La mise en court-circuit d’une batterie de quelques kWh par perforation (test au clou) ou sous l’effet d’une flamme, alors que la dite batterie contient, à l »état chargé, du lithium métallique inséré dans du graphite ou du silicium, des solvants organiques et des oxydes de Nickel, de Cobalt et autres métaux de transition, conduit, généralement, à une très violente ignition.
Cette tendance à l’ignition, auto-entretenue, ne sera que plus accentuée encore, avec l’accroissement des tensions de charge des batteries, une des voies privilégiée aujourd’hui pour accroitre l’énergie stockée et donc l’autonomie du véhicule, dans un format de batterie donné. Apporter solution (même partielle) à ce problème de sécurité des batteries en pleine charge est d’une grande complexité et fait l’objet de tentatives de normalisation par les professionnels des batteries.
Cette photo, publiée récemment, illustre parfaitement le phénomène parfois sous-estimé par certains géniaux technologues. qui entassent les onéreux kWh sous le capot (ici 90!!) pour le plus grand plaisir, en accélération par exemple, des clients les plus fortunés de ce monde.
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