Nos connaissances historiques nous montrent que les développements des grandes civilisations ce sont déroulés durant les riches périodes du climat chaudes, et donc humides. Inversement les périodes les plus froides et donc les plus sèches, ont apporté pauvreté, conflits, migrations de masse et faillites de grandes civilisations.
Les interprétations des observations satellitaires de la Terre, réalisées entre 1982 et 2009, semblent démontrer un vaste phénomène de verdissement de la Planète dont les causes principales seraient attribuables à la fertilisation par le CO2 et au réchauffement des hauts plateaux (par exemple tibétains).
La désertification de larges parts de la Planète, prévue par de nombreux modèles incertains, ne semble pas avoir lieu.
LIRE le résumé de ces observations et interprétations publiées récemment, par une équipe internationale, dans le journal Nature sous le titre « Greening the earth and its drivers » qui apporte de l’eau au moulin des raisonnables opposants à l’escroquerie climatique et médiatique en vogue du moment.
L’accélération des phénomènes de diffusion dans l’eau (pores des feuilles, surface des océans) et de disparition du CO2 par effet de surface, J= D dCO2/dx étant proportionnelles à la concentration du CO2, la teneur en CO2 dans l’atmosphère devrait tendre asymptotiquement vers une limite, dépendante des flux anthropiques relargués, largement asiatiques, du moment.
Contrairement à ce qui est lu par-ci, par-là, ce ne sont pas les quantités cumulées de CO2 larguées dans l’azur qui sont déterminantes, ce sont les flux qui sont rapportées au paramètre temps. Ce sont les milliards de tonnes de CO2 relarguées par an qui déterminent la teneur en CO2 dans l’atmosphère. Simple problème de baignoire qu’on veut remplir et qui aurait une fuite, la disparition du CO2 par effet de surface, par la croissance des quantités de planctons et de végétation qui s’accélère, tendra à équilibrer un jour les formations anthropiques. Les variations annuelles de la teneur en CO2 dans l’atmosphère seront alors quasi-nulles pour des rejets constants.
Le 26 Avril 2016
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