogène dans le réseau de gaz allemand

Commentaires

3 réponses à “E-ON injecte les premiers m3 d’hydrogène dans le réseau de gaz allemand”

1. 

   juillet 20, 2013

   el gringo

   Pas si loin que cela.

   Une nano-rouille championne pour fabriquer de l’hydrogène

   Des chercheurs de l’EPFL et du Technion ont débusqué les nanostructures « championnes » qui permettront de produire de l’hydrogène de façon écologique et à bas prix, simplement à partir de la lumière du jour.
   http://actu.epfl.ch/news/une-nano-rouille-championne-pour-fabriquer-de-l-hy/

   Aux USA, le DOE prévoyait un coût de production de l’hydrogène autour de 6 $ le kg en 2015 et 2 à 3 $ en 2025 soit le coût du pétrole actuel.

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2. 

   juillet 20, 2013

   Ray

   El gringo, le méthane naturel américain est déjà beaucoup moins cher que le pétrole….mais c’est un gaz aux énergies volumiques volatiles ce qui limite ses applications, en particulier dans les transports.
   La clé n’est pas dans la production d’hydrogène à l’aide d’électricité renouvelable excédentaire (fatale) ou par reforming du méthane peu onéreux, elle est dans son conditionnement, sa distribution, et le faible rendement énergétique de sa transformation en électricité qui nécessitera de chères batteries en tampon pour absorber les pointes de puissance.
   Nous allons voir rouler quelques voitures de luxe japonaises équipées de PAC et réservées aux plus riches… puis il faudra de longs et lents progrès pour réduire les coûts de l’ensemble et atteindre un jour une production de masse. Une envolée des cours du pétrole favoriserait bien sûr le processus.
   Les obstacles au développement d’une filière hydrogène dans les transports sont nombreux et ne se résument pas aux coûts de production du gaz.
   La solution allemande qui consiste à injecter l’hydrogène dans le réseau de gaz est, pour l’instant, la voie la plus simple pour écrêter les productions éoliennes excédentaires occasionnelles de la Mer du Nord.

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3. 

   août 17, 2013

   Tonton

   « Pour en terminer avec le compte EEG, on remarquera qu’il représente une dette des consommateurs allemands à l’égard des producteurs d’électricité d’origine renouvelable, pour toute la durée des contrats en vigueur. Le montant dépend de multiples facteurs (date de début de l’activité, volumes de production attendus, différence entre prix du marché et tarif d’achat pour chaque technologie, etc.). L’évaluation exacte n’apparaît pas possible, mais en prolongeant les tendances observées depuis 2000, un calcul sommaire aboutit à un montant de 250 milliards d’euros (en sus des 67 milliards d’euros versés entre 2000 et 2012). Il s’agit d’une dette « prescrite par l’Etat » mais non prise en compte dans les dettes souveraines ; si elle venait s’y ajouter, est-on certain que l’Allemagne conserverait sa notation AAA ? »

   Michel CRUCIANI
   Le tournant énergétique allemand : année N+2

   http://www.ifri.org/?page=detail-contribution&id=7764

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