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  • Edf et Enron, même combat ?

    Edf et Enron, même combat ?

    ChampagneChampagne. Edf féte ses bénéfices, normal. 5.6 milliards, c’est considérable…
    36.77 milliards de nos francs, 3677 du vrai franc, celui de nos anciens, d’avant 1960…
    Quelle est la réalité de ce bénéfice ?
    En réalité, on peut se poser réellement la question !
    On a voulu plus ou moins privatiser, comme Enron, Edf doit fournir du bénéfice aux "investisseurs", comme Enron. Enron en a fourni, jusqu’à ce qu’on s’aperçoive qu’ Enron vendait … des salades et du vent…
    Enron poussait le vice à faire visiter une fausse salle des marchés… En réalité la simple analyse du "marché" de

    l’électricité poussait à voir qu’il n’éxistait pas et ne pourrait pas exister : une poignée de producteurs, quelques acheteurs, les producteurs, quand à eux ont vite compris que moins ils produisaient, plus chers ils vendraient, que c’était inutile de constuire, d’entretenir ou de moderniser des centrales…
    Avoir la paix avec les écologistes locaux ? simple et facile ! Ma centrale au charbon pollue ? je la ferme..
    Le masque vient de tomber brutalement ; sur 450 centrales, 200 vétustes, et qu’en est il du nucléaire ?
    De l’entretien, des frais de démantelement ?
    Si l’on ne peut qu’espérer que l’entretien des centrales nucléaires soit bien fait, le sous-provisionnement de leur démantelement est criant… Brennilis, petite centrale coutera 4 fois plus cher que prévu. Alors faisons une simple estimations des coûts différés (nucléaires + hydraulique) :
    – nucléaire : comptons un milliard par centrale : 60 milliards,
    – hydraulique : 30 milliards pour 200 centrales vétustes…
    – reseau : 10 milliards,
    Peut être que ce montant de 100 milliards est éxagéré… mais même s’il est moitié moindre, comparons le au bénéfice : 5.6 milliards, et à l’endettement : 14 milliards. Ce qui n’a pas empéché Edf de s’emparer de l’Amérique du sud, et de s’en désengager en déconfiture financière…
    La vraie richesse d’edf, elle n’est pas dans son bénéfice, elle est dans son patrimoine, dans des hommes formés et compétents.
    Patience, il n’est plus qu’à attendre la déconfiture de ce type d’entreprise, et nos hommes politiques feront comme schwarzy : re-nationalisations et interventions publiques. Car après des années de non-investissements, on fera appel a ducon-tribuable à souhait, à ce sacré client-qui-n’a-pas-payé-l’électricité-à-son-juste-prix-pendant-des-années.

    Plus vrai que nature non ? on s’y croirai !

  • Uranium Gap

    Uranium Gap

    Uranium_gap_1Le "pic de l’uranium" est peut être survenu bien avant les autres…
    Paradoxale pour une énergie qu’on annonçait comme une relève possible de l’énergie fossile, du pétrole en particulier.
    Aujourd’hui, la production d’uranium n’arrive à fournir que 60 % de la demande mondiale, et sans doute moins (on parle de 40 % suite à des incidents dans une mine canadienne).
    Dans le même temps, le cours flambe, car l’uranium avait la particularité que le coût réel de l’extraction était passablement brouillé par la première demande,

    celle de l’uranium militaire. Le solde de la demande est assuré par les stocks, civils et militaires, par le retraitement, mais on voit mal dans cette configuration, voir le délire de certains se réaliser (4000 voire 8000 centrales nucléaires). Sans le désarmement consécutif à la fin de la guerre froide (il était prévu de désarmer 90 % du stock d’armes, mais je rassure les bellicistes, ce qui reste est amplement suffisant, et même surabondant si l’on en croit Eisenhower en 1961), qu’en serait il des stocks actuellement ?
    Surtout que les nouvelles du réacteur Epr en construction en Finlande ne sont pas bonne… 18 mois, voire 3 ans de retard… Une paille. En réalité, ce qu’on a oublié dans l’affaire nucléaire, notamment en France (on a bâti, trop, trop vite), c’est que toute aventure industrielle est une aventure longue… On constitue des équipes, il faut leur donner du travail (même peu), constamment, renouveller les connaissances, assurer le renouvellement des équipes, le passage des connaissances existantes… Rien de cela n’a été fait fait… Et bâtir une centrale, ce n’est pas une "petite tâche", ne serait-ce qu’au niveau du bâtiment. D’ailleurs, sur certains ouvrages de génie civil, il est un clair que les entreprises françaises ne le conservent que parce qu’elles travaillent beaucoup dans des réalisations à l’étranger…
    Comme toute chose, c’est la première fois qui est difficile…

  • La maison à poteau poutre

    La maison à poteau poutre

    Maison_bois_2Cette maison est une poteau poutre, elle utilise des poutres porteuses qui font toute la hauteur de la maison.
    Les bois employés sont longs, de fortes sections, elle utilise du lamellé collé. Ce genre n’est pas trés répandu, l’ossature bois faisant au niveau mondial plus de 90 % du marché de la maison en bois. Sa solidité en font une version moderne de la maison à colombage (elle permet en effet de grandes ouvertures), et son avantage en terme de dépense de chauffage est évident, contrairement à la maison à ossature bois dont le bilan est médiocre.

    Avec ce genre de construction, on peut arriver trés faciement à une maison autonome, à trés basse consommation d’énergie, ou à énergie positive.
    Elle est aussi incroyablement plus solide, la structure de la maison est extrémement résistante. Contrairement à ce que j’ai entendu, il n’y a pas d’étude possible de la résistance des matériaux en ce qui concerne le bois. Matière vivante, il obéit davantage à l’expérience du trieur, qu’à des modéles mathématiques. Et encore, même si le trieur met tout son soin à sa tâche, il n’est pas exempt d’erreur.
    Certains modéles et certains constructeurs font de la résistance de leur produit aux catastrophes naturelles, un élèment de publicité…

  • Le grand jeu. Tovaritch : le Turkménistan

    Le grand jeu. Tovaritch : le Turkménistan

    TurkmenistanAvec le turkménistan, on arrive à un état absurde : riche de gaz, mais d’une population peu importante ( moins de 5 000 000 d’habitants), il est coincé entre 3 voisins, à qui l’idée pourrait prendre de lui faire subir le sort du melon.
    "Le Turkmenistan a un taux de mortalité infantile proche de celui de l’Afghanistan qui a connu 25 ans de guerre. Un turkmène sur trois a connu la prison, 20 % des détenus meurent. Le niveau de corruption y est d’un des plus élevés de la planète. La peste et la tuberculose y sont réapparues. Il y avait 40 000 étudiants il y a dix ans, il en reste 3500 aujourd’hui. La plupart des enfants croient que les Turkmènes ont inventé la roue et l’écriture. Liste non exhaustive." Le livre saint est le runhama, que chacun doit connaitre par coeur, peut on ajouter.

    D’autant que le gaz turkméne pourrait constituer une tentation irrésitible… 38.6 milliards de métres cube de gaz en 2006, des réserves importantes en bordure de l’amou-daria. Le gaz reste aprés le départ plus ou moins forcé de 200 000 russes, le seul secteur économique qui fonctionne, et qui engendre une corruption maximale…Des politiques agressives vis à vis des minorités (23 % de la population) notamment ouzbek. Il est clair que seule la ressource gaziére permet à ce régime de se maintenir… Dans un contexte marqué par une reprise en main de la région par Moscou, et le repoussoir constitué par un Caucase voisin, marqué par les massacres, les épurations ethniques, et le naufrage économique.
    Non, pour les populations de ces contrées, les ressources gaziéres et pétrolières s’apparentent davantage à l’or du diable qu’à une ressource de développement. D’autant que l’exportation de ces ressources de gaz nécessiteraient de considérables investissements, on peut toujours réver…La longueur des gazoducs nécessaires rendent ces projets grandements fictifs. On peut penser aux problèmes du pipeline azéri-georgiens (pourtant beaucoup moins long)…

  • Le grand jeu. Tovaritch; le kazakhstan II

    Le grand jeu. Tovaritch; le kazakhstan II

    Drapeau_kazakhstan En réalité ; le Kazakhstan, s’il a retrouvé un certain moral est profondément inquiet, comme toute les républiques d’Asie centrale. La politique de percée dans la région menée à Washington est empreint d’une irréalité profonde, comme si les diplomates américains ne voyaient que l’étendue sur la carte.
    60 millions d’habitants dans la région, 16 au kasakhstan, c’est trés peu, même si c’est dix fois plus qu’au siécle dernier.

    Surtout que le nord du kasakhstan est clairement russe (à une époque, cette république manquât être supprimée, la population kazak était tombé à 26 % du total).
    En réalité, ce que regardent les populations, ce sont les voisins :
    – chinois : 1500 millions (et les kazaks voient clairement ce qui arrive à leurs fréres du sin-kiang, et à la population du Tibet),
    – iraniens : 70 millions,
    – russes : 150 millions, et quelques ogives nucléaires en sus.
    Non, finalement populations et états se contentent très bien d’une situation comparable au 18° siécle : un protectorat russe, lointain, qui n’intervient que ponctuellement et souvent à la demande locale.
    Les populations ont été longtemps russifiés, alphabétisées et marquées au sceau russe. Elle y sont habituées, elles voient leurs faiblesses, et la force, l’agressivité de leurs voisins. Sans compter que pour une bonne partie de la population de l’ex-Urss, justement l’Urss, c’était le bon temps…Envolés les mauvais souvenirs, ne reste que les bons.
    Du reste les efforts américains pour s’implanter dans la région restent insuffisants : 1500 soldats ici, un échec en Irak, un échec en Afghanistan, ces soldats ressemblent plus à d’éventuels otages qu’à une pointe armée. Du reste les satrapes locaux peuvent trés vite les trouver indésirables.
    Comme on le voit, l’énergie sur lequel on se focalise, existe très peu dans les calculs locaux. C’est une vue purement externe…

  • Percée des chauffages à bois

    Percée des chauffages à bois

    Photos_188Dopée par les incitations fiscales, les appareils de chauffage au bois explosent. Aprés avoir augmenté de 23 % en 2005, l’envolée se continue avec 40 % pour un total de 570 000 unités, auquel il faut ajouter 95 000 cheminées à foyer ouvert.
    En réalité, ce succés pose aussi des questions ; dans le bois, on vit dans les pays industrialisés dans un autre mythe : celui du bois inépuisable.
    En effet depuis sa grande misére du 18° siécle, le bois n’a pu progresser dans nos pays que grâce à une déprise agricole, aux énergies fossiles, et le bois, pas plus que

    d’autres sources d’énergie, n’est inépuisable. Il est clair qu’aujourd’hui, la filiére a du mal à suivre la demande. Mais elle le peut, jusqu’alors, on se contentait de puiser dans les intérêts du capital (le renouvellement), mais si ce mouvement se poursuit, le doigt doit être mis sur l’insuffisance prévisible de la ressource. J’en parlais avec des autorités politiques qui me disaient, "oui, mais ici, on ne sait pas quoi en faire, c’est illimité !" Comme on voit, l’esprit d’insouciance et d’imprévoyance du politique est assez phénoménal. On a épuisé certaines sources, mais on va trouver autre chose… Déplorable.
    En réalité, ce qui serait la politique la plus visionnaire, sera celle du Negawatt. Celle de l’energie qu’on ne consomme pas.
    Certes, je vis dans un département boisé à 50 %, mais si toute la population (peu importante d’une manière absolue) se chauffait au bois, la ressource n’y suffirait pas. Avec la rançon d’une telle politique ; c-a-d désertification, érosion, coulées de terrains et j’en passe. Un tel mouvement est très long à inverser. Je suis donc personnellement trés réservé vis à vis de cette source d’énergie.

  • Le grand jeu. Tovaritch : le kazakhstan

    Le grand jeu. Tovaritch : le kazakhstan

    Kazakhstan_1Le kazakhstan a toujours tenu une place particuliére dans l’histoire de la Russie, car depuis deux siécles, c’est l’endroit où craque réguliérement l’empire russe.
    C’est aux confins du Kazakhstan et avec la complicité des kazaks qu’a éclaté a la fin du 18° siécle la grande jacquerie (Pougatchevtchina), c’est le soulévement du kazakhstan qui a sonné le glas de l’empire Russe en 1916, et c’est encore le soulévement de 1982 qui sonna le glas de l’Urss (aux cris de "morts aux capitalistes"). Le turkesthan a vu se créer 5 républiques à la suite de l’eclatement de l’Urss, le kazakhstan est la plus grande sur le papier, peu peuplée (16 000 000 d’habitants) avec une courte majorité de kazaks (9 000 000), russifiés pour la plupart. L’immense majorité de la population est russophone.

    Les bureaucraties soviétiques sont restées inchangées au pouvoir. Le retard de l’union soviétique au niveau technique, l’embargo occidentale qui a suivi l’affaire polonaise et l’invasion de l’Afghanistan n’ont pas permis l’exploitation des ressources minérales importantes en gaz et pétrole, et si elles ont nui considérablement à l’Urss (son pic-oil date de 1987), a contribué à la sauvegarde de ses ressources.
    Les réserves du Kazakhstan eu égard à sa population sont immenses :
    Kashgan  : 40 GB de pétrole + 10 de récupérables, pour le gaz, c’est 425 Gm3,
    – Karachaganak : 2.3 GB de pétrole, gaz 1.37Tm3,
    – Tengiz : 6 à 9 GB.
    Comme le montre la carte, le problème principal est dans les voies d’acheminement de ces ressources vers l’exterieur. C’est là que se joue la reconstitution d’un empire russe ou sa dislocation. Avant le 11 septembre, les américains esperaient fortement gazoducs et pipelines à travers l’Afghanistan.
    C’était leur espoir et leur aspiration.

  • Déchets radioactifs.

    Déchets radioactifs.

    Centrale_nucleaire_1Le principal problème des centrales nucléaires, outre les incidents tragiques et meurtriers de TMI et de Tchernobyl, sont les déchets nucléaires.
    Le principal problème du démantélement des centrales est la radiocativité résiduelle, qui dure, qui dure…
    Or jusqu’à maintenant la solution retenue etait d’enterrer. Après les fosses océaniques, la déportation des déchets dans des pays désertiques, cette solution n’a guère de succés non plus.
    Une équipe allemande désormais travaille sur une autre

    solution, celle de la fusion avec d’autre métaux. D’aprés C. Rolfs "les déchets radioactifs meurent plus vite si on les met dans un métal". Cette méthode a été essayé avec du polonium 210 et du sodium 22.
    La prochaine étape est le radium 226 (1600 ans de demi-vie). Si l’approche est correct, la demi vie tomberait à quelques années. Une révolution…
    Prochaine application : dans dix ans ? par rapport à la demi vie des élèments radioactifs, ce délai est finalement minuscule. La nouvelle étape sera cruciale : prouver que c’est faisable. A l’année prochaine donc.

  • Centrale electrique d’un nouveau genre

    Centrale electrique d’un nouveau genre

    Centrale_electriqueUne nouvelle sorte de centrale electrique s’annonce. Il s’agit de centrales de stockages, sous forme d’air comprimé.
    Explication du fonctionnement. Aux heures creuses, la centrale stocke l’énergie sous forme d’air comprimé, puis à l’aide de ce stock, on fait tourner des turbines en heures pleines. Jusque là, on butait sur le rendement : 60 %, pour 1 Kwh acheté, on en produisait au maximum 0.6 Kwh.
    Cette solution était idéal pour rentabiliser par exemple des centrales nucleaires, qui ne sont profitables qu’en base.

    De plus, on a découvert qu’en chauffant l’air détendu, grâce à une chaudière à biomasse, le rendement passait à 0.96 % soit 0.96 Kwh pour 1 Kwh d’électricité consommé en heure creuse.
    Donc, cette technologie (association avec des chaudiéres à biomasse de 12MW) pourrait voir une application industrielle dès 2009.
    Deux conséquences en découlerait alors :
    – une bonne part du parc de centrales, serait, à terme inutile, on utiliserait mieux un outil plus restreint,
    – les travaux de Guy Négre sur le moteur à air comprimé, butait aussi sur ce maigre rapport, il travaillait depuis quelques temps déjà, non plus sur un moteur à air comprimé seul, mais sur un moteur mixte thermique/air comprimé. On voit donc que le même principe, appliqué sur deux finalités entièrement différentes peut donner de bons résultats (au moins dans un cas).

  • les route, une nouvelle énergie?

    les route, une nouvelle énergie?

    2005_aout_6_tervik_2

    Les routes, une énergie nouvelle ? Pourquoi pas !! Les japonais expérimentent un prototype capable de refaire du goudron, pétrole, essence et gaz à partir de l’asphalte de nos routes.

    Nous allons supprimer le goudron de nos rues, routes et autoroutes, pour continuer à rouler sur les chemins de notre terre. C’est peut être une bonne idée, en tout cas cela va dans le sens de la décroissance. Merci à Monsieur baril de pétrole, car le fait qu’il soit devenu si rare et si cher, donnent des idées lumineuses à nos chercheurs du soleil levant.

    Les producteur de pétrole rient jaune (quoi que), mais les marchands de pneus ce frottent les mains.

    Pour aller plus loin, je préconiserais bien que sous chaque véhicule, soit intégré un système d’extraction de bitume. Je vois d’ici mes coreligionnaires, le dimanche aller faire brouter leur 4X4 sur les routes et les autoroutes, ces derniers, trouveraient enfin une utilité à rouler dans les nids de poules formés par l’absence de goudron.

    Et puis les routes en pierre construites par les romains n’ont-elles pas 4500 ans ? Les rues de nos villes pavées sont cachées sous l’asphalte, les routes secondaires des pays scandinaves et nordiques sont en terre et n’empêchent pas les belles Saab et Volvo de circuler par tous les temps.

    L’asphalte (ou bitume) est généralement consideré comme un colloïde compose d’asphaltenes et de maltenes. Dans le pétrole brut, il représente les coupes les plus lourdes, celles dont les molécules d’hydrocarbures sont composées de plus de 40 atomes de carbones. Afin d’exploiter cette ressource, Mitsubishi a utilise les propriétés de l’eau portée a un état supercritique, c’est a- dire a un point ou l’eau agit comme un solvant hybride, combinant les caractéristiques d’un liquide et d’un gaz (faible viscosité, pas de tension superficielle…). Dans cet appareil, l’eau est amenée a 460.C et a 250 atmosphères et, au contact de l’asphalte, rompt les liaisons dans la chaîne carbonée, ce qui permet d’obtenir des molécules plus légères : essence (C6 a C10), gazole (C13 a C20)… Lors du retour à une pression d’une atmosphère, l’essence et les autres huiles se séparent de l’eau, ce qui permet de les récupérer. Il est a noter que le propane et le butane portes a un état supercritique sont également utilises dans la récupération d’huiles légers a partir d’asphalte, mais que les procèdes sont assez lourds a mettre en oeuvre. Mitsubishi compte améliorer son prototype, qui ne traite actuellement qu’un baril d’asphalte par jour, afin de pouvoir le vendre aux compagnies pétrolières