Auteur/autrice : evelyne vigier

  • Un jardin remarquable, le jardin japonais de toulouse

    Un jardin remarquable, le jardin japonais de toulouse

    Le_pont_rouge_du_jardin_1    Un havre de paix en plein centre ville qui allie le mineral, le végétal et l’eau. Loin du bruit, du stress, laissez-vous guider dans cet endroit magique et reposant, vous ressentirez la sérénité que j’y ai rencontrée.

    Crée en 1981, ce jardin de 7000 m² a été implanté au coeur du parc de Campan Cafarelli, vaste espace de 10 ha où il fait bon flâner et se reposer en toute quiétude. Ce parc est planté d"espèces traditionnelles et s »organise autour de massifs fleuris, de bosquets et de larges allées. Traversez-le sans vous presser car il est agréable, passez la grille et entrez dans cet îlot entouré de verdure qu’est le superbe jardin japonais   …

    Jardin_japonais_toulouse Voilà, nous y sommes, le ton est tout de suite donné, une végétation typique d’extrème-orient, des rochers savamment disposés, des collines reconstituées et des constructions caractéristiques du beau pays du soleil levant.

    Je chemine dans les petits sentiers, admire au passage les paulownias, les sophoras, les plaqueminiers, les mahonias, les cerisiers à fleurs et les prunus regroupés. Ici, bosquets et buissons se côtoient en harmonie et créent une impression intimiste. J’ arrive au coeur du jardin qui s’articule autour d’un magnifique plan d’eau. Au mileu de ce lac se trouve l’ile, symbole de paradis, pour y accéder il faut passer sur le pont rouge, il me conduit au pavillon de thé, batisse de type japonais au toit recouvert d’écailles de bois.

      De la vaste plateforme on  a une superbe vue  sur la colline qui constitue le jardin zen, les énormes rochers sont posés au milieu de la végétation , (buis, skimmias, érables du japon, …). Je reste là un moment à admirer ce paysage, à contempler ces arbres taillés en nuage, ces arbustes taillés en boule, à m’imprégner de tant de beauté.

    C’est l’hiver, mais malgré tout le jardin est beau, je poursuis ma promenade, prends les pas japonais qui serpentent, photographie les touffes de bambous. Les plantes de terre de bruyère ne sont pas encore en fleurs, azalées, rhododendrons sont en boutons, mais au détour d’une allée, prés des cerisiers, les camélias m’offrent le spectacle de leurs magnifiques fleurs rouges.

    Il faudra que je revienne au printemps, le jardin sera différent, je l’ai trouvé beau en hiver, je le trouverai sûrement extraordinaire à la belle saison !

  • La mâche, douceur d’une salade

    La mâche, douceur d’une salade

    Mache_1 Chausser les bottes et aller au jardin prendre de la mâche pour le repas est un plaisir que j’avais oublié, et qu’il m’a été donné de redécouvrir il y a peu dans un potager ami.

    Toute pimpante, encore ruisselante de la pluie nocturne, elle côtoie les choux et les poireaux bien alignés eux aussi.

    La mâche s’arrache facilement à la main, nul besoin d’un outil pour y arriver, les racines ne sont pas trés fortes. Tirez simplement à partir du collet de la plante, secouez pour ôter la terre et le tour est joué !

    Celle que l’on trouve en ce moment dans les potagers est la mâche à longue feuilles, c’est souvent la variété "verte de cambrai" car elle résiste bien au froid et au gel.

    Cette plante fait de trés bonnes salades que l’on peut consommer tout l’hiver. Excellente pour la santé, trés peu calorique, pleine de vitamines, c’est un légume dont il ne faut pas se priver.

    Vous pouvez la trouver sous différents noms comme ‘doucette", "boursette", "clairette"…

    Pour avoir le bonheur de manger en ce moment de la mâche du jardin, il a bien sûr fallu effectuer les semis entre le mois de juillet et la mi-octobre.

    Choisissez un coin de votre potager qui soit au soleil ou à mi-ombre, râtissez bien la surface du sol et mettez les graines dans des sillons espacés de 20 cm à peu prés, recouvrez légèrement de terre, tassez et arrosez .

    Si vous voulez accélérer la levée de vos semis, vous pouvez les recouvrir d’une toile maintenue humide, mais ne la laissez pas en place aprés la levée ! Vous pouvez laisser les plantules telles quelles ou bien repiquer les pieds comme on le fait pour n’importe quelle salade, à vous de choisir.

    La récolte a lieu plus de 3 mois aprés, pensez à arroser votre doucette s’il ne pleut pas. En attendant les prochains semis, régalez-vous bien de celle que vous avez eu la précaution de semer l’été dernier.

  • L’azalée indica,  toujours appréciée

    L’azalée indica, toujours appréciée

    Azale_1  Peut-être faites-vous partie de ceux à qui on a offert récemment une belle potée d’ azalée ? Si oui vous vous demandez sûrement comment prendre soin de cette  plante qui vous enchante mais qui vous parait bien fragile.

    Les azalées "indica" viennent de Chine et  sont vendues en automne-hiver en tant que plantes d’intérieur. Ces vivaces aux couleurs attayantes et au feuillage persistant vert brillant, ont la réputation d’être difficiles à conserver. C’est qu’elles ont  subi un forçage pour arriver à fleurir dés l’automne et sont donc un peu fragilisées, de plus elles ont exigences qu’ils faut absolument respecter.

    Ce sont des plantes de terre de bruyère qui aiment avoir leur substrat humide mais ne laissez surtout pas d’eau dans la soucoupe, cela asphyxierait les racines qui pourriraient entrainant la mort de votre plante. Vous avez oublié de l’arroser et vous voyez qu’elle fait triste mine ? Faites tremper le pot une nuit, votre azalée va se rehydrater mais comme pour l’arrosage n’utilisez pas d’eau calcaire, elle déteste ça. Si vous pouvez récupérer de l’eau de pluie cela lui conviendra tout à fait.

    Ces azalées sont gélives, il n’est pas question de les laisser sur le balcon en plein hiver, mais elles n’aiment pas non plus les températures trop élévées, en fait elles se plaisent quand il fait entre 10 et 15 degrés.

    Que faire de votre plante aprés la floraison ? Aprés avoir fleuri avec tant d’entrain, il faut que l’azalée se repose, en appartement installez-la dans un endroit frais et limitez les arrosages vous les reprendrez en mai.

    Si vous avez un jardin, le mieux est d’enterrer le pot à mi-ombre à la fin du printemps. Arrosez régulièrement .

    Rentrez votre azalée avant les gelées et mettez-la dans une pièce fraîche, elle devrait refleurir.

  • Comment conserver  un poinsettia

    Comment conserver un poinsettia

    Poinsettia_jaune_uni C’est le casse-tête de tous ceux qui veulent garder le poinsettia qu’ils ont chouchouté pendant plusieurs semaines et qui le voient se faner.

    Dans la nature ces euphorbes originaires du Mexique poussent à l’état sauvage et mesurent 3 à 4 m de haut, ceux qui sont vendus chez nous dans le commerce ne dépassent pas 50 cm et ont été mis en condition pour "fleurir" au moment des fêtes de fin d’année. Et c’est certainement la plante la plus vendue pendant cette période, du reste ces couleurs rouge et verte se prêtent bien à cette occasion mais il existe des hybrides présentant d’autres coloris tout aussi beaux, comme la variété jaune que j’ai prise en photo.

    Pour conserver votre poinsettia il va falloir que vous fassiez preuve de patience et que vous soyez trés méthodique, pas question se sauter un stade sous peine de voir vos efforts anéantis.

    La coloration des bractées dure environ 4 mois, quand les feuilles commenceront à faner, la première chose à faire est de réduire les arrosages en laissant la terre presque sèche.

    Installez votre poinsettia dans une pièce à température modérée ( pas moins de 12 , pas plus de 20 degrés) cela pendant plusieurs semaines.

    Au mois de mai, taillez sévèrement votre plante et rempotez-la mais faites attention aux racines qui sont fragiles. Lorsque les gelées ne seront plus à craindre, laissez votre poinsettia dehors à l’ombre, arrosez et fertilisez régulièrement tout l’été.

    Fin septembre, les jours commencent à raccourcir il est temps de passer à la phase cruciale qui va donner à votre poinsettia le signal qu’il doit refleurir. C’est une plante à jours courts, cela veut dire qu’elle a besoin d’une période où les nuits sont trés longues (de 12 à 14 h) et cela n’est quère possible dans nos intérieurs à cause de nos lampes électriques.

    Alors que faire ? Si vous avez une pièce inoccupée, chauffée et lumineuse le jour c’est parfait , laissez-y votre plante mais n’allumez jamais la lumière le soir même brièvement. Autre solution, enfermez tous les soirs à 18h votre plante dans une armoire, un carton, un placard que vous n’ouvrirez pas avant le lendemain.

    Il lui faut le noir vraiment complet pendant ces longues nuits et cela pendant au moins 2 mois, aprés quoi votre patience sera récompensée et vous verrez les bractées se colorer.

    Je vous l’accorde, comme c’est un travail qui ne demande aucune défaillance il est plutôt astreigant !

  • Plantation des rosiers à racines nues

    Plantation des rosiers à racines nues

    Rosier En retard pour ce type de plantation ? Non, rassurez-vous, les rosiers vendus racines nues se plantent de l’automne à la fin de l’hiver, vous êtes donc tout à fait dans les temps si vous ne vous êtes pas encore attelé à la tâche.

    Ce mode de conditionnement est le plus répandu, les racines sont entourées de tourbe humide et la plante est vendue sous plastique. Au moment de l’achat, choisissez les rosiers qui ne présentent pas de nouvelles pousses car ils démarreraient moins bien au printemps et préférez ceux qui sont en dormance cela indique qu’ils ne sont pas restés trop longtemps au chaud dans le magasin.

    Ramenés chez vous, laissez-les au frais et pensez à maintenir la tourbe humide en attendant de pouvoir les planter, ou mieux si c’est possible, mettez-les en jauge. Pour cela posez vos rosiers en position couchée et recouvrez les racines de terre, ceci hors période de gel et dans un endroit abrité.

    Préparez votre trou de plantation en respectant 2 consignes importantes: premièrement le trou doit être suffisamment grand et profond (au moins 50 cm en tous sens), deuxièmement ne plantez pas dans le trou d’un rosier qui y était recemment.

    Ceci dit, ameublissez bien la terre  rajoutez du sable, du gravier si votre sol est trop lourd ou du terreau si il est trop sablonneux.

    Votre emplacement est prêt ? Il faut maintenant préparer votre rosier et habiller ses racines, c’est à dire les retailler et suprimer celles qui sont abimées. Ensuite je vous conseille fortement d’effectuer une opération de pralinage qui consiste à faire tremper les racines dans une bouillie de terre, cela donne d’excellent résultats quant à la reprise. Profitez de vos sécateurs et rabattez les tiges trop longues et celles qui sont cassées.

    Si vous pouvez, mettez au fond du trou du fumier décomposé mais recouvrez-le de terre pour ne pas brûler les racines, placez votre rosier dans le trou et rebouchez en faisant bien attention que la terre comble tous les espaces, arrosez copieusement cela permet à la terre de se glisser entre les racines. Dernière recommandation, surtout si vous habitez une région froide, faites une butée en ramenant de la terre autour du collet de la plante cela la protégera du gel.

    Voilà, attendons la reprise de nos rosiers qui devront être taillés au début du printemps  pour nous enchanter de leur belle floraison tout l’été.

  • Le saule pleureur, beau en toute saison

    Le saule pleureur, beau en toute saison

    Saule_pleureur_2_1 Qui ne s’est pas arrêté un jour pour admirer un saule pleureur dont les longues branches flexibles frôlaient  le sol ou se reflétaient dans l’eau ?

    Son nom botanique est "salix babylonica", il fait partie de la famille des salicacées et trouve son origine en Chine. L’Europe l’a adopté depuis le XVII ème siècle et en a fait un élément de décor privilégié pour ses parcs et jardins.

    C’est un arbre qui est d’une croissance remarquable, il atteint 15 m de haut et si vous l’élaguez en ne laissant que le tronc vous pouvez être sûrs qu’en une saison ses longues branches auront de nouveau une belle longueur, mais ce n’est pas une opération obligatoire. Essayez de lui garder une forme harmonieuse et vous verrez que votre saule pleureur restera décoratif tout au long de l’année. En hiver ses branches sont légèrement dorées, au printemps apparaissent de jeunes feuilles d’un vert trés tendre et des chatons, en été son feuillage est vert et argenté, il vire au jaune en automne.

    Le saule plaureur aime le soleil mais craint la sècheresse, il lui faut de l’humidité et c’est pour cela qu’il est souvent présent au bord des plans d’eau. Pour cette même raison, évitez de le planter prés de votre habitation ou prés de drains, il pourrait faire des dégats.

    Son bois trés flexible est utilisé pour la fabrication de battes et de cageots, ses feuilles allongées servaient autrefois de leurre aux pêcheurs.

    Vous voyez, cet arbre a tout pour plaire!

  • Les plantes d’intérieur et la lumière

    Les plantes d’intérieur et la lumière

    Lumire_artificielle Les jours sont courts, et nos plantes d’intérieur manquent de lumière, en fait en cette saison elles  reçoivent dix fois moins d’énergie lumineuse qu’en été.

    Un manque important va entrainer un changement de l’aspect de la plante qui va développer des tiges grêles et fines, les feuilles qui apparaissent peuvent avoir une couleur plus pâle voire même jaunie.
    Mais tout dépend des espèces végétales, elles n’ont pas toutes les mêmes besoins.

    Certaines plantes demandent une intensité lumineuse réduite comme par exemple les anthuriums ou les plantes dites vertes comme les caoutchoucs.
    D’autres, comme quelques variétés d’orchidées, les cyclamens, les crossandras ont besoin d’une bonne lumière tamisée, placez ces  plantes à un mètre de la fenêtre.
    Que faire si votre intérieur est sombre la journée ? faut-il se priver du plaisir d’avoir des plantes chez soi faute de lumière ? Non  bien sûr ! Il existe des éclairages artificiels très éfficaces qui apportent à la plante l’intensité lumineuse dont elle a besoin pour croître.

    Le bleu et le rouge étant indispensables aux plantes il faut que la lumière apportée soit adéquate, donc si vous choisissez des tubes fluorescents, assurez-vous  qu’ils conviennent  à la culture  des plantes. Surveillez bien vos végétaux au début de l’installation, pour arriver à doser l’intensité, il s’agit d’obtenir la quantité de lumière exacte dont la plante a besoin.

    A défaut de pouvoir leur apporter ce type d’éclairage, placez-les de façon à ce qu’elles reçoivent la lumière de vos lampes mais pas trop prés pour éviter les brûlures du feuillage.

    Tout cela va permettre à vos plantes d’effectuer une bonne photosynthèse et d’être en forme en hiver comme en été.

  • Des pensées pour égayer l’hiver

    Des pensées pour égayer l’hiver

    Des_penses_bicolores Les pensées sont incontournables, surtout en hiver et au printemps. Sans elles, bordures, pots et jardinières seraient bien tristes en ce moment.

    Ces plantes appartiennent à la famille des violacées, ce sont des vivaces mais elles sont souvent cultivées en annuelles notamment celles qui ont des fleurs de belle taille. Originaires d’Europe, elles s’adaptent partout et ne sont guère exigeantes.

    La floraison est étalée dans le temps, et intéressante car elle couvre le printemps, l’été et l’hiver. Les pensées ont des coloris très variés et les fleurs sont souvent  panachées avec des tons contrastés, regroupées elles forment un joli effet de masse bien coloré.

    Vous voulez vous lancer dans les semis de pensées ? C’est le moment ! Mettez dans un plateau ou une caissette du terreau fin et stérilisé, recouvrez légèrement les graines et installez le tout dans un endroit sombre et frais pendant 4 à 5 jours. Passé ce délai reprenez votre caissette et mettez-la au chaud (à peu prés 20 degrés) et dans le noir pendant 15 jours. Vous allez voir les graines commencer à germer, ce sera le moment de les mettre à la lumière mais laissez-les à température de 18 à 20 degrés. N’oubliez pas de pulvériser un peu d’eau sur le terreau.

    Vous pourrez repiquer vos plantules quand elles seront assez développées, elles fleuriront cet été. Arrosez très modérement pour éviter la pourriture du collet.

    Pensez à enlever les fleurs fanées et à surveiller les attaques de limaces qui aiment bien se cacher sous le feuillage pour le dévorer.

  • La bruyère, une indispensable floraison

    La bruyère, une indispensable floraison

    Bruyre Un sous-arbrisseau tout simple, avec un feuillage léger et des fleurs tellement nombreuses que l’on ne voit quelles, telle est la bruyère que l’on connait. Ces plantes ont des périodes de floraison différentes ce qui fait qu’en choisissant bien vos variétés vous pouvez avoir des fleurs toute l’année, mais à mon sens la plus interessante est celle qui fleurit dés novembre, c’est l"erica carnea".

    Membre de la famille des ericacées, ce petit arbrisseau est originaire d’Europe et s’adapte partout, il faut planter les pieds en les regroupant pour avoir un effet de masse, c’est plus esthétique.

    Massifs ? Pots ?  Jardinières ? Bordures ? Tout lui convient alors n’hésitez pas à installer cette vivace au jardin ou sur le balcon, elle constituera un décor stable et parfait en toute saison.

    En massif, associez-les aux azalées, aux rhododendrons, aux camélias, elles feront un parfait tapis coloré à leur pied. En pots et jardinière plantez-les avec des cinéraires ou des cyclamens. Il faut surtout veiller à ce que ces végétaux qui vont vivre ensemble aient les mêmes besoins en eau et en qualité de sol.

    La bruyère a certaines exigences dont la principale est l’absence d’humidité stagnante, si les racines baignent  elles finissent par pourrir et votre bruyère sera irrécupérable. Donnez-lui un sol sableux bien drainant et arrosez modérement , elles ne demandent pas plus que cela si ce n’est un peu de soleil.

    La taille ? Sa croissance est assez lente, contentez-vous de lui garder une forme agréable à l’oeil, et inutile de  la protéger en hiver elle est vraiment trés rustique.

  • La symphorine, une belle caprifoliacée

    La symphorine, une belle caprifoliacée

    Symphorine J’aime son surnom "d’arbre aux perles" qu’elle doit à ses baies blanches et rondes. La symphorine nous vient de Chine et d’Amérique du nord et s’est parfaitement adaptée à nos climats.

    Cet arbuste au feuillage caduc est fréquemment utilisé en haie libre mais peut aussi être planté en isolé. Sa taille ne dépasse pas 2 m, vous pouvez trés bien l’installer en arrière plan d’ un massif il y trouvera sa place. Ses petites fleurs en forme de clochette d’un tendre blanc rosé se succèdent de juin à octobre et sont suivies baies blanches qui persistent tout l’hiver.

    Plante de sous bois, la symphorine aime les situations un peu ombragées mais comme elle est facile à vivre, elle se plait aussi à mi-ombre et au soleil.

    Donnez lui une terre bien drainante, elle accepte les sols quelque peu calcaire et s’adapte à la sécheresse, tous les arbustes ne sont pas d’aussi bonne composition !

    En fin d’été vous pouvez tenter de faire des boutures mais ce n’est pas le meilleur moyen de multiplier cette plante, il est bien plus facile de prélever des drageons ou d’éclater la souche, vous aurez ainsi des pieds de symphorine déjà grands.

    Attention, les baies sont toxiques.