Un très bon papier de Andy May qui tend à montrer que, au cours des temps anciens, ce sont les épisodes froids et secs qui ont provoqué les famines et les guerres. Le réchauffement actuel, accompagné d’air humide, semble être plutôt accueilli avec bienveillance par les historiens des climats.
A la lumière de ces données, les cris d’orfraies de nos politiciens climatologues apparaissent alors comme dérisoires, sinon ridicules.
Le 29 Novembre 2015
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