Le travail de Stuart Staniford se poursuit sur Wikipedia (Oil Megaprojects) et il apparaît que les chiffres de mises en production cumulés des gisements de pétrole rassemblés par Stuart divergent de plus en plus de ceux publiés par le très officiel « Petroleum Review ». Il ressort de ces travaux que l’accélération des mises en production de nouveaux champs ou procédés a été beaucoup plus vive que celle mentionnée par la revue. L’impact des prix du brut sur l’adaptation de l’offre à la demande est évidente.
Il ressort de cette étude en cours, que la croissance des mises en production des pays non OPEP est particulièrement vigoureuse. 
Ce travail de très grande rigueur montre que les chiffres récents annoncés par les déclinistes du « peak oil » dont fait partie l’auteur de l’étude, sont de plus en plus à remettre en cause. Il faudra une fois de plus reculer la date du pic tant attendu.
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