Catégorie : actualités

  • Tout le monde n’a pas la chance d’habiter un émirat électronucléaire : article I

    Tout le monde n’a pas la chance d’habiter un émirat électronucléaire : article I

    Photos_p_015Ce bâtiment abritait une forge il y a une quinzaine d’années. Visiter une forge est une expérience magique. On voit un spectacle inoubliable. Des longues barres d’acier, les mandrins sont chauffés au rouge dans un four à gaz.
    Puis une pince gigantesque la saisie, la mène à la forge, où le mandrin est toujours chauffé, et la presse de 1700 tonnes s’abat sur le mandrin dans un bruit assourdissant, dans des relents de flammes et de brûlés.
    La pince manipule délicatement le mandrin et mètre après mètre le mandrin est forgé.

    Puis un homme s’avance avec un gigantesque chalumeau et découpe les deux bouts, non forgés.
    La visite est finie, nous nous dirigeons vers la sortie et quelqu’un demande : "Et ça qu’est ce que c’est ?", le guide répond : nous avons touché une grosse subvention d’EDF il y a quelques années pour nous convaincre d’investir dans ce four électrique. La subvention faisait 110 % du montant de l’investissement. Il a été mis en service un mois, puis les chiffres de la comptabilité analytique sont tombés. Il vaut mieux faire fonctionner 5 fours à gaz qu’un seul électrique. Ce four a immédiatemment été abandonné, il attend d’être découpé pour aller dans le parc à ferraille de l’aciérie.

  • « Torchage » des gaz, un gâchis monstre

    « Torchage » des gaz, un gâchis monstre

    Torchere PARIS (AFP) – Le brûlage des gaz à la sortie des torchères des puits de pétrole contribue, autant que le transport aérien, au réchauffement climatique, a mis en garde la Banque mondiale, qui a invité les pays producteurs et les compagnies pétrolières à agir.

    Chaque année, plus de 150 milliards de mètres cubes de gaz naturel sont brûlés à la torche et rejetés dans l’atmosphère, une pratique considérée comme efficace pour se débarrasser des gaz associés à la production pétrolière.

    Mais elle a un impact sur le changement climatique, car elle induit l’émission d’environ 390 millions de tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an, principal gaz à effet de serre (GES), a indiqué mercredi Rashad Kaldany, directeur du département Hydrocarbures du groupe de la Banque mondiale.

    Ce chiffre est "supérieur" au total des efforts annuels de réduction d’émission des pays riches dans le cadre du protocole de Kyoto, a-t-il souligné.

    Il est également proche des émissions de CO2 dues au transport aérien international, 400 millions de tonnes de CO2 par an, selon les chiffres de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

    Le protocole de Kyoto impose à 35 pays industriels et l’Union européenne de ramener leurs émissions de GES de la période 2008-2012 au niveau de l’année de référence 1990.

    Au niveau mondial, 26,9 milliards de tonnes de CO2 ont été émises en 2004, selon l’AIE.

    En outre, le "torchage" des gaz représente un véritable gâchis énergétique, a fait remarquer M. Kaldany, qui s’exprimait devant la presse à l’occasion d’un forum de la Banque mondiale sur ce sujet à Paris.

    L’extraction du pétrole fait généralement remonter à la surface des gaz associés et dans les pays dépourvus d’infrastructures ou éloignés d’un marché gazier, ces gaz sont rejetés et brûlés.

    Or, plus de 85% des gaz torchés sont produits dans des pays en développement.

    Les 150 milliards de m3 ainsi brûlés chaque année représentent l’équivalent de 25% de la consommation de gaz des Etats-Unis et de 30% de celle de l’Union européenne. En Afrique, le volume des gaz torchés est estimé à 40 milliards de m3 par an, soit la moitié de la consommation d’énergie du continent.

    Le groupe de la Banque mondiale a lancé en 2002 un "Partenariat mondial pour la réduction des gaz torchés" (Ggfr) afin d’encourager les efforts menés dans les pays producteurs pour réduire le torchage des gaz en développant leur réutilisation et leur commercialisation.

    Parmi les 20 principaux pays producteurs de gaz torchés dans le monde, le Nigéria arrive en tête avec 24,1 milliards de m3 en 2004, devant la Russie avec 14,7 mds m3.

    Pour la Russie, il s’agit des "chiffres officiels", a souligné Bent Svensson, directeur du Ggfr. "C’est peut-être plus", a-t-il indiqué, précisant que les évaluations sont effectuées à l’aide d’images satellites qui nécessitent d’être affinées.

    "Au cours des dernières années, de petits progrès ont été réalisés pour réduire le torchage des gaz mais il faut faire plus", a déclaré M. Kaldany.

    Il a cité le projet "Kwale" mené au Nigeria en coopération avec le groupe italien Eni pour la cogénération d’électricité avec les gaz rejetés, permettant d’éliminer 1,5 million de tonnes de CO2 par an.

    Certains projets pourraient ainsi être réalisés dans le cadre du Mécanisme de développement propre (MDP) du protocole de Kyoto, qui accorde aux industriels des pays riches des crédits d’émission pour leurs investissements "propres" dans les pays en développement.

    /fin de citation AFP/

    Crude_oil_distillationfr Il faut aussi noter que brûler ces gaz en torchère est un moindre mal: relachés dans l’atmosphère, les gaz non brûlés ont un effet largement plus néfaste que le CO2: Le méthane (CH4, ou "gaz de ville") a un effet de serre 21 fois plus important que le CO2 !

    Ces gaz doivent aussi être évacués des installations, sous peine de surpression et explosions des raffineries ou des puits de forrage.

    Reste à valoriser ces gaz (par récupération et mise en conduite, ou par bûlage en vue de produire de l’électricité, etc …), mais cela est souvent difficile car les raffineries ou les puits de forrage sont souvent éloignés de toute civilisation.

    à voir aussi:
    Raffinage du pétrole sur wikipedia

  • Energie nucleaire en France

    Energie nucleaire en France

    Photos_117"belle erreur de journaliste mal renseigné. aujourd’hui la france fait trois fois mieux que l’allemagne sur le plan Co2, sans tambours ni trompette. et en plus elle exporte. l’allemagne, malgré ses éoliennes et ses panneaux solaire est littérallement plombée par sa filière thermique, responsable des pluies acides des années 80 et d’une émission de co2 indécente.
    le nucléaire n’était pas une erreur, loin de là.
    cet épouvantail, monté de toutes pièces par les écolos vise à se servir de la peur pour se rallier un max de monde.dommage, car c’est une arme fondamentale"

     

    Je vois à cette réaction que j’ai été mal compris, je m’explique. Le problème de l’énergie nucléaire en France, c’est independamment qu’elle existe ou pas, un problème de dimensionnement.

    Conçu au début des années 1970, le parc électro-nucléaire en France avait été largement surdimensionné, on prévoyait alors de l’ordre de 80 à 100 centrales, on s’est arrêté à 54 en 1983, pour la bonne raison que l’on ne savait pas quoi faire de l’électricité produite.
    On a donc atteint un total de 80 % de l’électricité produite par la filière électro-nucléaire, alors que même parmi les plus chauds partisans du programme, on convient en off qu’au dela de 50 % ce n’est ni utile, ni souhaitable (le nucléaire n’est rentable qu’en base et non en semi base).
    On a fait donc des erreurs "complémentaires", qui consistaient à exporter à des conditions économiques très défavorables le courant électrique. (les pénalités sont très élevées en cas de défaillances).
    L’autre erreur a été, notamment depuis 1986 et la décision de j Chirac de sabrer les crédits de l’ademe et d’abandonner tout effort d’économie d’énergie et plus de promouvoir le gaspillage par certains côtés (je m’expliquerai là dessus dans un article à venir).

    Le nucléaire était bien une erreur dans le fait qu’à cause de lui, on a abandonné en France pour 30 ans tout effort de recherche dans le domaine énergétique…Pas parce qu’on l’a construit.

  • Remontée des taux de la bce .

    Remontée des taux de la bce .

    Photos_023La remontée des taux de la bce à 3.50 % est une très mauvaise nouvelle pour l’investissement en général et les énergies renouvelables en particulier.
    Si le laxisme en matière monétaire, avait conduit à la formation d’une bulle immobliére, et la remontée des taux à la précipitation de son éclatement, les énergies renouvelables et les investissements de toutes sortes en partciuliers nécessitent eux de gros capitaux.
    Il ne faut pas se leurrer, le changement est toujours dispendieux. Pour un particulier, changer une chaudière est une dépense très conséquente, souvent financée à crédit.

    C’est pour aider à ce renouvellement de génération des systèmes de chauffage que le gouvernement Raffarin d’abord, Villepin ensuite avaient accordé des crédits d’impots conséquents et qui indiquait une claire rupture de la politique énergétique menée depuis 1986 exactement.
    Encore une fois, l’économie financière va à l’encontre de l’économie réelle…Qui elle nécessite une longue politique d’économie d’énergie, fortement consommatrice de capitaux.

  • Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes

    Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes

    Photos_pilou_002Ni une bonne assiette de pâte, encore moins LA CHANCE INOUÏ d’habiter UN EMIRAT ELECTRO-NUCLEAIRE.

    "En Allemagne, sur les lampes à économies d’énergies, il y a aussi la possibilité de n’acheter que la partie "éclairante" (je ne sais pas comment l’appeler),et on garde la partie "électronique".
    ça revient donc moins cher à l’achat.

    En France, les parties "électronique" et "éclairante" ne peuvent pas se séparer….
    => à l’acheteur de faire pression sur l’industriel pour qu’il propose ce produit ?
    OU: à l’industriel de proposer ce produit pour se faire sa clientèle ?"
    En effet, l’Allemagne ne s’est pas fourvoyé dans une filière électro nucléaire qui a du être arrêtée en catastrophe au début des années 80, avec un courant largement excédentaire, bradé à l’exterieur, gaspillé à l’intérieur dans des usages aberrants (chauffage) et qu’il fallait à tout prix vendre…
    Le voeu du citoyen, on s’en contrefout, mais la France qui n’avait pas la malédiction d’avoir des ressources naturelles abondantes, a cru bon de se créer cette ressource abondante.
    En effet que pèsent les voeux des citoyens vis à vis des lobbys énergétiques en tout genre : gaziers, pétroliers, charbonniers, nucléaires. Ils sont curieux ces allemands. Ils ont l’air de respecter la volonté de leur peuple, et non faire comme l’a dit un ministre français : "on ne va pas remettre en question des traités internationaux,  SOUS PRETEXTE  du suffrage universel"…  C’est dire en quel estime  il  tient ses concitoyens…

    Gavez -vous, gavez-vous chers concitoyens, non pas de ces bonnes pâtes, mais de notre CHER jus électro-nucleaire, il n’y a pas de petites consommations…

  • Eclairer la Lanterne du Conseil Constitutionnel : article  III

    Eclairer la Lanterne du Conseil Constitutionnel : article III

    Photos_pilou_096 Je laisse donc l’ampoule en espérant que ça allumera une lueur.La lampe à économie d’énergie est cependant déjà obsoléte.Une autre ampoule à vu le jour (c’est le cas de la dire) c’est la lampe à  diode electroluminescente.les premiers specimens sont disponibles. Pour résumer, une lampe à incandescence de 100 W dure 1000 heures, une lampe équivalente à économie d’énergie de 20 W dure 8000 heures . Une lampe à led de 1.5 W dure… une éternité… 80 000, 100 000 heures… une vie…Mais les ampoules les plus modernes sont évidemments plus cheres.

    De plus il faudrait rappeler certaines "lois" économiques. Le renchérissement précipite le progrés technique. En effet le progrés techniques est toujours dispendieux, et le renchérissement du coût de l’énergie augmentera d’autant plus sa diffusion.
    Et là, il ne s’agit que d’une simple ampoule. En d’autres termes, la consommation électrique originale, qui était l’éclairage est passé en un siécle de 100 % à 15 % en attendant 1 %.
    A titre de comparaison, la lampe d’Edison si elle était encore d’actualité consommerait autant d’énergie que toutes les centrales nucléaires actuellement en France peuvent en fournir.

  • Eclairer la lanterne du conseil  Constitutionnel article II

    Eclairer la lanterne du conseil Constitutionnel article II

    Photos_pilou_099 Bon, on peut reprendre, j’espére avoir été compréhensible, clair et concis dans l’article précédent, alors la suite.
    Ca c’est une lampe à économie d’energie fluocompacte.
    Elle se diffuse lentement, car elle souffre de 2 défauts,  son prix, nettement plus élevé qu’une lampe à incandescence à l’achat, mais nettement plus économique à l’usage, elle met quand même du temps à atteindre  sa pleine puissance.

    Avec une simple lampe, on dispose de MARGES DE MANOEUVRES considérables en ce qui concerne la consommation électrique… Grosso modo, généralisée, la consommation électrique globale des particuliers baisserait de 10 %.

  • Eclairer la lanterne du Conseil  Constitutionnel. article I

    Eclairer la lanterne du Conseil Constitutionnel. article I

    Photos_pilou_101_6 Tout le monde sait ce qu’il en est avec les vieux. Certains font plaisir à voir, courent à droite et à gauche, en bref allient dynamisme et ouverture d’esprit.
    D’autres sont restés bien des années en arrière.
    alors il faut expliquer patiemment et longtemps. (Enfin pas trop parce qu’on finit par s’énerver).
    ça, c’est une lampe à incandescence. Banni dans les dom tom (edf n’y a pas de centrales nucléaires), elle représente encore 50 % de l’éclairage en France.

    Elle consomme 5 fois plus à puissance égale qu’une lampe à économie d’énergie. Elle dure beaucoup moins longtemps aussi, mais sont beaucoup moins chers.
    Sachant que si l’éclairage constitue encore 15 % des dépenses en électricité d’un  ménage, que va t’il se passer si le prix de l’électricité flambe ? La généralisation beaucoup plus rapide de la lampe à économie d’énergie.
    Ce qui representerait quelques % non négligeables dans la consommation électrique… Un bien pour Edf ?

  • Le conseil constitutionnel précipite la crise du logement et de l’énergie.

    Le conseil constitutionnel précipite la crise du logement et de l’énergie.

    Photos_pilou_011 Dans sa dernière décision, le conseil constitutionnel, a enterré toute possibilité de réguler le prix de l’énergie, une chose désormais est certaine, le prix de l’énergie, gaz et électricité vont flamber comme partout ailleurs.
    On en tire les constatations suivantes : le conseil constitutionnel en sacralisant une politique économique, comme en 2005 pour le bouclier fiscal est devenu un soviet.

    C’était déjà grandement discutable dans un pays où le libéralisme économique était déjà fortement contesté, mais les membres du conseil constitutionnel viennent aussi de montrer une incompétence économique totale et une incompétence technique pire encore.
    En effet à l’heure où la bulle immobilière montre tous les signes d’éclatement, le renchérissement par l’énergie des coûts des loyers, va précipiter, pratiquement à zéro la valeur de certains bien. D’abord les De Robien, largements pourvus en chauffage électrique.
    Désormais le marché immobilier se limitera à 2 catégories de produits : les logements à énergie positives (ou tout du moins basse consommation) et le reste…
    Ensuite le calcul économique sous-jacent et qui a fait flamber le cours de bourse Edf est complétement farfelu : le chiffre d’affaire edf, c’est comme tous les chiffres d’affaires, une quantité par un prix. Or la consommation edf, n’est pas pour une large part captive :
    – La part de l’éclairage est encore de 15 % dans la consommation électrique. Elle peut être reduite d’une manière drastique par la généralisation des ampoules basses consommations, et pratiquement à rien par les ampoules à LED. Aucune entreprise ne peut résister à la perte de 10 % d’un marché.
    – Le chauffage électrique est une utilisation aberrante de l’électricité. Cette part n’est pas non plus captive. le remplacement des radiateurs électriques par des PAC air/air dans le pire des cas, déduit la consommation électrique au moins d’un facteur 2 sinon des 2/3.

    – D’autre part la production d’énergie par les particuliers (solaire ou éolien) n’est plus une vue de l’esprit, mais une échéance incontournable. D’autant qu’en la matière et depuis le renchérissement du prix de l’énergie, la recherche n’avance pas vite, mais très vite.

    Loin d’avoir été à long terme une bonne décision pour edf, gdf et les particuliers, cette décision risque au contraire d’amener les compagnies ni plus ni moins qu’à la faillite, les particuliers risquent aussi d’avoir de rudes heures devant eux.

    Quand une logique économique est poussée trop loin, on n’aboutit qu’à une catastrophe.

  • Tempête sur la France ou tempête sur Edf ?

    Tempête sur la France ou tempête sur Edf ?

    Photos_pilou_052 Une tempête aujourd’hui, une tempête qui a fait pas mal de dégâts, assez pour priver 400 000 foyers d’électricité, et à l’heure actuelle, assez pour en priver encore 20 000.
    Mais là encore, est-ce la bonne question, ou la question est elle d’une certaine forme de développement choisi par EDF ?
    Explications. Edf a le choix entre 2 technologies pour ses lignes électriques. La compagnie peut soit les enterrer, soit les poser en aérien. au niveau de la faisabilité, il y a deux cas de figures :

    – la basse et la moyenne tension sont enterrables, c’est effectivement plus cher que les lignes aériennes, avec le bonus d’être plus en sécurité une fois enterré. Donc une dépense et un surcoût immédiat et une économie, plus tard. 90 % des lignes dépendent de ce cas de figure. Désormais et depuis la tempête de 1999 on les enterre, à un train de sénateur…
    Cette politique pose un probléme de relations avec ses fournisseurs. L’armement pour lignes électriques (aériennes) est l’oeuvre de pme/pmi, plus ou moins esclavagisés par Edf, le client principal. Les cabliers sont de trés grandes entreprises, plus difficilement manipulables.
    – Pour la haute et la trés haute tension, effectivement, c’est ardu, sinon impossible. Mais il est à remarquer que cela concerne une petite partie du réseau. On pourrait très bien s’occuper prioritairement du possible en laissant le souhaitable de côté, au moins pour un temps. Ce qui serait logique.
    De plus ce problème des lignes à haute tension correspond à une politique énergétique particuliére, celle des centrales nucléaires, qui en France ne peuvent être que sur le déclin.
    Mais une autre donnée du problème consiste en la réduction des coûts chez les électriciens.
    Dans tous les pays du monde où il y a eu des coupures massives et générales, elles obéissent aux schéma suivant : on supprime ou on réduit les équipes de maintenance et particulièrement d’élagages, pendant quelques années rien ne se passe. Puis un jour, un petit arbre devenu grand tombe sur la ligne…

    Vous pouvez voir sur la photo, prise par mes soins, l’illustration de ce genre de problème en cours… de pousse… Gardez en souvenirs, toutes ces bourgades, grandes ou petites restés sans électricité quelquefois plus d’une semaine en 1999.
    Néanmoins, il leur restait une consolation : à défaut d’électricité, ils avaient beaucoup de bois pour se chauffer… Et pendant une semaine, ils ont pu retrouver les traditions de la veillée, avec un sujet de conversation : dire tout le mal qu’ils pensaient de la politique énergétique…